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      A bitter pill: Amazon calls on rival SpaceX to launch Internet satellites

      news.movim.eu / ArsTechnica · Friday, 1 December - 22:59

    A SpaceX Falcon 9 rocket with a reused booster stage and payload fairing  is seen rolling out to its launch pad in Florida before a mission last month.

    Enlarge / A SpaceX Falcon 9 rocket with a reused booster stage and payload fairing is seen rolling out to its launch pad in Florida before a mission last month. (credit: SpaceX )

    Amazon announced Friday that it has purchased three Falcon 9 rocket launches from SpaceX beginning in mid-2025 to help deploy the retail giant's network of Kuiper Internet satellites.

    In a statement, Amazon said the SpaceX launches will provide "additional capacity" to "supplement existing launch contracts to support Project Kuiper’s satellite deployment schedule." SpaceX has its own broadband satellite fleet, with more than 5,100 Starlink spacecraft currently in orbit, making it a competitor with Amazon.

    Last year, Amazon bought up most of the Western world's excess launch capacity from everyone but SpaceX, securing 68 rocket flights from United Launch Alliance, Arianespace, and Blue Origin to deploy thousands of satellites for the Kuiper broadband network. Amazon previously contracted with ULA for nine Atlas V launches to support the initial series of Kuiper launches, the first of which lifted off in October with Amazon's first two Kuiper prototype satellites. More Atlas Vs will start launching operational Kuiper satellites next year.

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      Amazon gets “last rites” from FTC as antitrust complaint looks imminent

      news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 8 August, 2023 - 15:36 · 1 minute

    Amazon gets “last rites” from FTC as antitrust complaint looks imminent

    Enlarge (credit: NurPhoto / Contributor | NurPhoto )

    After a yearslong Amazon probe that collected millions of documents and conducted dozens of interviews, the Federal Trade Commission next week will meet with Amazon representatives before likely filing one of the agency's biggest antitrust lawsuits yet, Politico reported .

    Known as a "last-rites meeting," these discussions could serve as Amazon's last chance to dodge an FTC lawsuit that Bloomberg has described as "the Big One." No one is sure what aspects of Amazon's business the lawsuit could target, but if the FTC succeeds in court, it could result in a forced breakup or restructuring of Amazon's $1.3 trillion e-commerce operation, The Wall Street Journal reported .

    There has been much speculation this year over what the FTC's complaint will cover. The agency has been investigating a wide range of concerning aspects of Amazon's business since 2019, Bloomberg reported . Everything from how Amazon bundles its services to how Amazon treats sellers has drawn FTC scrutiny, as has Amazon's advertising and cloud computing businesses. But the "main allegation," Bloomberg reported in June, "is expected to be that Amazon leverages its power to reward online merchants that use its logistics services and punish those who don’t."

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      Amazon has 5,000+ Rivian EV delivery vans on the road

      news.movim.eu / ArsTechnica · Friday, 7 July, 2023 - 12:57 · 1 minute

    An Amazon Rivian van parked on a suburban street

    Enlarge / Amazon had Rivian design and build it a custom electric delivery van, which started production in 2021. (credit: Amazon)

    Depending on where you live, your Amazon order may have been delivered by one of the company's striking-looking Rivian electric delivery vans. Made by the same company that builds highly capable electric trucks and SUVs for the affluent tech crowd, Rivian has now built more than 5,000 delivery vans for the online retailing giant. The vans have delivered more than 150 million packages to date.

    Amazon and Rivian made news together in 2019 when the former led a $700 million investment round into the EV startup. A few months later, Amazon announced an order of 100,000 electric vans from Rivian . At the time, Amazon's then-CEO Jeff Bezos said all 100,000 vehicles would be deployed by 2024—a timeline that even pre-pandemic appeared extremely optimistic; the official press release gave a more circumspect 2030 deadline. The vans began delivering packages in 2021 .

    Like the BrightDrop Zevo 600 , the Rivian van is a clean-sheet design, optimized specifically for Amazon's logistics workflow. It's equipped with a full suite of advanced driver assistance systems, and the cab design minimizes blind spots. It even has a charming appearance, much like Rivian's R1 series, thanks to friendly round daytime running lights.

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      Jeff Bezos, l’entrepreneur qui réussit

      Nathalie MP Meyer · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Saturday, 6 February, 2021 - 04:30 · 10 minutes

    Jeff Bezos

    Par Nathalie MP Meyer.

    Aux yeux des anticapitalistes de tout poil, le patron et fondateur du géant du commerce en ligne Amazon Jeff Bezos est la preuve vivante et définitive que l’accumulation de la richesse ne peut se faire qu’au détriment de la justice sociale et de la nouvelle variante que la « convergence des luttes » a adjoint à cette dernière, à savoir la justice climatique.

    Pour eux, l’affaire est des plus simples.

    Jeff Bezos n’est épargné par aucun cliché

    D’un côté, vous avez l’homme le plus riche du monde . Son patrimoine personnel tourne autour des 180 milliards de dollars en fonction des mouvements de la bourse, son entreprise figure parmi les plus grosses capitalisations boursières de la planète et elle vient d’annoncer un chiffre d’affaires de 386 milliards de dollars, soit 38 % de plus qu’en 2019, et un bénéfice net de 21,3 milliards de dollars – un record en cette année 2020 marquée par les confinements anti-Covid où l’on a vu tant d’autres entreprises recourir aux plans sociaux (voir annexe en fin d’article).

    Et de l’autre, vous avez un patron tellement implacable qu’il parvient sans peine à dépasser dans l’horreur tous les clichés du genre. Pas la moindre petite trace de « responsabilité sociale des entreprises » chez lui, mais un culte du profit insolent qui se traduit concrètement par l’exploitation des salariés, la ruine des petits commerces et la désertification des centres-villes, la disparition des surfaces cultivées pour installer des entrepôts géants, la destruction de la planète via le manège incessant des véhicules polluants qui assurent les livraisons et, comble de l’outrecuidance, une fiscalité absolument dérisoire.

    Bref, pour le dire avec la finesse de notre ministre de la Culture Roselyne Bachelot à l’époque où le gouvernement français s’est retrouvé pris au piège de ses listes de biens essentiels et non essentiels, « Amazon se gave » et il serait fort peu social et solidaire de laisser la situation empirer.

    C’est ainsi qu’à l’approche des fêtes de fin d’année dernière, saison traditionnellement faste pour le commerce en ligne, on a vu apparaître moult pétitions hautement conscientisées demandant en substance de boycotter Amazon et/ou de le taxer plus .

    De quoi conforter le ministre de l’Économie Bruno Le Maire dans son grand projet d’aller chercher l’argent là où il est, c’est-à-dire « chez les géants du numérique » .

    Cette diatribe fort courante souffre néanmoins d’une bonne dose d’approximations , couplée à un fort relent de militantisme décroissant qui s’encombre fort peu des réalités. Fondamentalement, c’est un mode de vie qui est en cause, ce sont les idées même de consommation et de croissance qui sont violemment rejetées. Pour les détracteurs d’Amazon, il existe une façon citoyenne de consommer qui passe exclusivement par l’économie circulaire et les acteurs de l’économie sociale et solidaire.

    Tout le reste n’est qu’injure faite à l’humanité et à la planète, comme en témoignait la farouche manifestation de samedi dernier contre l’implantation d’un nouvel entrepôt Amazon dans le Gard (photo de gauche).

    Mais des employés plutôt contents

    Et pourtant, allez faire un petit tour du côté du double entrepôt de Lauwin-Planque près de Douai dans le département du Nord (photo de droite) et vous rencontrerez des employés plutôt contents de leur emploi chez Amazon et passablement chagrinés par les critiques adressées à leur employeur.

    Séverine, par exemple. Méfiante au départ, comme tout le monde tant la contre-propagande marche bien, elle est entrée dans la gueule du loup comme intérimaire et ne rêve plus que d’y être embauchée :

    « Ce n’est pas dégradant de bosser pour Amazon. Et puis, qu’est-ce qui est mieux ? Travailler à la chaîne chez Renault ? J’étais diplômée en coiffure, j’ai travaillé chez SFR en tant que chargée de clientèle où on m’en a fait voir de toutes les couleurs, dans la logistique chez Kiabi, j’ai fait des ménages… Et c’est ici que je me sens bien. »

    Exception qui confirme la sinistre règle ? Eh bien, même pas : dans le baromètre Forbes 2020 des meilleurs employeurs mondiaux, Amazon arrive… en seconde position ! Le premier groupe français de ce classement est Dassault Systèmes qui obtient la 33 ème place et on passe ensuite à Safran et Michelin qui occupent respectivement les rangs 52 et 59.

    L’exigence de Bezos : la satisfaction du client

    Il est certain que le contexte de la pandémie de Covid-19 a donné des ailes au commerce en ligne en 2020. Mais l’engouement des consommateurs pour Amazon avait commencé bien avant cela car le client, la satisfaction du client, le service au client sont justement au cœur de la stratégie et de la réussite de Jeff Bezos.

    Anecdote rapportée récemment par le journaliste Brian Dumaine dans son livre Bezonomics : chaque fois que Bezos voit passer un email d’un client mécontent, il le réexpédie accompagné d’un « ? » des plus explicites au responsable concerné. Ce dernier abandonne sur le champ tout ce qu’il était en train de faire pour se consacrer exclusivement à la résolution du problème du consommateur. C’est pratiquement devenu un réflexe pavlovien au sein d’Amazon.

    Le client, donc, mais également l’innovation, la curiosité et même un brin de folie. Et aussi cette idée forte que chaque jour de l’entreprise doit être vécu comme s’il était le premier jour d’une nouvelle entreprise légère, agile et inventive. Pas question chez Amazon de voir la réussite s’encroûter dans la bureaucratie et la routine.

    C’est le fameux « Day 1 », concept qui revient en permanence dans les discours de Jeff Bezos et sur lequel il a conclu l’email envoyé mardi 2 février dernier à ses 1,3 million de salariés dans le monde pour annoncer qu’il quitterait prochainement la Direction générale du groupe pour ne conserver que la présidence du Conseil d’administration.

    Objectif : accorder plus d’attention à ses autres « passions » – l’aéronautique et l’espace avec Blue Origin, la presse avec le Washington Post , l’aide aux sans-abris et aux enfants déscolarisés avec le Day 1 Fund et l’environnement et le climat avec le tout nouveau Bezos Earth Fund inauguré l’an dernier.

    Peut-être est-ce sa façon de répondre à ses nombreux détracteurs, alors qu’il avait refusé de signer The Giving Pledge initié par Bill Gates et Warren Buffet il y a une dizaine d’années afin d’engager les milliardaires à consacrer leur fortune à la philanthropie.

    L’enfance de Jeff Bezos

    Mais avant d’être milliardaire, il faut le devenir. Pour Jeff Bezos, tout a commencé 57 ans plus tôt à Albuquerque au Nouveau-Mexique. Le futur homme le plus riche du monde est né en 1964 sous le nom de Jeffrey Jorgensen dans un couple à peine sorti de l’adolescence dont le père s’évapore peu après dans la nature. Sa mère se remarie quelques années plus tard avec Miguel Bezos, réfugié cubain qui adopte l’enfant et lui donne son nom.

    Le jeune Jeff manifeste rapidement une grande précocité intellectuelle. Toujours premier en tout à l’école, il devient inventeur, bricoleur et ingénieur dès qu’il rentre chez lui. Il se raconte qu’à 3 ans, il a démonté et remonté au tournevis les barreaux de son lit. À 8 ans, c’est le tracteur de son grand-père qui subissait le même sort. Il adore calculer tout ce qui se présente à son esprit : la consommation d’essence au kilomètre quand il voyage en voiture et même le nombre d’années de vie que sa grand-mère n’aura pas si elle continue à fumer comme elle le fait.

    D’habitude, ses talents en arithmétique lui attirent les félicitations de ses proches. Mais ce dernier épisode qui a fait pleurer sa grand-mère lui vaut une remontrance si profondément fondatrice qu’il en a fait part en 2010 aux étudiants de l’Université de Princeton dans une allocution articulée autour des talents qu’on a et des choix que l’on fait : « Jeff, un jour tu comprendras qu’il est plus difficile d’être gentil qu’intelligent » , lui assène son grand-père.

    L’anecdote se voulait tremplin vers une morale humaniste, mais elle aura surtout eu l’effet collatéral de consolider sa réputation de dureté dans l’esprit de ses contradicteurs.

    Des idées encore et toujours

    En 1986, Jeff Bezos sort de Princeton avec un diplôme en sciences de l’informatique. Il travaille dans plusieurs sociétés financières de Wall Street jusqu’en 1994, année de ses 30 ans où il réalise que les utilisations d’internet sont en train de croître à un rythme prodigieux de 2300 % par an.

    Du jamais vu qui lui donne l’idée folle et palpitante de lancer une librairie en ligne capable de commercialiser des millions de titres, prouesse qu’aucune librairie du monde physique ne serait capable de réaliser. Le tournant, radical, est typiquement technologique.

    Il quitte son (excellent) job et démarre le projet Amazon à Seattle dans son garage, bien conscient qu’il prend un risque énorme, mais bien conscient aussi qu’il pourrait regretter un jour de n’avoir rien tenté. Dès le départ, il recherche des collaborateurs doués en informatique, motivés, durs à la tâche et extrêmement rapides – comme lui, en fait. En contrepartie, la rémunération comprendra une participation significative au capital de l’entreprise.

    Dans sa première annonce de recrutement datée du 22 août 1994, il précise que les candidats retenus devront être capables de faire leur travail en un tiers du temps jugé nécessaire par les gens les plus compétents du domaine !

    Au fil du temps et de la technologie, la librairie en ligne de Seattle s’étend au vaste monde et se met à distribuer toute la gamme que l’on trouve habituellement dans les hypermarchés, produits alimentaires et pharmaceutiques compris, entraînant dans son sillage une profonde transformation du secteur de la distribution. Amazon propose en outre une market place où des entreprises indépendantes peuvent écouler leurs produits, ainsi qu’un service Prime de livraison hyper-rapide, le tout pour des tarifs hyper-concurrentiels. Jeff Bezos :

    « Dans dix ans, verra-t-on un client débarquer ici pour me dire ‘Salut, Jeff, j’adore Amazon, j’aimerais juste que les prix soient un peu plus élevés’ ou ‘j’aimerais juste que la livraison soit un peu plus lente’ ? Impossible ! » (cité dans Bezonomics )

    L’aventure est loin d’être terminée. En nommant le dirigeant du cloud d’Amazon Andy Jassy pour le remplacer au poste de Directeur général, Jeff Bezos nous dit que le e-commerce, c’est presque de l’histoire ancienne. Ce qui était crazy en 1994 est devenu normal en 2021.

    L’avenir passe maintenant par Amazon Web Services, l’entité qui représente déjà plus de la moitié des résultats du groupe pour 12 % du chiffre d’affaires et qui loue des logiciels et des espaces de stockage à des entreprises aussi importantes que Netflix, Engie ou Axa.

    L’impulsion du « Day 1 », une impulsion typique de l’entrepreneur, est plus que jamais à l’ordre du jour.

    Annexe : Résultats d’Amazon de 2018 à 2020

    Chiffre d’affaires des 3 branches – Résultat opérationnel – Résultat net et Impôts (12,7 % du résultat opérationnel en 2020) – Source : Form 10-K .

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      Qui est Andy Jassy, le futur CEO d’Amazon et « ombre de Jeff Bezos » ?

      Marie Turcan · news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 3 February, 2021 - 00:12

    Jeff Bezos va quitter son poste de CEO en octobre 2021. C'est Andy Jassy, dont le nom est bien moins connu, qui va prendre sa place. Il est actuellement chef de Amazon Web Services, la division d'Amazon dédiée au cloud computing qui rapporte énormément à la multinationale. [Lire la suite]

    Voitures, vélos, scooters... : la mobilité de demain se lit sur Vroom ! https://www.numerama.com/vroom/vroom//

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      Jeff Bezos quitte le poste de CEO d’Amazon : et maintenant ?

      Marie Turcan · news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 2 February, 2021 - 23:02

    Le fondateur d'Amazon a décidé de se retirer de sa place de CEO : il affirme vouloir se concentrer sur d'autres projets du groupe Amazon, qu'il a détaillés sommairement dans une lettre à ses employés. [Lire la suite]

    Voitures, vélos, scooters... : la mobilité de demain se lit sur Vroom ! https://www.numerama.com/vroom/vroom//

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