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      Le CDC demande aux Américains d'arrêter d'embrasser leurs poulets

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 21 May, 2021 - 19:09 · 1 minute

    163 cas de salmonellose ont été enregistrés depuis mi-février aux États-Unis (image d

    SANTÉ - Pas de bisous, ni de câlins. Face à une recrudescence des cas de salmonellose aux États-Unis , les autorités sanitaires ont émis une recommandation qui n’a pas manqué d’amuser: elles ont demandé aux Américains d’arrêter d’embrasser leurs poules et autres volailles.

    “Ne faites pas de bisous ni de câlins aux volailles de basse-cour, et ne mangez ni ne buvez près d’elles”, ont très sérieusement demandé les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), principale agence fédérale de santé publique du pays.

    Selon les CDC, une poussée du nombre de cas de salmonellose est en partie liée à ce comportement: 163 cas ont été enregistrés depuis mi-février, dont 34 hospitalisations.

    “Des entretiens avec les personnes malades ont montré que des contacts avec des volailles étaient probablement la source de l’épidémie”, ont-ils ajouté.

    Même s’ils semblent propres, ces animaux, comme les poules ou les canards , peuvent transporter la salmonelle, une bactérie pouvant provoquer diarrhées, fièvre et vomissements, ont prévenu les CDC.

    Les autorités ont également recommandé de se laver scrupuleusement les mains après un contact avec une volaille, et de décourager les enfants de jouer avec elles.

    Généralement, les infections surviennent par l’ingestion d’œufs ou de produits laitiers contaminés. Des dizaines de millions de cas sont enregistrés chaque année, mais ils sont rarement mortels.

    À voir également sur Le HuffPost: Ne succombez pas au reblochon l’hiver, il est meilleur en été

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      Parler laisse tomber sa plainte contre Amazon, qui l’avait mis hors ligne

      Julien Lausson · news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 3 March, 2021 - 14:58

    Parler

    Le réseau social américain Parler, prisé de l'extrême droite, passe à autre chose : l'entreprise s'est désistée de sa plainte. [Lire la suite]

    Voitures, vélos, scooters... : la mobilité de demain se lit sur Vroom ! https://www.numerama.com/vroom/vroom//

    L'article Parler laisse tomber sa plainte contre Amazon, qui l’avait mis hors ligne est apparu en premier sur Numerama .

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      Biden veut fermer Guantanamo avant la fin de son mandat, comme Obama avant lui

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 13 February, 2021 - 07:43 · 2 minutes

    Biden veut fermer Guantanamo avant la fin de son mandat, comme Obama avant lui (Photo: à Bruxelles des manifestants demandent la fermeture de la prison de Guantanamo à l

    ÉTATS-UNIS - Le président américain Joe Biden souhaite fermer l’emblématique prison de Guantanamo avant la fin de son mandat, a affirmé ce vendredi 12 février la porte-parole de la Maison Blanche. Le démocrate reprend ainsi une promesse de campagne de Barack Obama, que ce dernier n’a jamais pu tenir faute d’un compromis avec le Congrès.

    Interrogée lors d’une conférence de presse sur une fermeture possible de la prison de Guantanamo pendant le mandat de Joe Biden, la porte-parole de la Maison Blanche Jen Psaki a déclaré: “C’est certainement notre objectif et notre intention.”

    “Nous avons donc entamé un processus avec le Conseil de la sécurité nationale (...) pour travailler avec les différentes agences fédérales et évaluer la situation actuelle (...), que nous avons héritée du gouvernement précédent”, a-t-elle ajouté.

    “Remplir” Guantanamo de “mauvais gars”

    Durant sa campagne présidentielle de 2016, Donald Trump avait affiché sa volonté de garder ouverte la prison de Guantanamo et “de la remplir de mauvais gars”. Le républicain avait conservé cette position une fois élu. Certains détenus s’étaient pourtant vu promettre leur libération de Guantanamo sous son prédécesseur démocrate Barack Obama .

    La prison militaire accueille des détenus liés à la “guerre contre le terrorisme” dont le Pakistanais Khaled Cheikh Mohammed, le cerveau autoproclamé des attentats du 11 septembre 2001.

    Elle abrite encore une quarantaine de détenus, dont 26 sont considérés comme trop dangereux pour être libérés, mais les procédures légales s’éternisent en raison de la complexité de leurs dossiers.

    Une prison à Cuba pour les terroristes

    L’armée américaine, sous la présidence de George W. Bush, avait construit rapidement ce centre de détention sur une base navale appartenant aux Etats-Unis, à la pointe est de l’île de Cuba.

    Cette enclave de 117 km2 (dont seulement 49 km2 de terre ferme) avait été cédée par Cuba aux États-Unis en 1903, pour remercier son puissant voisin de son aide dans la guerre contre les Espagnols.

    Les vingt premiers détenus y sont arrivés le 11 janvier 2002, quelques semaines après les attentats du 11 septembre 2001. Dès cette époque cette prison a incarné, à travers le monde, les excès dans la lutte antiterroriste des États-Unis . Les images des prisonniers en combinaison orange, derrière des grillages surmontés de fil barbelé, ont choqué, tout comme les gavages imposés à ceux refusant de se nourrir.

    Au plus fort de son activité, sur les braises de la “guerre contre le terrorisme” lancée par George W. Bush, 780 personnes étaient détenues à Guantanamo pour leurs liens présumés avec Al-Qaïda et les talibans. Des centaines de détenus ont depuis été libérés ou transférés vers leur pays natal ou des pays tiers.

    À voir également sur Le HuffPost: Joe Biden ne veut plus que Donald Trump reçoive d’informations confidentielles

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      Covid-19: Moderna veut augmenter de 50% la capacité de ses flacons de vaccin

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 13 February, 2021 - 02:01 · 1 minute

    Une infirmière américaine remplissant une seringue seringues avec le vaccin Moderna, dans le Connecticut aux États-Unis, le 12 février 2021.

    VACCIN - La société américaine de biotechnologie Moderna a indiqué ce vendredi 12 février avoir demandé l’autorisation à différentes autorités sanitaires du monde entier, d’augmenter de 50% la capacité de ses flacons de vaccin contre le Covid-19 , afin d’accélérer les campagnes de vaccination en cours.

    “Afin d’optimiser les ressources et les opportunités de livrer plus de doses plus rapidement sur chaque marché, Moderna a proposé de remplir ses flacons avec jusqu’à 15 doses de vaccin, en comparaison des 10 d’avant”, a indiqué la société dans un communiqué à l’AFP.

    L’Agence américaine du médicament (FDA) a déjà autorisé l’augmentation de 40% du contenu des flacons, selon le New York Times , citant des sources proches du dossier.

    Une porte-parole a précisé que des discussions étaient en cours avec la FDA et les autorités des différents pays où le vaccin est utilisé, et que cette augmentation ne nécessiterait pas de changement dans le conditionnement des fioles.

    “Ce serait un grand pas en avant”

    “Tout changement serait soumis à l’autorisation finale des différentes autorités de régulation. La mise en place de tout changement prendrait environ deux à trois mois”, a-t-elle ajouté.

    Pour augmenter les doses, les lignes de production devraient être transformées, ce qui prendrait moins de dix semaines, soit d’ici la fin avril, a pour sa part indiqué le New York Times .

    “Ce serait un grand pas en avant”, a salué dans le quotidien Moncef Slaoui, ancien conseiller en chef du programme de vaccination américain sous Donald Trump.

    “Je pense que cela aura un impact à court terme”, a-t-il ajouté.

    Plus de 10% de la population américaine a reçu au moins une dose de vaccin contre le coronavirus, presque la moitié avec celui de Moderna et un peu plus de la moitié avec celui de Pfizer.

    Le président Joe Biden a confirmé jeudi que les deux sociétés allaient fournir 600 millions de doses au total, soit assez pour vacciner 90% des habitants.

    À voir également sur Le HuffPost : ″Ça vous excite?” La photo d’Olivier Véran se faisant vacciner a inspiré Stephen Colbert

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      Les avocats de Trump réclament son acquittement en dénonçant une "chasse aux sorcières"

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 19:24 · 4 minutes

    President Donald Trump gestures as he walks on the South Lawn of the White House in Washington, Friday, Oct. 30, 2020, before boarding Marine One for a short trip to Andrews Air Force Base, Md. Trump is traveling to campaign events in Michigan, Wisconsin and Minnesota. (AP Photo/Patrick Semansky)

    ÉTATS-UNIS - Un procès “injuste”, un acte de “vengeance politique”: les avocats de Donald Trump ont demandé ce vendredi 12 février l’acquittement de l’ancien président en qualifiant d’“absurde” son renvoi devant le Sénat des États-Unis pour “incitation à l’insurrection”.

    “Comme toutes les chasses aux sorcières initiées par la gauche au cours des quatre dernières années, l’acte d’accusation n’a rien à voir avec les faits, les preuves et les intérêts des Américains”, a lancé Michael Van der Veen en entamant l’exposé de la défense.

    Usant des mêmes armes que les procureurs démocrates , il a immédiatement diffusé des vidéos, notamment pour montrer que Donald Trump s’est régulièrement présenté comme le protecteur de “la loi et de l’ordre”, mais aussi que ses opposants ont eux-mêmes parfois tenu des discours enflammés.

    Le 45e président des États-Unis se voit notamment reprocher d’avoir lancé “Battez-vous comme des diables” à ses partisans, juste avant qu’ils ne se lancent à l’attaque du siège du Congrès, où les élus étaient en train de certifier la victoire de son rival démocrate Joe Biden à la présidentielle.

    “C’est de la rhétorique politique ordinaire, pas différente du langage utilisé par tous les partis depuis des centaines d’années”, a plaidé M. Van der Veen, en mettant en garde contre un procès qui, selon lui “divise la Nation”.

    Donald Trump n’assiste pas à ce procès, dont l’issue semble jouée d’avance . Il est en effet très peu probable que 17 sénateurs républicains acceptent de voter avec les 50 sénateurs démocrates pour former la majorité qualifiée nécessaire à sa condamnation.

    Trump “optimiste”, Biden “impatient”

    “Le président (Donald Trump, NDLR) est très optimiste”, avait affirmé jeudi sur Fox News l’un de ses avocats, David Schoen, en promettant un court exposé, de moins de quatre heures, devant les cent sénateurs, juges, jurés et témoins de ce procès historique.

    Une poignée d’élus du Grand Old Party ont tout de même semblé perturbés par la présentation implacable des procureurs démocrates au cours des deux derniers jours. “C’est ce qui arrive quand on fait appel à un studio de cinéma”, a rétorqué Me Schoen. Les démocrates “n’ont absolument pas relié Donald Trump à tout ça”.

    Joe Biden, qui a passé plus de 35 ans sur les bancs de la Chambre haute du Congrès, s’est dit “impatient” de voir ce que ses “amis” républicains feraient lors du vote qui pourrait intervenir ce week-end, espérant qu’ils prendraient “leurs responsabilités”. Le président, resté en retrait depuis le début du procès, a précisé qu’il n’évoquerait pas le dossier avec des sénateurs. La veille, il avait espéré que l’exposé des procureurs ait fait bouger les lignes et convaincu certains élus républicains.

    “Récidive”

    Lors de leur exposé, les procureurs démocrates ont plaidé que Donald Trump “savait à quel point la situation était explosive” lorsqu’il alimentait la colère de ses partisans, en criant, sans apporter de preuves, aux “fraudes massives” pendant des mois, avant et après l’élection présidentielle qui l’opposait à Joe Biden.

    L’attaque sanglante fut “l’apogée des actions du président, pas une anomalie”, a renchéri Jamie Raskin, qui dirige l’équipe d’élus de la Chambre des représentants chargée de porter l’accusation. “Qui, dans cette chambre, peut croire qu’il arrêtera d’inciter à la violence pour parvenir à ses fins, s’il est autorisé à revenir dans le Bureau ovale?”, a insisté Jamie Raskin.

    C’est en brandissant cette crainte d’une récidive que les procureurs ont appelé les sénateurs à condamner Donald Trump, car ce verdict serait immédiatement suivi d’un vote pour le rendre inéligible.

    À la barre vendredi, Me Schoen a rétorqué que les démocrates avaient “sélectionné” les propos du président et donné une image déformée de ses propos. Il a rejoué dans l’hémicycle d’autres extraits de son discours du 6 janvier, dans lequel l’ex-président appelle ses partisans à marcher “de manière pacifique et patriote” sur le Capitole.

    Après les arguments de la défense, ce sera au tour des sénateurs de poser par écrit leurs questions aux deux parties. Le rythme du procès s’est accéléré, au point que David Schoen avançait jeudi qu’un verdict pourrait être rendu avant lundi.

    À voir également sur Le HuffPost: Aux États-Unis, le bonhomme de mème Bernie Sanders est devenu incontournable

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      Biden est "impatient" de voir si les républicains "prendront leurs responsabilités" au procès de Trump

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 14:54 · 1 minute

    Biden

    ÉTATS-UNIS - Le président américain Joe Biden s’est dit ce vendredi 12 février “impatient” de voir ce que ses “amis” républicains feraient lors du procès en destitution de Donald Trump où un vote pourrait intervenir ce week-end.

    “Je suis juste impatient de voir ce que mes amis républicains vont faire, s’ils prennent leurs responsabilités”, a déclaré Joe Biden lors d’un bref échange avec les journalistes à la Maison Blanche.

    Il a par ailleurs réaffirmé qu’il n’avait aucunement l’intention d’évoquer ce dossier avec tel ou tel sénateur en particulier.

    La défense doit prendre la parole vendredi au Sénat, en espérant un acquittement rapide de l’ex-président, accusé d’“incitation à l’insurrection” dans l’assaut du Capitole. Pour appuyer ce chef d’accusation, les procureurs démocrates ont diffusé dès les premiers jours du procès des images inédites pour souligner la violence inouïe de l’assaut sur le Capitole .

    Les élus démocrates de la Chambre des représentants, chargés de porter l’accusation contre l’ancien président, ont aussi replacé l’assaut dans le contexte de la croisade post-électorale de Donald Trump qui a toujours refusé de concéder sa défaite face à Joe Biden.

    Installé en Floride depuis son départ de la Maison Blanche, l’ancien président a refusé de témoigner. Sauf coup de théâtre, il devrait échapper à une condamnation, qui ne peut avoir lieu sans le vote des deux tiers des sénateurs. Or, si le Sénat a basculé aux mains des démocrates lors des élections, leur majorité ne tient qu’à une seule voix. Le vote des républicains modérés ou hostiles à Donald Trump sera donc décisif.

    À voir également sur Le HuffPost: L’hommage de Joe Biden au policier mort en défendant le Capitole

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      Donald Trump aurait été plus malade du Covid-19 qu’il ne l’a dit

      Alix Coutures · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 08:33 · 2 minutes

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    ÉTATS-UNIS -  Donald Trump a-t-il menti sur son état en octobre dernier? Il présentait en tout cas des symptômes de Covid-19 bien pires que ce que la Maison Blanche avait annoncé au moment où Donald Trump a été hospitalisé en octobre dernier, a rapporté le New York Times ce jeudi 11 février.

    Quatre témoins anonymes cités par le quotidien américain ont avancé que son taux d’oxygène dans le sang était “extrêmement bas” et qu’il avait développé une infection pulmonaire grave provoquée par le coronavirus.

    Contrairement à ce qu’avançait la Maison Blanche à l’époque, son état se serait détérioré au point où les médecins ont hésité à le placer sous respirateur artificiel en réanimation, toujours d’après le New York Times. Lorsque Donald Trump a été admis trois jours à l’hôpital militaire, son médecin personnel Sean Conley avait déclaré que Trump allait “très bien” , qu’il était “heureux des progrès réalisés par le président” et qu’il n’y avait “aucune raison de s’inquiéter”.

    Une visite surprise organisée devant l’hôpital

    Autre révélation du New York Times , l’ancien président Trump aurait mis en danger les membres des services secrets américains en organisant une visite surprise en voiture à ses supporters, deux jours seulement après avoir avoir été admis à l’hôpital, c’est-à-dire alors qu’il était encore contagieux. Deux membres des services secrets ont été aperçus dans la voiture, alors qu’ils accompagnaient Donald Trump. Une sortie que les médecins de l’hôpital avaient alors qualifiée “d’absurdité”.

    Donald Trump est finalement sorti de l’hôpital le 5 octobre , après avoir reçu un  cocktail d’anticorps monoclonaux fabriqués par la Maison Blanche en guise de traitement. C’est alors qu’il a regagné la Maison Blanche en hélicoptère avant de retirer son masque et de lever les pouces en signe de victoire. Il a ensuite enregistré une courte vidéo dans laquelle il appelait les Américains à suivre son exemple, à sortir de chez eux et à ne pas redouter le coronavirus.

    Il a également affirmé que sa guérison était la preuve que leCovid-19 n’était pas dangereux alors même que quelques jours plus tôt, il était dans un état d’urgence sanitaire, selon les affirmations du New York Times .

    À voir également sur le HuffPost: Melania Trump critiquée après avoir retiré son masque pour lire à des enfants malades

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      Le vaccin contre le Covid-19 proposé à "tous les Américains d'ici fin juillet"

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 08:11 · 2 minutes

    ÉTATS-UNIS - Donner un cap. Joe Biden a annoncé jeudi 11 février l’achat de 200 millions de doses supplémentaires de vaccin contre le Covid-19 , qui devraient permettre aux États-Unis de posséder assez de doses d’ici fin juillet pour vacciner la grande majorité de la population.

    Ces 200 millions de doses supplémentaires - 100 millions à la société Moderna et 100 millions à Pfizer - s’ajoutent aux 200 millions de doses déjà commandées à chaque société.

    “Nous sommes désormais en voie d’avoir suffisamment de doses pour 300 millions d’Américains d’ici la fin juillet”, a déclaré le président américain, le chiffre correspondant à la totalité de la population adulte américaine. Un objectif un mois plus ambitieux que dans l’hexagone, où Olivier Véran, le ministre de la Santé, a annoncé vouloir vacciner “tous les Français d’ici la fin du mois d’août”.

    10% de la population vaccinée

    La campagne de vaccination aux États-Unis est entrée jeudi 11 février dans une nouvelle phase avec la distribution de doses dans des milliers de pharmacies du pays, alors que le nombre de cas confirmés continue de reculer. Le gouvernement doit fournir un million de doses à quelque 6500 pharmacies, où les Américains ont l’habitude de se faire vacciner contre la grippe. Elles doivent injecter les premières doses dès le lendemain.

    Au total, environ 40.000 pharmacies feront partie du programme. Le gouvernement a également accéléré la production de vaccins, ouvert des sites de vaccination supplémentaires et lancé une campagne pour les moins privilégiés comme les sans-abri.

    Après des débuts chaotiques en décembre, les États ont augmenté la cadence: 44,8 millions de doses ont été administrées et au moins 33,8 millions de personnes ont reçu une ou deux doses, soit environ 10% de la population.

    Selon les projections, “la pleine saison” vaccinale pourrait débuter en avril, “quand pratiquement tout le monde” pourra recevoir une injection, a affirmé sur NBC Anthony Fauci, principal conseiller médical sur la pandémie du président.

    Les États-Unis sont le pays le plus touché par la pandémie tant en nombre de morts que de cas, avec plus de 470.000 décès pour plus de 27 millions de cas recensés, selon le comptage de l’université Johns Hopkins. Mais depuis le pic du 8 janvier, les courbes de cas positifs, d’hospitalisations et de décès sont en baisse continue.

    À voir également sur Le HuffPost: Cette députée veut un “passeport sanitaire” pour relancer le tourisme