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      Caroline Margeridon, antiquaire d'"Affaire conclue", victime d'un cambriolage

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 13 February, 2021 - 13:48

    Caroline Margeridon, antiquaire d

    CAMBRIOLAGE - L’appartement parisien de Caroline Margeridon, une antiquaire de l’émission à succès de France 2 “Affaire conclue”, a été cambriolé vendredi 12 février pour un préjudice estimé à 500.000 euros, a appris l’AFP ce samedi 13 février de source proche du dossier.

    Les voleurs ont fait main basse sur des bijoux, des montres, de la maroquinerie de luxe et de l’argent liquide, a précisé cette source, confirmant une information du Parisien .

    Le cambriolage aurait eu lieu “dans l’après-midi”, selon les premiers éléments de l’enquête. Le parquet de Paris a ouvert une enquête et l’a confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire.

    “Affaire conclue” est une émission à succès de France 2 dans laquelle des particuliers mettent aux enchères des objets expertisés par des spécialistes.

    À voir également sur Le HuffPost: Qui est Jacob Banks, le chanteur qui a été propulsé à la suite de son cambriolage?

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      L'agresseur de Marine Lorphelin, ex-Miss France, déclaré irresponsable

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 17:57 · 1 minute

    Marine Lorphelin, Miss France 2013, lors de l

    JUSTICE - La justice a déclaré vendredi l’irresponsabilité pénale d’un trentenaire, tout en le reconnaissant officiellement auteur de l’agression de l’ancienne Miss France Marine Lorphelin et son compagnon , le 1er janvier 2018 à Lyon.

    Tout en prononçant son irresponsabilité, les magistrats de la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Lyon ont constaté que les charges étaient suffisantes pour reconnaître l’homme de 31 ans auteur de “harcèlement et tentative d’homicide”.

    Le trentenaire a cependant l’interdiction de rentrer en contact avec les victimes pour une durée de vingt ans, ainsi que l’interdiction de porter une arme pendant quinze ans.

    “Cette décision est l’aboutissement d’un processus de reconnaissance de sa pathologie, elle met fin au doute. Des mots sont mis sur les causes de son acte”, s’est satisfait Me Maxence Pascal, l’avocat du trentenaire.

    A l’audience du 29 janvier qui s’était déroulée en présence de l’auteur et de l’avocat de la partie civile, l’homme, qui n’est pas hospitalisé d’office, avait toutefois justifié d’un suivi médical.

    Plusieurs coups de couteau

    Trois experts étaient venus à la barre, concluant à une schizophrénie ayant aboli le discernement de l’auteur, qui n’a pas contesté les faits.

    Sans emploi et solitaire, le jeune homme originaire de la région grenobloise avait développé une véritable obsession vis-à-vis de Marine Lorphelin, élue miss France 2013 et première dauphine de Miss Monde.

    Il l’avait suivie à plusieurs reprises, lors d’élections de miss, dans des librairies où elle dédicaçait son livre, devant la faculté de médecine de Lyon, où elle suivait ses études, et jusqu’à son domicile lyonnais.

    C’est à proximité de son domicile qu’il s’était montré violent, le 1er janvier 2018, lorsqu’il avait vu l’ancienne Miss France avec son compagnon. Il avait frappé ce dernier de plusieurs coups de couteau, le blessant gravement à la main.

    A voir également sur Le HuffPost: Avec “Stars à Nu”, Marine Lorphelin veut que les femmes “osent se faire dépister”

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      Tabassage de Yuriy: deux nouvelles mises en examen, soit 11 au total

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 6 February, 2021 - 17:43 · 2 minutes

    Après la mise en examen de deux nouveaux mineurs, ce sont désormais 11 personnes qui sont concernées par l

    FAITS DIVERS - Deux nouveaux mineurs ont été mis en examen jeudi 4 février, notamment pour “tentative d’assassinat”, dans l’enquête sur l’agression mi-janvier à Paris du jeune Yuriy , a-t-on appris ce samedi auprès d’une source judiciaire qui confirmait une information du Parisien .

    Cela porte à onze le nombre de mis en examen dans cette affaire qui a suscité l’émoi au sein de la classe politique et chez plusieurs célébrités.

    Selon la source judiciaire, deux personnes mineures se sont présentées spontanément mardi et mercredi au 3ème district de la police judiciaire de Paris. À l’issue de leur garde à vue, elles ont été mises en examen par un juge d’instruction pour “tentative d’assassinat”, “vol avec violences” et “participation à une association de malfaiteurs”. Elles ont été placées sous contrôle judiciaire.

    Des rixes entre bandes en toile de fond

    Le 31 janvier, neuf jeunes avaient déjà été mis en examen dans cette enquête, dont cinq pour “tentative d’assassinat” et un sixième pour “complicité”. Sur ces neuf personnes, cinq avaient été placées en détention provisoire.

    Le soir du 15 janvier, Yuriy, collégien âgé de 15 ans, était conduit à l’hôpital dans un état grave après avoir été roué de coups sur la dalle de Beaugrenelle, le toit aménagé d’un centre commercial du XVe arrondissement, un quartier aisé de la capitale, où il se trouvait avec des amis.

    Le 22 janvier, une vingtaine de secondes d’images de son agression ont été diffusées sur les réseaux sociaux. On y voit une dizaine de jeunes en blouson à capuche s’acharnant à coups de pied et de battes, ou de bâtons, avant de l’abandonner. Selon une source proche du dossier, Yuriy avait “un tournevis dans sa poche” lors de son agression.

    Fin janvier, le procureur de Paris Rémy Heitz avait indiqué dans un communiqué que les jeunes mis en cause étaient “soupçonnés d’avoir constitué un groupe afin de préparer une action collective violente à l’égard d’un autre groupe de personnes en réaction à une précédente rixe”, le 10 janvier, dans le XVe arrondissement, qui fait elle-même l’objet d’une enquête distincte, et “d’avoir dans ce cadre commis des violences sur Yuriy et de lui avoir volé son téléphone portable”. Le passage à tabac de Yuriy a braqué les projecteurs sur les phénomènes des bandes dans la capitale.

    À voir également sur le HuffPost : Tensions à Bruxelles après la mort d’Ibrahima lors d’un contrôle de police

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      Une marche blanche en hommage à Estelle Luce, DRH tuée dans le Haut-Rhin

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 6 February, 2021 - 14:40 · 2 minutes

    FAITS DIVERS - Plusieurs centaines de personnes ont participé samedi 6 février à Orschwihr, village alsacien du Haut-Rhin , à une marche blanche en hommage à Estelle Luce qui aurait été la première victime du “tueur de DRH”, suspecté d’avoir également tué une employée de Pôle Emploi à Valence et une autre DRH dans la Drôme.

    À l’issue des obsèques de cette femme de 39 ans, mère de deux enfants, environ 500 personnes, selon les gendarmes , ont pris la direction, une rose blanche à la main, de la chapelle du Bollenberg, au milieu des vignes, sur les hauteurs du village, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.

    En tête du cortège, la famille de la victime tenait une banderole sur laquelle figurait une grande photo de la DRH souriante, entourée de colombes.

    Après avoir cheminé une demi-heure au son de cornemuses, les marcheurs, visiblement émus pour beaucoup, ont déposé en silence leurs roses devant cette petite chapelle aux murs blancs. À l’intérieur, un autel, orné de bougies, a été dressé en mémoire d’Estelle Luce.

    “La douleur ne s’effacera jamais”

    Cette chapelle “est un endroit qu’Estelle aimait beaucoup”, a expliqué à l’AFP la maire d’Orschwihr Marie-Josée Staender. À l’issue de la marche blanche, la famille d’Estelle Luce a procédé à un lâcher de colombes puis de ballons blancs et dorés sous les applaudissements des participants. Dans cette commune d’un millier d’habitants où Estelle Luce résidait depuis quelques années avec son compagnon, “la population est sous le choc, c’est quelque chose de brutal, quelque chose de violent qui n’est jamais arrivé dans ce village”, a confié la maire.

    Après un moment de recueillement, son compagnon Alain a pris la parole pour remercier du soutien reçu. “La douleur ne s’effacera jamais, mais tout ce que vous faites pour nous est un peu de réconfort”, a-t-il déclaré entouré des filles et des proches de la victime.

    Estelle Luce a été retrouvée tuée par balles dans sa voiture sur le parking de son entreprise à Wolfgantzen (Haut-Rhin), près de Colmar, le 26 janvier en fin d’après-midi. Le même jour, un autre DRH, avec qui Estelle Luce avait travaillé en 2008 dans une entreprise d’Eure-et-Loir, s’est fait tirer dessus, également dans le Haut-Rhin. Cette tentative d’assassinat a été commise par un homme qui s’est révélé être Gabriel Fortin, le tueur présumé de Valence et de la Drôme, licencié de cette même entreprise, à l’époque où les deux DRH y travaillaient, a indiqué lundi la procureure de la République de Mulhouse Edwige Roux-Morizot.

    Arrêté au volant de sa voiture, l’homme a été mis en examen pour “assassinats” pour les victimes de Valence et de la Drôme.

    À voir également sur Le HuffPost: Pour ces conseillers Pôle emploi, le meurtre de leur collègue n’arrive pas par hasard

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      À Bordeaux, après une probable explosion au gaz, 3 blessés et 2 disparus

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 6 February, 2021 - 10:02 · 1 minute

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    EXPLOSION - Une explosion est survenue ce samedi 6 février dans un immeuble proche du centre de Bordeaux, faisant au moins trois blessés tandis que deux personnes étaient portées disparues, ont annoncé les pompiers à l’AFP.

    L’explosion a pris “au niveau d’un garage situé au 68 rue Borie”, dans le quartier des Chartrons, qui a provoqué la destruction de ce garage et celles de “deux bâtiments attenants en R+1″, ont précisé les pompiers.

    Les premières constatations suggèrent une explosion due au gaz, une hypothèse qui reste à confirmer. Le gaz a été coupé dans cette rue où l’explosion a brisé plusieurs vitrines de commerces, selon des images sur les réseaux sociaux. Un important dispositif d’une cinquantaine de pompiers a été déployé.

    Plus d’informations à venir...

    À voir également sur Le HuffPost: Une explosion à Madrid ravage un immeuble, au moins 2 morts

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      Mort du petit Tony: Loïc Vantal condamné à 20 ans de prison, Caroline Letoile à quatre ans

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 23:55 · 3 minutes

    Mort du petit Tony: le beau-père condamné à 20 ans de prison, la mère à quatre ans (photo d

    JUSTICE - La cour d’assises de la Marne a condamné ce vendredi 5 février le beau-père du petit Tony, âgé de trois ans , mort en novembre 2016 sous les coups, à 20 ans de réclusion criminelle et la mère à quatre ans de prison dont un avec sursis probatoire.

    Reconnu coupable de “violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur un mineur de 15 ans” et “violences habituelles”, Loïc Vantal voit sa condamnation assortie d’une peine de sûreté des deux-tiers et d’un suivi socio-éducatif de sept ans. Caroline Letoile a été reconnue coupable de “non-dénonciation de mauvais traitements” et “non-assistance à personne en danger”.

    “Les juges et les jurés ont tenu compte de l’humanité de Loic Vantal. Je suis satisfait. C’est aussi un soulagement pour lui”, a réagi auprès de l’AFP son avocat, Me David Scribe.

    “Notre décision de faire appel est en suspens. Nous nous laissons le temps du recul et du repos après ces cinq jours de procès . Caroline Letoile continue de pleurer. C’est le poids de l’émotion qui la fait craquer après ces cinq jours. Elle ne pleure pas sur sa peine”, a rapporté son avocate Pauline Coyac.

    “Jugement relativement clément”

    L’avocat général Matthieu Bourrette avait requis 30 ans de réclusion criminelle avec 15 ans de sûreté à l’encontre du beau-père “tueur” et cinq ans d’emprisonnement, dont un avec sursis, pour une mère au silence “complice”, dont la défense a plaidé la relaxe.

    Selon lui, les coups qui ont plu sur l’enfant, jusqu’à ce qu’il succombe à un éclatement de la rate et du pancréas le 26 novembre 2016, étaient mus par une “méchanceté gratuite” associée à “l’égocentrisme” de l’accusé, condamné sept fois pour violences, après une enfance marquée par la violence de son père.

    “Je regrette tout ce qui s’est passé, d’avoir fait du mal aux deux familles. J’ai eu un comportement inacceptable. Je mérite d’être condamné. Je travaille et continuerai de travailler sur mon comportement”, a déclaré Vantal avant que le jury ne se retire.

    “Nous sommes un peu déçus. On espérait un peu plus pour les deux au vu des violences qui ont été exercées sur Tony”, a réagi auprès Me Chalot Olivier, avocat du père et de la grand-mère de l’enfant après l’annonce du verdict. Pour Me Jean-Baptiste Rozes, pour l’association Innocence en danger, “il y a certes la culpabilité pour les deux accusés. C’est bien. Mais je trouve que c’est un jugement relativement clément”.

    “Il fallait le silence de Caroline Letoile”

    Loic Vantal avait affirmé jeudi qu’il ne “pouvait pas” s’arrêter “de taper”, reconnaissant avoir entraîné la mort de l’enfant, mais sans volonté de le tuer.  Son avocat, Me David Scribe, s’est employé à contester l’image d’un “monstre” et semer le doute sur l’ampleur et la durée des sévices infligés à l’enfant tels que décrits par enquêteurs et témoins, invoquant aussi l’origine sociale des accusés, des “jeunes qui n’ont rien”.

    “Tony, il y a des choses qui posent difficulté au niveau éducatif. Vantal va commencer à avoir des éléments de réprimande. Il le fait parce que Caroline est en difficulté et qu’elle l’autorise à l’aider”, avant que la “digue rompe” avec le “premier coup”. Contre Caroline Letoile, 19 ans au moment des faits, l’avocat général avait requis cinq ans d’emprisonnement dont un avec sursis.

    Selon lui, “Vantal n’est pas le seul responsable. Il fallait le silence de Caroline Letoile dont il avait besoin”, un silence “toujours complice et menteur”, par “peur des conséquences pour elle-même et pour Vantal”, pour “ne pas perdre” son compagnon.“Ecartez la complicité! (...) Elle n’a pas tué son enfant”, lui a opposé pour la défense Me Pauline Coyac.

    A voir également sur Le HuffPost: En Californie, un tronçon de la mythique Highway 1 précipité dans le Pacifique

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      Pour ces conseillers Pôle emploi, le meurtre de leur collègue n'arrive pas par hasard

      Hortense de Montalivet · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 4 February, 2021 - 18:08 · 3 minutes

    MANIFESTATION - Un service public à destination des humains les plus fragiles économiquement transformé en machine à broyer. C’est peu ou prou ce que ces employés de Pôle Emploi ont dénoncé au micro du HuffPost , jeudi 4 février, lors d’une manifestation interprofessionnelle qui s’est déroulée à Paris de la place de la République à la place de la Nation.

    Comme vous pouvez le voir dans notre reportage ci-dessus , derrière une banderole “Hommage à toi Patricia, on ne t’oublie pas”, ces fonctionnaires ont regretté un système où l’humain est oublié au profit de l’argent, quelques jours après le meurtre d’une de leurs collègues , à Valence, le 28 janvier dernier.

    “Les gens se retrouvent face à des répondeurs, des serveurs téléphoniques...Ils ne comprennent plus rien”, déplore Luis, un conseiller Pôle Emploi pour qui l’agressivité grandissante des visiteurs en précarité économique envers les agences est compréhensible. “Avec la crise, ça ne va pas s’améliorer, il y a ceux qui vont perdre leur travail avec la fermeture prochaine des entreprises. On est beaucoup à penser que la situation va s’aggraver”, prévient Dalila, travailleuse elle aussi pour l’établissement public.

    Danièle, à côté de ses collègues s’inquiète également et a dû mal à comprendre les choix de son entreprise. La veille de cette marche, Pôle Emploi a annoncé le renforcement des équipes de sécurité de ses agences. “On supprime des effectifs, mais on rajoute des agents de sécurité...Vous voyez où le problème?” interroge-t-elle rhétoriquement.

    Aujourd’hui, rien dans l’avancement de l’enquête sur le double meurtre d’une DRH et d’une employée de Pôle Emploi dans la Drôme et en Ardèche n’indique que les motivations du suspect, Gabriel Fortin, était lié à l’organisation des agences, ce dernier étant toujours muet face au juge d’instruction.

    Le déconfinement des colères

    Cette manifestation organisée par la CGT , la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse avait pour mot d’ordre: la défense de l’emploi et des services publics, alors que “pas une journée ne se passe sans une nouvelle annonce de plan de suppressions d’emplois, de fermetures d’entreprises ou restructurations et réductions de services”, ont souligné les organisateurs dans un communiqué.

    La CGT et ses partenaires demandent notamment une politique de “relocalisation industrielle”, le partage du temps de travail, le “développement des services publics”, l’interdiction des licenciements dans les entreprises bénéficiant d’aides publiques “surtout lorsqu’elles continuent à dégager des profits”, a détaillé auprès de l’AFP Céline Verzeletti, dirigeante confédérale de la CGT.

    Le mois de janvier a été ponctué de plusieurs mobilisations sectorielles, avec un certain succès selon les syndicats: professionnels de santé le 21, de l’Éducation nationale le 26, du secteur de l’énergie le 28. Après la “sidération” des derniers mois, Céline Verzeletti se dit “persuadée  qu’il y aura de fortes mobilisations” quand on aura retrouvé “la liberté d’agir et de circuler”. “Ce qu’on peut gagner [avec la journée de jeudi, ndlr ] c’est un déconfinement des colères”, jugeait un peu plus tôt dans le journal Libération Simon Duteil, porte-parole de Solidaires.

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