close
    • chevron_right

      How Huawei made a cutting-edge chip in China and surprised the US

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 30 November - 14:37

    montage of logos and chips

    Enlarge (credit: FT)

    In late 2020, Huawei was fighting for its survival as a mobile phone maker.

    A few months earlier, the Trump administration had hit the Chinese company with crippling sanctions, cutting it off from global semiconductor supply chains.

    The sanctions prevented anyone without a permit from making the chips Huawei designed, and the company was struggling to procure new chips to launch more advanced handsets.

    Read 65 remaining paragraphs | Comments

    • chevron_right

      Huawei’s foldable is thinner, lighter, and has more battery than Samsung

      news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 28 March, 2023 - 21:56 · 1 minute

    Giant Huawei logo onstage.

    Enlarge (credit: Huawei )

    Huawei is still making phones, even if the US-China trade war puts most of the stalwart Android component vendors in a complicated relationship with the Chinese tech company. Huawei's new phones are the flagship Huawei P60 Pro slab phone and a flagship foldable, the Huawei Mate X3 .

    The trade war makes these phones unique in the world of Android. First, it has a Qualcomm chip, but Huawei isn't allowed to use the latest technology from Qualcomm, so the chip in both of these phones is the "Snapdragon 8+ Gen 1 4G Mobile Platform." Besides being last year's chip, this is a special, Huawei-only version of the chip that is branded as "4G." It has had the 5G bands stripped out of it—both mmWave and sub 6 GHz.

    The other oddity is the lack of Google Play apps internationally. Huawei isn't allowed to ship the Google apps due to the export ban. While that's normal in China (where Google Play isn't available), internationally it means the phone is missing standard Google apps like YouTube, Gmail, Google Maps, the Google Assistant, Docs, Search, Photos, and other apps that make Android a competitive consumer OS. Instead of the Google ecosystem, you'll be getting the OS with Huawei Mobile Services , which includes the Huawei AppGallery, Huawei Petal Maps , the Huawei Assistant (which appears just to be a search tool and some widgets, not a voice assistant), Huawei Pay, and Huawei apps for books, music, and video.

    Read 10 remaining paragraphs | Comments

    • chevron_right

      Loi anti-Huawei : une balle dans le pied de notre 5G nationale

      Yannick Chatelain · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Thursday, 11 February, 2021 - 04:00 · 6 minutes

    Huawei

    Par Yannick Chatelain, Sylvain Colombero, Pierre Dal Zotto et Federico Pigni.

    Les débats sont toujours passionnés autour du déploiement de la 5G , ses enjeux sont multiples et questionnent : possibles impacts sur la santé , sur la vie privée , etc. Nonobstant tous ses apports potentiels avérés :

    • Possibilité de disposer de connexions à la fiabilité inégalée et au temps de réponse extrêmement rapide. Ce qui permettra par exemple l’essor de la télémédecine avancée (comme la chirurgie à distance).
    • Un débit aussi rapide et stable qu’une connexion fibre, mais sur un appareil mobile, même en mouvement à grande vitesse (plusieurs centaines de km/h). C’est là que se situe la potentialité mise en avant pour les consommateurs, cela ne représente finalement qu’un tiers du potentiel de la 5G.
    • L’interconnectivité de près d’un million d’objets par km2, objets qui, en plus d’interagir avec les humains, communiqueront entre eux pour s’autoréguler (comme la voiture autonome ou les transports intelligents).

    C’est sur le terrain géopolitique que la 5G se retrouve en France sur l’avant-scène en brandissant une question de sécurité nationale.

    Huawei, coupable de… soupçons

    Sans jamais être cité dans le texte constitutionnel, il a ainsi été décidé qu’Huawei – qui est techniquement parmi les leaders mondiaux sur la 5G – ne dominera pas le marché français de la 5G.

    Dans le collimateur de nombreux pays dont les États-unis et l’Angleterre – les législateurs anglais affirment qu’existent « des preuves claires de collusion » entre Huawei et « l’appareil du Parti communiste chinois ». La France s’inscrit depuis plusieurs années dans le même mouvement de défiance.

    Le Conseil constitutionnel a ainsi validé le vendredi 5 février les dispositifs figurant dans une loi du 1er août 2019, ciblant sans ambages le géant chinois des télécoms au grand dam des opérateurs télécoms français SFR et Bouygues Telecom, clients traditionnels de la firme. Ces derniers avaient déposé des questions prioritaires de constitutionnalité (QPC ) au regard des conséquences sur leur activité. Ils ont été déboutés.

    Si la notion de sécurité nationale est invoquée, notons que les risques que représente Huawei sont les mêmes que pour n’importe quel acteur privé : celui qui contrôle une partie de l’infrastructure technologique au niveau du réseau peut accéder à des éléments critiques en lien avec les télécommunications, lesquels se doivent d’être protégés.

    Ajoutons que de nombreux pays tendent à favoriser leurs propres acteurs économiques, et que le passé nous a appris que des usages dévoyés des technologies ne sont pas l’apanage de la Chine et n’ont pas attendu la 5G.

    Une loi anti-Huawei et des conséquences

    Pour la France cette loi ne sera pas sans conséquence. Il est difficile d’avancer qu’elle soutient nos opérateurs phares. Comme le soulignait la fédération française des télécoms :

    Si demain, Huawei était amené à être interdit sur tout ou partie du territoire, il faut bien que chacun ait conscience des retards considérables que nous prendrions dans les déploiements. Ça serait un retard considérable pour les territoires, pour les entreprises françaises, pour la transformation numérique. Cela aurait un coût.

    Dès 2019, une étude conduite en avril par la GSMA , l’association des opérateurs et constructeurs de téléphonie mobile, corroborait ce discours et alertait devant la montée en puissance d’une ostracisation fondée sur le soupçon.

    Le journal Le Monde qui avait pu accéder à ce document non rendu public indiquait que :

    Une exclusion des vendeurs chinois d’équipements télécoms du marché européen augmenterait la facture du déploiement de la 5G d’environ 55 milliards d’euros pour les opérateurs européens.

    Dans les faits, et pour l’exemple sur notre territoire, le 28 août 2020 l’opérateur Bouygues Telecom anticipant une évolution défavorable avait annoncé le démantèlement de 3000 de ses antennes en France , soit un septième de ses équipements, d’ici 2028.

    Des potentiels leviers de croissance menacés

    Si ce texte persiste à placer certains de nos opérateurs dans la difficulté et peut entraîner un ralentissement du déploiement physique de la 5G sur le territoire national, au sens technique de nombreux acteurs privés ou publics, européens (Thalès, Nokia, etc.) ou internationaux (KTSAT ou Huawei) notamment ont déjà investi dans la recherche et développement de la 5G.

    Le développement technique étant aujourd’hui arrivé à maturité, l’enjeu se situe désormais au niveau du développement commercial de la 5G. C’est ce dernier qui risque d’être altéré ; le seul frein proviendrait donc des marchés verticaux qui ne voudraient ou ne pourraient pas innover en n’intégrant pas la 5G dans leur business models.

    Les potentiels leviers de croissance sont énormes, et cela pour différents secteurs : urbanisme avec les smarts cities , automobile avec la voiture autonome, industrie avec les jumeaux numériques… Avec les retards connus sur la mise aux enchères des fréquences, si la France devait persister dans une défiance outrancière, elle risquerait de cumuler du retard sur le déploiement de la 5G alors même que les recherches sur la 6G ont déjà débuté sur le territoire.

    À qui sait attendre, le temps ouvre ses portes – Proverbe chinois

    Pour conclure, cette loi, qui ne peut être qualifiée de Huawei- friendly , ne semble pas avoir à ce jour altéré la sérénité de cette dernière. Nulle marche arrière n’a été évoquée quant à l’installation de sa première usine hors de Chine à Brumath, près de Strasbourg.

    Cette usine devrait ouvrir en 2023, le géant chinois y produira du matériel pour les réseaux mobiles, notamment 5G. 500 emplois seront créés, et sa vocation sera de desservir toute l’Europe.

    Si la firme ne s’est pas rétractée, le porte-parole de l’ambassade de Chine a toutefois laisser entendre le 9 février que :

    Si l’équipementier chinois devait faire l’objet de discriminations ou d’une interdiction dans l’Hexagone, Pékin pourrait, en retour, prendre des mesures de rétorsion à l’égard de Nokia et d’Ericsson dans l’Empire du Milieu…

    Dans un monde qui se prépare à une crise économique historique, la France se montrera-t-elle demain plus sensible à la diplomatie du carnet de chèques ?

    À suivre…

    Federico Pigni est Senior Professeur au département Management et Technologie. Dean (GEM).

    Sylvain Colombero est Professeur Assistant au département Management et Technologie (GEM)

    Pierre Dal Zotto est Professeur Assistant Coordinateur de la Chaire Digital, Organization & Society (GEM)

    Yannick Chatelain est Professeur Associé au département Marketing, responsable « GemInsights » (GEM)

    • chevron_right

      5G : SFR et Bouygues Telecom échouent face à la loi « anti-Huawei »

      Julien Lausson · news.movim.eu / Numerama · Friday, 5 February, 2021 - 16:07

    SFR 5G

    La loi dite anti-Huawei est validée par le Conseil constitutionnel. Ça ne fait pas les affaires de Bouygues Telecom et SFR, qui dépendent fortement de l'équipementier chinois. [Lire la suite]

    Voitures, vélos, scooters... : la mobilité de demain se lit sur Vroom ! https://www.numerama.com/vroom/vroom//

    L'article 5G : SFR et Bouygues Telecom échouent face à la loi « anti-Huawei » est apparu en premier sur Numerama .

    • chevron_right

      Pour Huawei, les choses ne devraient pas s’arranger en 2021

      Julien Lausson · news.movim.eu / Numerama · Friday, 5 February, 2021 - 13:39

    Huawei

    Pour qui pensait que le changement d'administration aux USA allait améliorer le sort de Huawei, c'est la douche froide : une responsable de l'équipe de Joe Biden a fait comprendre que le ton n'allait pas changer. [Lire la suite]

    Voitures, vélos, scooters... : la mobilité de demain se lit sur Vroom ! https://www.numerama.com/vroom/vroom//

    L'article Pour Huawei, les choses ne devraient pas s’arranger en 2021 est apparu en premier sur Numerama .

    • chevron_right

      Huawei envisagerait de céder ses principales gammes de smartphones

      Julien Lausson · news.movim.eu / Numerama · Monday, 25 January, 2021 - 11:17

    Après avoir cédé sa marque Honor à un consortium chinois en novembre, Huawei pourrait recommencer cette année, cette fois avec ses gammes P et Mate. [Lire la suite]

    Abonnez-vous à notre chaîne YouTube pour ne manquer aucune vidéo !

    L'article Huawei envisagerait de céder ses principales gammes de smartphones est apparu en premier sur Numerama .

    • chevron_right

      Les USA s’attaquent à la société chinoise qui pourrait fournir des processeurs à Huawei

      Julien Lausson · news.movim.eu / Numerama · Monday, 7 December, 2020 - 08:04

    Huawei

    Les États-Unis ont annoncé des sanctions contre SMIC, une entreprise chinoise qui pourrait fournir des processeurs au géant des smartphones Huawei. [Lire la suite]

    Abonnez-vous à notre chaîne YouTube pour ne manquer aucune vidéo !

    L'article Les USA s’attaquent à la société chinoise qui pourrait fournir des processeurs à Huawei est apparu en premier sur Numerama .

    • chevron_right

      En difficulté, Huawei vend sa marque Honor à un consortium chinois

      Julien Cadot · news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 17 November, 2020 - 08:03

    Huawei a revendu Honor à un consortium d'industriels chinois. [Lire la suite]

    Voitures, vélos, scooters... : la mobilité de demain se lit sur Vroom ! https://www.numerama.com/vroom/vroom//

    L'article En difficulté, Huawei vend sa marque Honor à un consortium chinois est apparu en premier sur Numerama .

    • chevron_right

      Avec Joe Biden, Huawei va-t-elle récupérer Google (et le reste) ?

      Anne Cagan · news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 9 November, 2020 - 16:45 · 2 minutes

    La décision de Donald Trump avait été un coup de tonnerre dans la tech. Alors que Huawei devenait une des star du secteur, le président américain lui avait porté un coup assassin en la plaçant l’an dernier sur la liste des entreprises à risque. Huawei affronte depuis ses concurrents avec un sérieux handicap : la firme chinoise n’a plus accès à nombre de technologies américaines notamment les services Google. L’élection de Joe Biden à la présidence des Etats-Unis va-t-elle changer la donne ? Le démocrate a en effet un programme radicalement opposé à celui de Donald Trump sur bien des sujets et il semble nettement plus tempéré que son opposant. Hélas pour les amoureux de beaux smartphones, la partie est loin d’être gagnée pour Huawei.

    La décision de Donald Trump a beau avoir pris le secteur par surprise, elle n’est en réalité pas à mettre sur le compte de son tempérament sanguin. “ Cette politique a été élaborée et poussée depuis des année par le département du Commerce des Etats-Unis en réaction aux ambitions grandissantes de la Chine ” nous explique Jean-François Dufour, directeur de DCA Chine-Analyse. Pékin veut en effet devenir numéro 1 dans de nombreux secteurs stratégiques , de l’intelligence artificielle à la 5G, en passant par les biotechnologies et les véhicules électriques. “ Et les Etat-Unis voient ces ambitions d’un très mauvais œil ” nous confiait Mary-Françoise Renard, responsable de l’Institut de Recherche sur l’Economie de la Chine (IDREC) il y a trois mois.

    Washington n’est du reste pas le seul à jouer au jeu des restrictions : Pékin interdit son sol à de nombreuses firmes américaines (Google, Facebook, Twitter) et ce, depuis bien longtemps. Mais pourquoi Huawei se retrouve-t-elle en première ligne dans ce conflit ? Ce n’est bien sûr pas à cause de ces téléphones (aussi réussis soient-ils). Si les Etats-Unis ciblent cette entreprise-là, c’est parce que c’est elle qui donne à la Chine sa longueur d’avance dans la 5G. Et que la 5G est elle-même la clé de voûte de bon nombre d’autres innovations stratégiques “ Que ce soit le véhicule autonome, l’usine 2.0 ou les smart grid, quasi toutes les technologies d’avenir que souhaite développer la Chine reposent sur la 5G. Si Washington met un coup d’arrêt à ce niveau, cela freine donc en réalité tout le secteur tech chinois ” nous précise Jean-François Dufour.

    Au sein du cabinet Strategy Analytics, on n’est guère plus optimistes pour Huawei. “ Un allégement partiel des restrictions qui pèsent sur Huawei et Honor est possible en 2021 mais la suppression de l’ensemble des interdictions est très peu probable ” nous cnfirme l’analyste Neil Mawston. Les négociations de Huawei avec les Etats-Unis seront donc toujours aussi délicates. La seule différence est qu’elles se dérouleront dans un climat plus apaisé. C’est toujours ça de gagné.

    Huawei Mate 40 Pro Smartphone débloqué 5G + Huawei Freebuds Pro Noir (Ecran 6.76" OLED Triple caméra Leica 50 Mp Processeur Kirin 9000 Batterie 4400mA ...

    Patientez... Nous cherchons le prix de ce produit sur d'autres sites

    Avec Joe Biden, Huawei va-t-elle récupérer Google (et le reste) ?