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      Un film met la ministre Agnès Pannier-Runacher face à ses laissés-pour-compte

      Nicolas Cheviron · news.movim.eu / Mediapart · Thursday, 16 December, 2021 - 18:08


    La projection du documentaire «Le ministère», mercredi à la fonderie automobile SAM à Decazeville, a été l’occasion pour les 333 ouvriers du site de faire connaissance avec la ministre déléguée à l’industrie, qui n’a pas su empêcher la fermeture de leur usine, voulue par Renault.
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      À Rodez, le diesel entraîne l’usine Bosch dans sa chute

      Dan Israel · news.movim.eu / Mediapart · Tuesday, 14 December, 2021 - 18:21


    Le premier employeur privé de l’Aveyron va voir ses effectifs divisés par deux en quatre ans. Le groupe allemand arrête presque totalement la fabrication d’éléments de moteurs diesel. Les salariés ont accepté le plan, mais les syndicats sont inquiets.
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      La «féculerie» Roquette, une usine en désamour

      Pierre-Yves Bocquet (Médiacités Lille) · news.movim.eu / Mediapart · Monday, 13 December, 2021 - 15:40


    Leader mondial de l’amidon, le groupe nordiste Roquette traverse une crise existentielle. Au tribunal, les actionnaires se déchirent; dans l’usine de Lestrem, les ouvriers se sentent lâchés et ne reconnaissent plus leur entreprise, bousculée par les nouveaux codes de la mondialisation.
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      Colère à la SAM, fonderie abandonnée par Renault et l’État

      Nicolas Cheviron · news.movim.eu / Mediapart · Thursday, 9 December, 2021 - 11:29


    Lâchés par le constructeur automobile, qui a refusé de soutenir un ultime plan de reprise, et par le gouvernement, qui avait promis des millions d’euros, les 333 ouvriers de la fonderie de Viviez-Decazeville s’apprêtent à passer les fêtes dans leur usine occupée. Un baroud d’honneur.
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      Fonderies françaises: «Un plan de désindustrialisation prévu, organisé et connu»

      Cécile Hautefeuille · news.movim.eu / Mediapart · Monday, 6 December, 2021 - 16:16


    L’usine SAM, dans l’Aveyron, dont la cessation d’activité vient d’être prononcée, rejoint une longue liste de fonderies, sous-traitantes de l’automobile, fermées ou en sursis. Pour les acteurs de la filière, la crise économique et l’essor des moteurs électriques ont bon dos. Ils pointent la responsabilité des constructeurs.
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      Sanofi va gâter ses actionnaires après l'envolée de son bénéfice, la CGT indignée

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 11:07 · 4 minutes

    ÉCONOMIE - Le revers sur son vaccin anti-Covid n’a pas entamé les résultats de Sanofi: fort d’une envolée de son bénéfice net l’an dernier, certes liée à une opération ponctuelle, le géant pharmaceutique français va gâter ses actionnaires, au risque de relancer la polémique.

    Dopé principalement par la vente d’une grande partie de ses actions Regeneron, la biotech américaine qui a développé le traitement anti-Covid utilisé par Donald Trump, Sanofi a gagné 12,3 milliards d’euros de bénéfice net en 2020, contre 2,8 milliards un an auparavant, soit une progression de près de 340%.

    Dans la foulée, il a annoncé ce vendredi 5 février qu’il proposerait un dividende de 3,20 euros par action - contre 3,15 euros pour l’exercice précédent -, ce qui représentera au total plus de 4 milliards d’euros pour ses actionnaires.

    Le géant pharmaceutique publie ces résultats après plusieurs journées d’action syndicale contre sa stratégie, à l’appel de la CGT notamment. Le 19 janvier déjà, les syndicats dénonçaient cette augmentation prévisible , comme le montre notre vidéo en tête d’article .

    “Trop c’est trop: ces résultats sont la preuve que Sanofi s’apprête encore à détruire 1700 postes pour rien”, s’est indignée la CGT dans un communiqué après l’officialisation des résultats par le laboratoire. Et de dénoncer au passage un ”État complice, impuissant volontaire face à la multinationale”.

    L’an dernier, le laboratoire avait en effet annoncé 1700 suppressions de postes, dont environ un millier en France. Selon les syndicats, près de 400 de ces suppressions auront lieu dans la recherche, ce qui lui a valu d’être vivement interpellé par des élus, dont François Ruffin (LFI).

    La pilule passe mal alors que Sanofi, l’un des leaders mondiaux dans le monde des vaccins, a enregistré un retard de plusieurs mois dans le développement de son principal candidat face au Covid-19. Celui-ci est désormais attendu fin 2021 , soit quasiment un an après les premiers vaccins autorisés en Europe, ceux de Pfizer/BioNtech et Moderna.

    2021 s’annonce rentable

    À l’instar d’autres laboratoires internationaux avant lui, Sanofi a décidé fin 2019, sous l’impulsion de son nouveau directeur général Paul Hudson, de se désengager de certains secteurs, comme le diabète, au profit de domaines plus porteurs et rémunérateurs, comme l’immunothérapie. Mais le groupe n’a eu de cesse d’affirmer que les vaccins n’étaient pas concernés par les coupes dans la recherche.

    D’ailleurs, la division vaccins (grippe...) a été particulièrement dynamique l’an dernier, avec quasiment 6 milliards d’euros de ventes, en progression de près de 9%. Au regard de ces résultats positifs, il est donc logique de verser un dividende aux actionnaires, fait valoir la société.

    “Sanofi évoluant dans un environnement international très concurrentiel, suspendre le dividende ou le réduire en raison de la pandémie actuelle viendrait à fragiliser l’entreprise, réduire son attractivité et altérer ainsi sa capacité à innover sur le long terme pour les patients”, a-t-il ainsi défendu dans un courriel à l’AFP, vendredi matin.

    Quant aux dividendes, ils profiteront également aux salariés français de Sanofi, selon une note de la direction diffusée en interne vendredi, qui rappelle que 90% d’entre eux sont actionnaires du groupe. En outre, la rémunération variable collective qui leur est versée devrait être supérieure à 2019, selon cette même note.

    L’an passé, la société a enregistré un chiffre d’affaires de 36 milliards d’euros, en hausse de quelque 3% à taux de changes constants, soutenu par les vaccins mais aussi la croissance de son produit vedette Dupixent.

    Développé en collaboration avec Regeneron, ce médicament, utilisé notamment dans le traitement de l’asthme ou de la dermatite atopique, pourrait rapporter, à terme, plus de 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires, contre 3,5 milliards aujourd’hui.

    S’appuyant sur ces deux piliers, Sanofi anticipe d’ailleurs pour 2021 un bénéfice net par action des activités (BNPA), l’un de ses indicateurs financiers privilégiés, en nette progression, sans donner toutefois d’objectif de chiffre d’affaires.

    Le groupe n’est pas le seul à tabler sur une bonne année 2021. Le géant américain Pfizer a ainsi, il y a quelques jours, estimé que les seules ventes de son vaccin anti-Covid atteindraient environ 15 milliards de dollars d’ici la fin de l’année.

    À voir également sur Le HuffPost: Macron veut relocaliser “certaines productions critiques” de santé en France

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      Industrie : ce qu’il faut faire d’urgence pour la sauver

      Claude Goudron · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Tuesday, 19 January, 2021 - 04:30 · 4 minutes

    industrie

    Par Claude Goudron.

    Quand s’arrêtera donc la descente aux enfers de notre industrie en très grand danger ?
    Deux signaux devraient nous alerter.

    Le premier est national et concerne la part de l’industrie dans le PIB. Au début des années 2000, comme en Allemagne, la part de l’industrie était de 22 %, et elle est passée à 25,8 % en 2018… En France elle a chuté à 10 %.

    Le second signal me touche personnellement. C’est la situation dans ma région, la Franche-Comté, pourtant reconnue la plus industrialisée de France, et plus particulièrement mon village de 3000 habitants, Giromagny, situé au pied du Ballon d’Alsace, qui m’a accueilli lorsque j’ai voulu développer mon activité dans des locaux plus grands.

    En 1990, il y avait sept entreprises industrielles, dont la mienne, et une de plus de 200 salariés. À ce jour il n’en reste plus qu’une, celle que j’ai créée, ULTRALU, et qui compte 35 employés.

    Comment en sommes-nous arrivés là ?

    Je pense que tout a commencé en 2001 avec Alcatel et son patron Serge Tchuruk qui a défendu une idée qui lui a paru géniale… « Une entreprise sans usines » pour arriver tout naturellement à « une usine sans ouvriers » : après avoir fusionné avec Lucent en 2015 le groupe se fait racheter par Nokia qui, en 2016 en possède 95 % des droits de vote.

    Bien entendu, aidé par les 35 heures et la retraite à 60 ans il ne pouvait en être autrement, un employé français travaillant 30 % de moins que son collègue d’outre-Rhin.

    Pendant que nos amis Allemands jouaient à fond la carte industrie, en France, nous étions persuadés que l’avenir économique de notre pays serait dans le service, oubliant au passage que le plus grand consommateur de service était en fin de compte… l’industrie.

    En effet, depuis les années 1980, l’effectif industrie/service était équivalent, soit chacun 23 % des emplois en France ; en 2016 c’était 10 % pour l’industrie (moins 13 points) mais seulement 30 % pour le service (plus 7 points) ; donc une perte d’emplois de 5 points (source insee.fr).

    Quelles conséquences ?

    Elles sont nombreuses et prévisibles :

    Tout d’abord un chômage structurel augmenté que l’on traîne depuis une quinzaine d’années reste bloqué à +5 points.

    Une grande dépendance sur des produits stratégiques depuis les masques, les tests et les vaccins Covid-19 mais aussi notre sécurité nationale avec par exemple le porte- avions Charles de Gaulle qui, depuis le rachat d’Alstom Power par GE, ne peut entretenir son pont d’envol sans l’accord des Américains.

    Une balance commerciale négative depuis 2004. Nous affichons, pour l’année 2018 le déficit s’èlève à 60 milliards d’euros, tandiq que l’Allemagne affiche un excédent de 228 milliards.

    La perte de plus de 50 % des capacités industrielles du pays a amputé les rentrées fiscales et sociales que l’État a essayé de compenser par une hausse des cotisations et impôts en tout genre (impôts de production principalement) pénalisant encore plus nos entreprises. Ce qu’il a finalement admis, mais sans cesser pour autant d’augmenter ses dépenses, cette fois-ci par de la dette, honteusement sur le dos de nos enfants et petits-enfants.

    Les entreprises, principalement industrielles, pénalisées par une ponction nettement supérieure à leurs concurrents étrangers, ont été obligées de rogner sur leur marge pour se maintenir dans la course, réduisant alors leurs fonds propres, donc leur trésorerie, ce qui les rend vulnérables en temps de crise. Cette vulnérabilité en fait des proies toutes trouvées pour les requins internationaux. Et c’est comme cela que notre tissu industriel disparaît irrésistiblement .

    Beaucoup plus sournois mais très nocif à terme, le déclassement du pays peut mettre en péril sa participation à l’Europe, voire la faire exploser.

    Les mesures urgentes indispensables pour l’industrie

    Elles sont connues, mais aucun décideur n’ose s’y aventurer.

    C’est d’une part un choc de simplification administrative, enclenché par François Hollande mais très vite abandonné, par l’allègement de la réglementation des TPE & PME et d’autre part une baisse importante des charges et impôts afin de revenir au niveau de l’Allemagne, en s’inspirant des réformes Hartz mises en place par le socialiste Schroeder.

    Il faut impérativement et très rapidement diviser par deux les pressions fiscales et sociales sur toutes les entreprises en rapport avec l’industrie. En France, les charges sociales restent deux fois plus élevées qu’en Allemagne sur un salaire de 4000 euros et trois fois plus sur un salaire de 8000 euros.

    Ces mesures ne seraient pas aussi pénalisantes qu’on pourrait le croire pour le budget de l’État. Elles seraient même à terme bénéfiques en application de la courbe de Laffer ou le trop d’impôt tue l’impôt .

    En effet, en divisant par deux les charges sociales, il n’est pas impossible de retrouver à moyen terme le niveau d’industrie dans le PIB des années 2000, entraînant le doublement de l’effectif : charges divisées par deux sur un effectif multiplié par deux égales rentrées identiques.

    Un cercle vertueux s’enclencherait alors avec moins de chômeurs à indemniser, soit environ 15 milliards d’euros sur les 31 milliards dépensés chaque année. Tout bénéfice pour les comptes de l’État.

    Un très bon programme pour un candidat à la présidentielle qui s’afficherait en véritable libéral, c’est-à-dire un candidat sachant tout simplement compter.

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      Une industrie forte pour une France souveraine

      news.movim.eu / souverains · Tuesday, 29 December, 2020 - 21:00

    Une industrie forte pour une France souveraine

    "Que faire ?"

    Sortir de l'UE et tout ce que ça implique.

    #France, #Politique, #fr, #UE, #Euro, #Industrie, #Souveraineté, #Souverainisme.