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      À Bordeaux, après une probable explosion au gaz, 3 blessés et 2 disparus

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 6 February, 2021 - 10:02 · 1 minute

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    EXPLOSION - Une explosion est survenue ce samedi 6 février dans un immeuble proche du centre de Bordeaux, faisant au moins trois blessés tandis que deux personnes étaient portées disparues, ont annoncé les pompiers à l’AFP.

    L’explosion a pris “au niveau d’un garage situé au 68 rue Borie”, dans le quartier des Chartrons, qui a provoqué la destruction de ce garage et celles de “deux bâtiments attenants en R+1″, ont précisé les pompiers.

    Les premières constatations suggèrent une explosion due au gaz, une hypothèse qui reste à confirmer. Le gaz a été coupé dans cette rue où l’explosion a brisé plusieurs vitrines de commerces, selon des images sur les réseaux sociaux. Un important dispositif d’une cinquantaine de pompiers a été déployé.

    Plus d’informations à venir...

    À voir également sur Le HuffPost: Une explosion à Madrid ravage un immeuble, au moins 2 morts

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      Sciences Po Bordeaux: des violences sexuelles dénoncées sur Facebook

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 17:10 · 2 minutes

    Images de Sciences Po Bordeaux

    VIOLENCES SEXUELLES - Les témoignages se multiplient. Depuis le 23 janvier dernier, des centaines de personnes, majoritairement des femmes, ont pris la parole dans un groupe privé Facebook consacré aux ”étudiant.e.s de Sciences Po Bordeaux”, l’Institut d’études politique s de la ville de Gironde.

    Elles racontent notamment le sexisme, mais aussi les agressions sexuelles et les viols dont elles ont été victimes lors de soirées étudiantes, mais aussi pendant des voyages à l’étranger ou dans la sphère privée. En tout, 150 témoignages avaient été postés sur le mur de cette page Facebook mercredi 3 février, selon nos confrères de Rue 89 .

    Dans un message posté sur Facebook le 26 janvier dernier, l’association étudiante Sexprimons-Nous a apporté “son soutien aux voix qui s’élèvent pour leur témoignage, pour avoir brisé le silence et libéré la parole”.

    Le groupe propose aussi d’alerter la direction “avec le consentement des personnes concernées afin de proposer des solutions et faire en sorte que cela ne se reproduise plus”. Enfin, les auteurs du message ont créé un document permettant de témoigner anonymement.

    Le “courage” des victimes face à des actes “odieux”

    De son côté, la direction de l’école a réagi dans un communiqué publié le 2 février , suite à une réunion avec l’association Sexprimons-Nous quelques jours plus tôt. Elle salue notamment “le courage de celles et ceux qui témoignent de ces actes odieux” et fait plusieurs annonces.

    L’établissement, à travers la voix de son directeur, Yves Déloye, prévoit notamment “d’aider à l’expression de la parole de toutes les victimes” en “renforçant” ou en “mettant en place des structures adaptées”.

    Il prévoit aussi de “former l’ensemble des membres de la communauté de Sciences Po à la vigilance par rapport aux violences et agressions sexuelles”. Il annonce également la création d’outils et de dispositifs destinés à prévenir de tels actes”.

    Enfin, le communiqué précise qu’un groupe de travail sera prochainement mis en place et qu’il sera chargé de présenter d’ici à la fin du semestre un plan de lutte, de formation et de prévention pour une mise en place à la rentrée 2021-2022.

    En septembre dernier, de nombreuses personnes avaient déjà témoigné sur les réseaux sociaux de violences subies dans le cadre de l’école, de la part de professeurs cette fois. Le hashtag #BalanceTonProf avait ainsi permis à des élèves d’hier ou d’aujourd’hui de prendre la parole pour raconter des violences qu’ils ont subies à l’école .

    À voir également sur Le HuffPost : “Le sceau de l’infamie”, Geneviève Garrigos raconte les violences que l’inceste laisse derrière lui