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      ‘Havana syndrome’ linked to Russian unit, media investigation suggests

      news.movim.eu / TheGuardian · Monday, 1 April - 12:25

    US diplomats may have been targeted by Russian sonic weaponry, say The Insider, Der Spiegel and CBS’s 60 Minutes

    The mysterious so-called Havana syndrome symptoms experienced by US diplomats in recent years have been linked to a Russian intelligence unit, according to a joint media investigation released on Monday.

    Havana syndrome was first reported in 2016 when US diplomats in Cuba’s capital reported falling ill and hearing piercing sounds at night, prompting speculation of an attack by a foreign entity using an unspecified sonar weapon.

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      Mysterious health incidents rise to 130, US officials confirm

      Beth Mole · news.movim.eu / ArsTechnica · Friday, 14 May, 2021 - 18:17

    1950s cars driving past a Brutalist, multistory concrete building is peak Cuba.

    Enlarge / Picture of the US embassy in Havana, taken on September 29, 2017, after the United States announced it was withdrawing more than half its personnel in response to mysterious "health attacks" targeting its diplomatic staff. (credit: Getty | AFP )

    Reports of mysterious health incidents that have led to brain injuries and caused a range of symptoms among government personnel continue to stream in. One of the latest cases occurred just within the last few weeks, and the total number of US personnel affected is now over 130, according to reports.

    The New York Times reported earlier this week that at least three CIA officers have suffered serious health effects from enigmatic episodes that occurred overseas since last December, one of them within the last few weeks. All three of the CIA officers required outpatient treatment at Walter Reed National Military Medical Center or other medical facilities, the Times noted.

    Officials told the Times that the number of cases is now topping 130, up from the previously reported 60 cases, which were mainly among diplomats and their families stationed in Cuba and Guangzhou, China.

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      Ces Cubains ont survécu 33 jours sur une île déserte

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 10:58 · 2 minutes

    INSOLITE - Cette histoire a tout d’un miracle. Ce mardi 9 février, des gardes-côtes américains ont secouru trois citoyens cubains , échoués sur une île déserte proche des Bahamas , entre les Keys et Cuba, à la suite d’un naufrage survenu 33 jours plus tôt.

    C’était moins une. “C’est incroyable, souffle le lieutenant Justin Dougherty à la chaîne WPLG, filiale de CNN . J’ai été étonné de les voir en aussi bonne forme.” C’est lors d’une patrouille de routine, ce lundi, que ses équipes ont aperçu deux homme et une femme brandir des drapeaux de fortune.

    Ils leur ont largué une radio, de la nourriture et de l’eau avant de revenir le lendemain pour les sauver, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous.

    De leur côté, les naufragés ne présentent aucune blessure. Ils ont déclaré avoir passé près de cinq semaines à survivre en se nourrissant de noix de coco, de conques et de rats.

    “C’était une opération très complexe, impliquant des ressources et des équipages de différentes unités, mais grâce à une bonne communication et une bonne coordination entre les centres de commandement et les pilotes, nous avons pu emmener tout le monde en toute sécurité dans un centre médical avant que la situation ne s’aggrave,” a assuré Sean Connett, officier de service de commandement des garde-côtes du 7e district, dans un communiqué.

    Les trois naufragés, dont la raison de leur présence en mer n’a pas été précisée, se trouvent actuellement au Lower Keys Medical Center, un centre hospitalier situé dans l’État de Floride.

    À voir également sur Le HuffPost : Cette île du Morbihan a reçu ses vaccins par hélicoptère

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      À Cuba, les entreprises privées vont pouvoir investir la quasi-totalité de l'économie

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 6 February, 2021 - 20:32 · 2 minutes

    À Cuba, où l

    ÉCONOMIE - Cuba a annoncé ce samedi 6 février que l’activité privée serait désormais autorisée dans la majorité des secteurs, une réforme majeure dans ce pays socialiste où l’État et ses entreprises dominent l’activité économique.

    La mesure, qui avait été dévoilée en août dernier par la ministre du Travail, Marta Elena Feito, a été approuvée vendredi lors d’une réunion du Conseil des ministres, selon le quotidien officiel Granma , du Parti communiste au pouvoir.

    Jusqu’à présent, l’activité privée, autorisée à Cuba depuis 2010, mais dont le véritable essor date du réchauffement historique entre Cuba et les États-Unis initié fin 2014 sous Barack Obama , était limitée à une liste de secteurs fixée par l’État. “La liste antérieure des 127 activités (autorisées) est éliminée”, a indiqué la ministre du Travail.

    Moins d’un Cubain sur six travaille actuellement dans le privé

    À l’inverse, désormais une liste fixera les secteurs réservés à l’État, qui ne seront qu’une minorité: “sur les plus de 2.000 activités dans lesquelles est permis l’exercice de travail privé (...), ne seront limitées, de façon partielle ou totale, que 124”, a-t-elle expliqué, sans plus de détails.

    “Que le travail privé continue à se développer, c’est l’objectif de cette réforme de perfectionnement” du secteur, a assuré la ministre, soulignant que cela “va permettre de libérer les forces productives” du privé.

    Actuellement, plus de 600.000 Cubains travaillent dans le privé, soit 14,5% de la population active, dans cette île de 11,2 millions d’habitants. Ils sont employés essentiellement dans la gastronomie, les transports (taxis) et la location de chambres aux touristes.

    Mais ce secteur “a été durement touché par le renforcement de l’embargo” américain sous l’administration de Donald Trump et “aussi par les effets de la pandémie” de coronavirus, qui a poussé nombre d’entre eux à suspendre leur licence. La réforme est “une étape importante pour augmenter l’emploi”, a souligné sur Twitter le ministre de l’Economie Alejandro Gil.

    C’est “une bonne nouvelle” et “véritablement un pas dans la bonne direction”, même si, “malheureusement, cela a pris trop de temps” à être approuvé, a estimé sur Twitter l’économiste Ricardo Torres, de l’université de La Havane.

    À voir également sur le HuffPost : Elle porte une maison en carton sur les épaules pour se protéger du coronavirus à Cuba

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      Covid-19: Comment le "tourisme vaccinal" se développe à travers le monde

      Maxime Le Roux · news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 3 February, 2021 - 18:31 · 6 minutes

    Cuba diffuse déjà des posts publicitaires pour inviter les touristes sud-américains à venir se faire vacciner sur l

    CORONAVIRUS - Partir en voyage dans l’espoir de se faire vacciner plus tôt que prévu. C’est du déjà-vu dans certains États américains et un nouveau concept touristique dans le viseur de Cuba ou des Émirats arabes unis, ainsi que de plusieurs agences de voyages et conciergeries de luxe à travers le monde.

    Cela en toute transparence et au risque de court-circuiter la chaîne et la stratégie de vaccination mises en place par les autorités pour lutter le plus efficacement possible contre les décès liés au Covid-19 , alors que le nombre de doses disponibles est encore peu important.

    La Floride contrainte de réagir

    Le phénomène est déjà constaté depuis plusieurs semaines aux États-Unis, où la vaccination s’organise État par État. Dans le New Jersey, les fumeurs font, par exemple, partie des personnes à vacciner en priorité. En Floride, le vaccin est proposé gratuitement et sans condition aux plus de 65 ans, créant un appel d’air pour les Américains disposant d’une résidence secondaire ou même de riches étrangers venus se faire vacciner.

    Plusieurs médias américains, comme la chaîne locale NBC South Florida , se sont fait l’écho de touristes canadiens, brésiliens ou encore argentins rencontrés et parfois interrogés dans les files d’attente des centres de vaccination, notamment dans celles de la chaîne de supermarchés Publix Super Markets qui a signé un partenariat avec l’État .

    “Nous recevons des demandes de clients prêts à prendre l’avion pour la Floride, s’ils ont un rendez-vous garanti, puis à rentrer chez eux dans la journée même”, avait même expliqué à la mi-janvier au Wall Street Journal , la vice-présidente d’une société de jet privé basée à Toronto au Canada.

    Selon le quotidien britannique The Guardian , près de 50.000 doses ont été injectées à des touristes ou des résidents secondaires de plus de 65 ans en Floride. Un chiffre qui peut paraître marginal (3,5% du total à la fin du mois de janvier) mais qui a poussé le gouverneur républicain, Ron DeSantis, et le maire de Miami, Francis Suarez, à demander le renforcement des contrôles dans les centres de vaccination, plusieurs administrés s’étant plaints de ne pas réussir à prendre rendez-vous.

    Depuis le 21 janvier, il faut désormais fournir une carte d’identité ou des factures justifiant d’au moins trois mois de présence annuelle en Floride pour s’inscrire dans un centre. Une mesure qui n’empêchera pas les seniors canadiens résidant plusieurs mois en Floride pendant les mois d’hiver de se faire vacciner, selon les habitants interrogés par CBC .

    Des prémices ailleurs dans le monde

    Au niveau international, le concept de “tourisme vaccinal” -qui peut s’apparenter à ce qui existe déjà pour les implants mammaires ou capillaires- est né en Inde, via l’agence Gem Tours & Travels, qui en revendique d’ailleurs la création . Elle proposait, dès la fin novembre , de réserver des séjours de 4 jours de Bombay à New York pour les Indiens disposant d’un visa américain valide de 10 ans. Le tout pour la somme affichée de 2000 dollars (près de 1700 euros), selon les médias locaux, qui précisaient que la démarche était condamnée sur place par les instances représentatives du tourisme.

    Depuis, l’Inde a lancé, le 16 janvier, sa campagne de vaccination et prévoit d’immuniser 300 millions de personnes d’ici à juillet. Mais certaines tranches de la population sont prioritaires. Ainsi les personnes les plus vulnérables et les plus exposées à la maladie, dont les 30 millions de soignants du pays, seront vaccinées en priorité. Suivront ensuite d’ici à la fin de l’année 2021 les plus de 50 ans, soit pas moins de 260 millions de personnes.

    Mais pour les autres, certains tour-opérateurs du pays, comme Gem Tours & Travels ou Zenith Holidays proposent déjà de s’enregistrer pour des formules “tout compris” pour les États-Unis, le Royaume-Uni ou la Russie. Dans l’offre: les billets d’avion, l’hébergement, parfois une petite visite culturelle et donc la vaccination. Les agences proposent de rester sur place (de 3 à 12 semaines actuellement) pour recevoir la seconde ou de faire le voyage en deux fois, via la même offre, explique le journal indien en langue anglaise The Print .

    Des séjours de luxe pour se faire vacciner aux Émirats?

    Depuis le Royaume-Uni cette fois, la très select conciergerie de luxe, “Knightsbridge Circle”, assure avoir d’ores et déjà conclu un partenariat avec les Émirats arabes unis pour que ses membres puissent partir -la plupart en jet privé et grâce aux dérogations faites pour les voyages d’affaires-, se faire injecter le vaccin chinois Sinopharm, administré depuis le 31 janvier dans l’État du golfe, explique The Guardian .

    “C’est très excitant de dire que nous pouvons offrir le vaccin maintenant”, a déclaré le fondateur Stuart McNeill au Telegraph . C’est comme si nous étions les pionniers de ce nouveau programme de vaccins de luxe pour les voyages”. Le vaccin sera même “offert pour ces touristes”, a assuré aux journaux britanniques le porte-parole du club, dont l’adhésion annuelle est tout de même fixée à 25.000 livres (près de 22.000 euros). Le club n’a en revanche pas reçu l’autorisation pour le vaccin américano-allemand Pfizer/BioNTech réservé, lui, à la population du pays.

    Cuba promet de vacciner les touristes volontaires dès le mois de mars

    Le vaccin, Cuba en a même fait un nouvel argument touristique. Dans un spot publicitaire diffusé le 23 janvier sur la télévision vénézuélienne TeleSUR TV , le directeur de l’Institut Finlay de La Havane, Vincente Vérez, invite les étrangers à programmer un voyage sur l’île des Caraïbes “dès le mois de mars” pour joindre l’utile à l’agréable en se faisant vacciner contre le Covid-19.

    Les autorités cubaines prévoient déjà de produire “100 millions de doses” du vaccin Soberana 2, l’un des 4 vaccins actuellement en phase de test avancé à Cuba. Un chiffre suffisant pour vacciner la totalité des 11,3 millions d’habitants de l’île. Le vaccin sera gratuit mais pas obligatoire pour la population cubaine.

    Cette production devrait donc permettre de vacciner les touristes qui le souhaiteraient. Cuba a également promis d’offrir des millions de doses de son précieux sérum au Vietnam, à l’Iran, au Venezuela ou encore à l’Inde. “La phase de production” a déjà commencé, avait précisé le docteur le docteur Vérez fin janvier. Même si le vaccin Soberana 2 n’a pas passé la dernière phase scientifique de sa recherche et les tests sur des milliers de volontaires et qu’il n’est donc pas encore homologué. Mais là-bas, on prépare déjà le tourisme de demain.

    À voir également sur Le HuffPost: Le Royaume-Uni forme une armée de bénévoles pour vacciner à la chaîne

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      Covert microwave weapon “most plausible” cause of Cuba “health attacks”

      Beth Mole · news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 10 December, 2020 - 11:45

    1950s cars driving past a Brutalist, multistory concrete building is peak Cuba.

    Enlarge / Picture of the US embassy in Havana, taken on September 29, 2017, after the United States announced it was withdrawing more than half its personnel in response to mysterious health attacks targeting its diplomatic staff. (credit: Getty | AFP )

    In late 2016, US diplomats in Cuba began reporting bizarre and alarming episodes in their homes and hotel rooms. They spoke of irritating or piercing noises—buzzes, squeals, or clicks—that seemed to come from a particular direction but weren’t always dampened when they clasped their hands to their ears. Some described feeling pressure and vibrations, too.

    With the disturbances came a constellation of debilitating symptoms: dizziness, nausea, headaches, balance problems, ringing in their ears, visual disturbances, nosebleeds, difficulty concentrating and recalling words, hearing loss, and speech problems.

    Since the first 2016 reports, the mysterious episodes seemed to afflict more than 50 US diplomats and their families; more than 40 in Havana and at least a dozen more at the US Consulate in Guangzhou, China. Some CIA officers working in Russia have also reported similar cases.

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