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      « Tirailleurs » avec Omar Sy est « un film assez juste sur le plan historique », commente un historien

      Mathias Poujol-Rost ✅ · Sunday, 8 January, 2023 - 14:48 edit

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      Godard, cinéaste de quelle politique?

      news.movim.eu / Mediapart · Tuesday, 13 September, 2022 - 18:42


    Godard est vu comme un «cinéaste politique». Mais de quoi parle-t-on exactement? Entretien avec David Faroult, auteur d’un des rares livres sur le réalisateur qui ne verse pas dans l’hagiographie.
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      Jean-Luc Godard est mort

      news.movim.eu / Mediapart · Tuesday, 13 September, 2022 - 09:05


    Le réalisateur franco-suisse avait 91 ans. Nous republions notre dernier entretien avec ce cinéaste majeur. C'était l'an dernier et rien ne s'était passé comme prévu.
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      «L’esprit critique»: autour des films «Men», «La terre est bleue comme une orange» et la série «Oussekine»

      news.movim.eu / Mediapart · Sunday, 12 June, 2022 - 11:00


    Notre émission culturelle hebdomadaire débat du film d’horreur post #MeToo d’Alex Garland («Men»), du documentaire de l’Ukrainienne Iryna Tsilyk («La terre est bleue comme une orange») et de la série «Oussekine» diffusée par Disney.
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      www.mediapart.fr /journal/culture-idees/120622/l-esprit-critique-autour-des-films-men-la-terre-est-bleue-comme-une-orange-et-la-serie-oussekine

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      Sergueï Loznitsa: «La responsabilité des dirigeants européens est très importante»

      Joseph Confavreux · news.movim.eu / Mediapart · Monday, 14 March, 2022 - 15:40


    Réalisateur de «Maïdan», «Donbass» ou encore «Babi Yar. Contexte», Sergueï Loznitsa est l’un des plus importants cinéastes ukrainiens. «L’Otan et l’Europe doivent accepter l’idée qu’ils ne vont pas pouvoir éviter une guerre plus large», estime-t-il. Rencontre.
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      «L’esprit critique»: autour des films «Les Amants sacrifiés», «La Fièvre de Petrov» et «Ailleurs, partout»

      Joseph Confavreux · news.movim.eu / Mediapart · Sunday, 12 December, 2021 - 12:02


    Notre émission culturelle hebdomadaire débat du dernier opus en costumes de Kiyoshi Kurosawa, du cerveau en surchauffe filmé par Kirill Serebrennikov et du documentaire d’Isabelle Ingold et Vivianne Perelmuter.
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      www.mediapart.fr /journal/culture-idees/121221/l-esprit-critique-autour-des-films-les-amants-sacrifies-la-fievre-de-petrov-et-ailleurs-partout

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      "Sex and the City" : pourquoi Samantha ne sera pas dans le revival

      Mathilde Pereira Karsenti · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 11:10 · 2 minutes

    Les actrices Cynthia Davis, Kim Cattrall, Kristin Davis et Sarah Jessica Parker lors d

    CINÉMA - La série culte “Sex and the City” fait son retour. La plateforme de streaming HBO Max avait officiellement annoncé la nouvelle le 10 janvier dernier dans un communiqué. Et on sait aussi que si le casting est presque similaire à la version originale, l’actrice Kim Cattrall n’en sera pas.

    Celle qui incarnait Samantha Jones ne jouera donc pas aux côtés Sarah Jessica Parker , Cynthia Nixon et Kristin Davis.

    Invité de TVLine ce mercredi 10 février, le directeur du contenu de HBO Max en a donné quelques raisons. Interrogé par TVLine , Casey Bloys a expliqué que l’objectif n’avait pas été de “refaire ‘Sex and the City’”.

    “Certaines amitiés s’estompent”

    Le directeur de contenu de HBO Max a ajouté que les créateurs de la nouvelle version de la série télévisée n’avaient pas cherché à représenter des personnages revivant leur trentaine. “Il s’agit vraiment d’une histoire de femmes de cinquante ans. Elles font face à des choses qui arrivent à la cinquantaine” a-t-il confié à TVLine.

    Casey Bloys est revenu sur les relations amicales. “Les gens entrent vos vies et repartent. Des amitiés s’estompent et de nouvelles commencent”, déclare-t-il. Selon lui, cette future saison de la série est très révélatrice de ce qu’il se passe dans la vraie vie des acteurs. “Elle est très honnête”, ajoute-t-il.

    La star Sarah Jessica Parker, qui coproduit le programme aux côtés de Michael Patrick King, avait mis en ligne, le 11 janvier dernier, une bande-annonce de la série intitulée “And Just Like That...”. De nombreux internautes avaient remarqué l’absence de Kim Cattrall. »

    La nouvelle version de “Sex and the City” se veut également plus fidèle dans sa représentation de la diversité démographique de New York, a déclaré Bloys. En effet, des voix noires comme l’humoriste Samantha Irby et Keli Goff de “Black Lightning” sont les nouvelles recrues en tant que scénaristes.

    La série originale créée par Darren Star, est basée sur le livre éponyme de Candace Bushnell paru en 1997. Le premier épisode est sorti en 1998 et six saisons ont suivi. La série a également donné lieu à deux films sortis en 2008 et 2010 et à un préquel, diffusé en 2013 sur deux saisons.

    À voir également sur Le HuffPost :  Dans un pub pour le Super Bowl 2021, Timothée Chamalet incarne le fils d’Edward aux mains d’argent

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      185 actrices et acteurs allemands font leur coming out en même temps

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 16:16 · 3 minutes

    185 actrices et acteurs allemands ont fait leur coming out, ce vendredi 5 février, en même temps. (Image d

    LGBTI - Un groupe de 185 actrices et acteurs allemands ont fait leur coming out dans un manifeste, publié ce vendredi 5 février dans la Süddeutsche Zeitung , où ils encouragent la société et le monde de la culture à davantage valoriser la diversité sexuelle .

    “Jusqu’à présent, nous n’avons pas pu aborder ouvertement notre vie privée dans notre profession sans craindre des répercussions sur nos vies professionnelles”, lancent les signataires de cet appel .

    Parmi eux figurent des personnalités connues en Allemagne comme Godehard Giese, Mark Waschke, Maren Kroymann, Karin Hanczewski, Ulrich Matthes, Jaecki Schwarz ou encore Mavie Hörbiger.

    “Nous ne sommes pas visibles en public”

    Tous se définissent comme lesbiennes, gays, bisexuels, trans, queer ou personnes non-binaires. Ils regrettent que ces identités sexuelles ne soient pas suffisamment mises en avant au sein de la scène culturelle allemande.

    Certains ont déjà fait leur coming out auprès de leur famille ou amis, mais pas en public. “Nous ne sommes pas visibles en public avec notre identité sexuelle. Il est toujours supposé que vous apparteniez à la norme”, regrette Godehard Giese, révélé dans la série “Deutschland 83″.

    L’actrice Karin Hanczewski, apparue dans des téléfilms comme “Tatort” ou “Alerte Cobra”, explique que plusieurs personnes lui ont déconseillé durant sa carrière de révéler son homosexualité, l’avertissant que cela pourrait lui être préjudiciable pour trouver de prochains rôles.

    “J’ai toujours eu le souhait utopique que si jamais j’effectuais mon coming out, cela aurait une pertinence politico-sociale. En tant qu’individu seul, il faudrait que je sois follement connue pour que cela change quoi que ce soit”, explique-t-elle, estimant qu’un groupe entier en revanche pourrait faire la différence.

    Un système “affreux”

    La problématique ne se limite pas à l’Allemagne. En France, le chanteur et comédien Benjamin Siksou , qui a parlé publiquement de son homosexualité pour la première fois ce jeudi 4 février dans le podcast “Coming Out” de Spotify, partage cet avis. Il y explique, par exemple, qu’un manager lui aurait déconseillé de faire son coming out médiatique.

    Dans une interview accordée aux “Terriens du Dimanche” en novembre 2018, Muriel Robin, qui a déjà évoqué ses relations avec des femmes par le passé, s’interroge. “Est-ce que ça enlève des rôles? Possible, concède-t-elle. [...] Le producteur qui hésite entre une hétéro et une homo, il se dit: ’À un moment elle va être dans les bras du mec... Prenons une hétéro, comme ça, on n’aura pas de problème.”

    Ce système est “affreux”, selon elle. “En même temps, tous les films n’ont pas besoin d’avoir un mec. On n’est pas obligé de toujours avoir un mec dans les bras”, ajoute Muriel Robin.

    Aux États-Unis, même son de cloche. D’après l’acteur américain Matt Boomer, aperçu récemment dans le film Netflix “The Boys in the Band”, “dire que [mon coming out] n’a pas eu un impact négatif sur ma carrière serait un mensonge”. “C’est même une réalité”, précise-t-il au magazine Attitude . Comme le souligne Slate , il n’a plus été le héros d’une production depuis cette décision. Les prestigieuses récompenses hollywoodiennes parlent d’elles-mêmes. Aucun comédien gay ou bi n’a, par exemple, été nommé aux Oscars depuis Ian McKellen, en 2002.

    À voir également sur Le HuffPost : Ellen Degeneres, Neil Patrick Harris et d’autres se confient sur leur coming-out

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      Dans "Malcolm & Marie", Zendaya vous rappelle quelqu'un? C'est normal

      Valentin Etancelin · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 08:04 · 5 minutes

    Zendaya et John David Washington dans

    CINÉMA - Un homme, une femme. Le premier est cinéaste. La seconde, son épouse, actrice dans le devenir. De retour chez eux, une incroyable villa californienne, après l’avant-première du nouveau film de Malcolm, Marie a le coeur lourd. Dans son discours, il a oublié de la remercier.

    Ce décor, c’est celui de “Malcolm & Marie”. Le nouveau film de Sam Levinson (“Another Happy Day”) avec John David Washington et Zendaya a été mis en ligne ce vendredi 5 février sur Netflix.

    Dans ce huis clos en noir et blanc, écrit, financé et filmé pendant le premier confinement, le showrunner d’“ Euphoria ” dresse le récit d’une dispute de couple, véritable combat de boxe émotionnel au cours duquel les deux compétiteurs s’affrontent de round en round à coups de vérités au beau milieu de la nuit.

    Découvrez ci-dessous la bande-annonce du film.

    D’un côté, on a Malcolm. Fils de bonne famille, ses précédents films ont fait un flop. Ici, il occupe tout l’espace. Il parle fort. Il est volcanique, impulsif. Les mots sortent tout seul. De l’autre, Marie. La jeune femme est lucide sur ses émotions. Le plus souvent, elle ne dit rien, sinon elle prend le temps d’exposer son point de vue calmement ou de se moquer finement de son partenaire.

    Elle lui en veut à lui. Lui, qui s’est permis de s’inspirer de sa propre vie et de son ancienne toxicomanie pour en faire un film, sans même lui proposer de rôle ni lui dire merci. Car oui, Marie a longtemps été dépendante à la drogue. Elle est passée par de nombreuses cures de désintoxication.

    La “Rue du futur”

    Ce passé, il n’est pas sans rappeler celui que traverse un autre personnage emblématique mis en scène par Sam Levinson: Rue Bennett, grande héroïne d’“Euphoria” sur HBO [OCS, en France], là aussi interprétée par Zendaya. Dans la série, elle joue une lycéenne en pleine recherche d’elle-même qui tente, tant bien que mal, d’affronter son addiction aux stupéfiants.

    “D’une manière étrange, je pense que Rue fait partie de moi. Marie, aussi”, confie Zendaya, avec qui nous avons discuté au cours d’une conversation sur Zoom. L’actrice américaine de 24 ans, aperçue dans “Spider-man” et prochainement dans “Dune”, reconnaît les ressemblances. Elle voit dans ce film “un hommage à l’origine et à l’histoire de ces deux femmes”.

    Ce qui les différencie, ici, “c’est le moment de leur vie au cours duquel nous les rencontrons”, poursuit-elle. Dans “Euphoria”, “Rue est aux portes d’un voyage initiatique qu’elle n’est pas prête d’entreprendre. Je pense qu’elle ne dispose pas du langage émotionnel pour exprimer ce qu’elle ressent, ni même du bagage pour comprendre ce qu’elle ressent précisément”, ajoute Zendaya. D’après elle, Rue fuit la contemplation. C’est “trop” à porter pour ses épaules. Elle trouve dans son addiction aux drogues une manière de s’adapter.

    Marie, elle, l’a dépassée. Ce n’est plus une adolescente. Elle est en couple avec Malcolm depuis de longues années. C’est une adulte. “Elle a trouvé le moyen d’articuler ses problèmes. Elle entre directement dans le conflit. Elle dispose de tout le langage émotionnel du monde pour exprimer ce qu’elle ressent. Ça pourrait être Rue dans une autre vie ou la Rue du futur”, observe l’actrice.

    “Une part de moi-même dans Marie”

    Le personnage de Marie, inventé par Sam Levinson à la demande de Zendaya, a été pensé pour elle. Son deuxième prénom, Maree, le préfigure. Dans une interview accordée au magazine Deadline , elle dit être aussitôt “tombée amoureuse du projet, du défi, des possibilités de jeu et de l’idée d’embrasser son entrée dans la féminité en tant qu’actrice”. “Il y a une grande part de moi-même dans Marie”, nous assure-t-elle.

    Découverte à l’âge de 13 ans sur Disney Channel, Zendaya ne s’est jamais arrêtée depuis. Outre son activité d’actrice, on l’a vu défiler, multiplié les couvertures de magazine et les plateaux télé des plus grands talk-shows ces dernières années. Aujourd’hui, elle n’est plus une enfant. Elle a mûri et compte parmi les personnalités immanquables d’Hollywood.

    Comme toute personne au début de l’âge adulte, elle se cherche. “J’ai acheté une tonne de caméras, a-t-elle récemment expliqué au magazine GQ . Je ne sais pas vraiment ce que je fais, mais j’essaye d’apprendre à m’en servir, j’essaye de prendre beaucoup de photos et de filmer beaucoup de trucs merdiques jusqu’à ce que ça paraisse bien, pour comprendre ce que je fais.”

    Un jeu d’équilibriste

    Les rôles qu’elle accepte désormais, sur le grand comme le petit écran, l’y aident. “C’est comme si je me regardais devant un miroir en me demandant qui j’étais, nous souffle-t-elle. Pourquoi est-ce que je me reconnais dans ce personnage? Comment est-ce que je peux gérer les choses manière différente?”

    C’est un jeu d’équilibriste. “Il y a une partie de vous que vous devez mettre de côté. Il faut vous souvenir que vous n’êtes pas cette personne. C’est un personnage, c’est de la fiction. C’est là toute la difficulté”, admet-elle.

    Dans le film de Sam Levinson, “j’ai dû lâcher prise et laisser Marie répondre aux questions [de Malcolm], continue l’actrice. J’ai dû la laisser me guider vers les réponses et suivre son chemin émotionnel, parce qu’elle a quelque chose que je n’ai pas.” De Rue à Marie, en passant par la personne qu’elle est, Zendaya dit se plaire à naviguer entre ce qui lui ressemble, ce qui ne lui ressemble pas et quel chemin suivre. Le voyage ne fait que commencer.

    À voir également sur Le HuffPost : “Euphoria” et Zendaya de retour dans un épisode spécial au sombre trailer