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      Does Counter-Terrorism Work? by Richard English review – a thoughtful and authoritative analysis

      news.movim.eu / TheGuardian · Tuesday, 2 April - 08:00

    The Belfast academic offers vitally important lessons about government strategies, from Northern Ireland to the Middle East, warning that few campaigns are a complete success

    In January 2002, during his State of the Union address, President George W Bush said that in “four short months” the US had “rallied a great coalition, captured, arrested and rid the world of thousands of terrorists … and terrorist leaders who urged followers to sacrifice their lives are running for their own”.

    The term “war on terror” had been coined a few days after al-Qaida’s attacks of 9/11 to describe the most extensive and ambitious counter-terrorism operation the world had seen. As Bush spoke, it all seemed to be going rather well.

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      Taliban edict to resume stoning women to death met with horror

      news.movim.eu / TheGuardian · Thursday, 28 March - 18:02

    Afghan regime’s return to public stoning and flogging is because there is ‘no one to hold them accountable’ for abuses, say activists

    The Taliban’s announcement that it is resuming publicly stoning women to death has been enabled by the international community’s silence, human rights groups have said.

    Safia Arefi, a lawyer and head of the Afghan human rights organisation Women’s Window of Hope, said the announcement had condemned Afghan women to return to the darkest days of Taliban rule in the 1990s.

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      La France va "tenter" d'évacuer des centaines d'Afghans et de binationaux, dit Macron

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 26 August, 2021 - 16:11 · 2 minutes

    À l

    AFGHANISTAN - La France va tenter d’évacuer encore “plusieurs centaines” d’Afghans de Kaboul, a déclaré ce jeudi 26 août le président Emmanuel Macron, ajoutant que Paris faisait “le maximum” pour y arriver , mais sans garantie en raison de la situation sécuritaire “extrêmement tendue” à l’aéroport .

    “Au moment où nous nous parlons, nous avons 20 bus avec des ressortissants binationaux et (des) Afghans que nous souhaitons pouvoir rapatrier (..) Cela représente plusieurs centaines de personnes en danger encore”, a-t-il dit lors d’un déplacement à Dublin. “Plusieurs de ces bus sont dans la file d’attente qu’il y a dans la zone à l’extérieur de l’aéroport”.

    Aucune garantie

    Il a assuré que la France ferait “le maximum pour que toutes ces personnes que nous avons pu prendre en charge mais qui ne sont pas arrivées dans l’enceinte de l’aéroport militaire puissent y accéder et être ensuite évacuées vers les Émirats arabes unis et la France”.

    Mais il ajouté: “je ne peux pas aujourd’hui vous garantir que nous arriverons à procéder à ces opérations, parce que la situation de sécurité n’est pas sous notre contrôle”.

    Quid de l’après 31 août?

    Le chef de l’État a par ailleurs indiqué que l’ambassadeur de France en Afghanistan, David Martinon, allait rentrer à Paris d’ici quelques jours. “Compte tenu des conditions de sécurité, l’ambassadeur français ne restera pas pour le moment en Afghanistan”, a-t-il précisé. “Il restera ambassadeur (...). Par contre, pour des raisons sécuritaires, il opèrera depuis Paris”.

    Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a assuré que les talibans s’étaient engagés à laisser partir les Américains et les Afghans à risque se trouvant encore dans le pays après le 31 août .

    “Nous allons construire en lien avec nos alliés les voies et moyens, après le 31 août, d’assurer des opérations humanitaires qui auront forcément une nature différente”, a précisé Emmanuel Macron, évoquant tous les Afghans menacés “en raison des combats qu’ils mènent”.

    Le président de la République s’exprimait alors que des explosions ont retenti à proximité de l’aéroport et que le Pentagone évoquait un attentat “complexe”. Au moins 5 morts et une dizaine de blessés ont été emmenés dans un hôpital de Kaboul après des explosions à l’aéroport de la capitale afghane, où ont lieu les opérations d’évacuation des Afghans voulant fuir leur pays, a constaté un photographe de l’AFP.

    À voir également sur le HuffPost : Des victimes dans plusieurs explosions près de l’aéroport de Kaboul

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      Macron en Irak à la rencontre de "la diversité irakienne", sur les ruines de Daech

      Astrid de Villaines · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 26 August, 2021 - 15:15 · 3 minutes

    La mosquée Al-Nouri, reprise aux mains de Daech en 2017. Le président Macron se rendra sur le chantier de sa reconstruction.

    INTERNATIONAL - C’est un long déplacement qui va durer tout le week-end. Emmanuel Macron se rend en Irak ce vendredi 27 août au soir pour deux jours à la rencontre de toutes les composantes de la société irakienne, quasiment un an, jour pour jour, après son dernier déplacement du 2 septembre 2020.

    “Le Président de la République accorde beaucoup d’importance à l’Irak, État pivot et charnière, notamment concernant la stabilité du Moyen-Orient ”, expliquait l’Élysée, quelques jours avant son départ. Tout au long de sa visite, le président aura à cœur de “marquer l’attachement de la France au renforcement de la lutte contre le terrorisme, au développement économique du pays et à sa stabilisation”.

    Échanges avec des influenceurs de Mossoul

    Après des entretiens samedi 28 août au matin à Bagdad avec le président irakien, Barham Salih, et le Premier ministre Moustafa al-Kazimi, le chef de l’État participera à une conférence avec plusieurs pays de la région, co-organisée avec l’Irak, sans la Syrie qui n’est pas invitée. “Il s’agira, pour l’ensemble des participants, de manifester leur soutien au rôle pivot de l’Irak et de contribuer à la baisse des tensions régionales en favorisant le dialogue”, précise l’Élysée.

    Dimanche 29 août, le président se rend à Mossoul , au nord du pays, territoire anciennement détenu par le califat territorial de Daech . “L’objectif est d’échanger avec la population locale et d’apporter le soutien de la France aux opérations de stabilisation et de reconstruction de cet espace”, détaille le Palais. Emmanuel Macron rencontrera des étudiants et des influenceurs sur place qui “ont construit une partie de leur jeunesse sous Daech et qui construisent leur avenir”.

    Déplacement “optimal” sur le plan de la sécurité du président

    “Même si le califat territorial a été détruit, Daech et le terrorisme en général restent une menace”, rappelle l’Élysée qui promet un déplacement “optimal” sur le plan de la sécurité du président sur place. Emmanuel Macron ira sur les ruines de la mosquée sunnite Al-Nouri , là où l’“État islamique” avait été proclamé en 2014, un site symbolique de la lutte contre Daech, aujourd’hui en chantier après sa destruction.

    Autre temps fort du déplacement, la rencontre avec les Kurdes qui ont lutté contre le califat et “des éléments français de l’armée qui mènent une lutte quotidienne contre Daech”, explique le Palais, sans en dire plus pour des raisons de défense nationale. “Ce combat se poursuit, il s’agit d’éviter une résurgence”, précise encore l’Élysée.

    Rencontre de toutes les communautés religieuses

    Le président français rendra visite à la famille d’Hujam Surchi, peshmerga emprisonné et exécuté par Daech à qui il rendra hommage. Emmanuel Macron rencontrera aussi Massoud Barzani, ancien président de la région autonome du Kurdistan et “symbole des combattants kurdes”. Il s’agira de démontrer “l’attachement de la France au Kurdistan, dans tous les domaines”.

    L’essayiste Caroline Fourest, réalisatrice d’un film sur les combattantes kurdes “que le président a vu” sera dans la délégation officielle, ”à la demande du président de la République”. Il sera aussi accompagné de la co-lauréate du prix Nobel, Nadia Murad, torturée par Daech et issue de la communauté yézidie.

    Le président prendra soin d’aller à la rencontre de “la diversité irakienne”, avec plusieurs étapes dans les communautés religieuses qui composent le pays. Samedi 28 août, il se rendra au sanctuaire chiite de Kadhinya,“lieu de prière et d’échanges”. Il rencontrera également des représentants des chrétiens d’Orient pour leur dire leur “attachement” et sera reçu à Notre-Dame de l’Heure, à Mossoul, lieu de culte catholique. Mgr Pacal Gollnisch, directeur général de l’oeuvre d’Orient qui soutient cette communauté fait partie de la délégation officielle.

    La situation en Afghanistan sera évoquée par les différentes parties en présence, mais n’est pas “le point central” de la conférence régionale ni du déplacement du président.

    À voir également sur Le HuffPost : En Irak, le pape célèbre une messe sur les ruines d’une église bombardée par l’EI