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      Marina Lorenzo en larmes pour sa dernière sur Téléfoot

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 22:43 · 1 minute

    Marina Lorenzo en larmes pour sa dernière sur

    MÉDIAS - Après OM-PSG ce dimanche 7 février, la chaîne Téléfoot du groupe Mediapro fermera définitivement. Mais les dieux commencent déjà avec certaines émissions qui tirent leur révérence avant le weekend.

    C’était le cas notamment d’“Au coeur des clubs” ce vendredi. Très émue, la présentatrice de cette quotidienne a voulu remercier téléspectateurs, équipes et professionnels du foot pour son départ.

    “Je ne vais pas vous quitter sans vous remercier de nous avoir suivis. (...) Merci beaucoup d’avoir été avec nous”, a commencé Marina Lorenzo avant d’être rattrapée par l’émotion (vidéo ci-dessous).

    “C’est souvent dans les périodes de crise qu’on constate qu’il y a des gentlemen dans ce milieu. Il y en a eu plein. Merci du soutien. Il a été public, il a été privé. Ca nous a permis d’aller jusqu’au bout de notre mission”, s’est-elle félicitée, entourée de l’équipe de l’émission.

    “Je pense que notre mission n’était pas vaine. On a beaucoup beaucoup parlé d’argent quand il s’est agi de foot ces derniers temps et je pense que ce n’est pas là l’essentiel. Même si aujourd’hui c’est important, on est tous des passionnés de foot, on est tous des supporters quand on est journaliste foot et on n’a qu’une envie, évidemment, c’est que le foot survive (...). Merci encore pour cette expérience et sans rancune!” a-t-elle conclu avant le générique de fin.

    À voir également sur Le HuffPost: Larry King avait un palmarès d’interviews impressionnant

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      Le "New York Times" a triplé son nombre d'abonnés entre 2016 et 2020

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 4 February, 2021 - 15:51 · 1 minute

    Le bâtiment du New York Times le 30 juin 2020 à New York

    MÉDIAS - Le New York Times comptait 7,5 millions d’abonnés fin 2020, soit un gain de plus de deux millions sur la seule année écoulée, selon un communiqué publié ce jeudi 4 février. Quelque 89% des abonnés le sont désormais uniquement au numérique, le nombre de lecteurs recevant l’édition imprimée se tassant légèrement (-2,7%) à 833.000.

    En quatre ans seulement, soit la durée du mandat de Donald Trump à la Maison Blanche, le Times a quasiment triplé son portefeuille d’abonnés (2,6 fois). Venu tard au modèle payant, le journal a enregistré son premier abonnement au numérique il y a exactement dix ans. Il possède aujourd’hui 6,69 millions d’abonnés uniquement en ligne.

    Les abonnés hors des États-Unis pèsent aujourd’hui 18% du total et le rythme de progression de cette partie du portefeuille est supérieur à celui des abonnés américains. Lors d’une conférence téléphonique, la PDG Meredith Kopit Levien a indiqué que le Times considérait comme une “exception” le gain d’abonnés réalisé en 2020 (2,29 millions en net), porté par l’élection présidentielle américaine et la pandémie de coronavirus.

    Un chiffre d’affaires en légère baisse

    Sur le plan des revenus le chiffre d’affaires tiré des abonnements en 2020 correspond au double de celui provenant de la publicité. Sur l’année 2020, le chiffre d’affaires publicitaire a baissé de 26%, tandis que les revenus venus des abonnements progressaient de 10%.

    Au total, le chiffre d’affaires est ressorti en légère baisse sur l’exercice (-1,6%) à 1,78 milliard de dollars.

    Le résultat, lui, a été affecté par un élément comptable exceptionnel au quatrième trimestre, lié à un plan de retraite. Au final, le bénéfice net s’affiche en baisse de 28% sur l’année, à 100 millions de dollars.

    À voir également sur le HuffPost : Comment la loi Sécurité globale peut compliquer mon travail de journaliste

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      "France-Antilles Guadeloupe" épinglé pour sa Une liant homosexualité et pédocriminalité

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 3 February, 2021 - 15:05 · 3 minutes

    LGBTI - Un amalgame qui ne passe pas. Ce mercredi 3 février, le quotidien régional France-Antilles Guadeloupe est dans la tourmente. En cause, un titre en Une de sa dernière édition: “ L’homosexuel préférait les petits garçons”.

    Il fait écho au cas d’un homme condamné par le tribunal correctionnel à trois ans et demi de prison ferme pour des actes pédocriminels. Le lien établi par le journal avec l’orientation sexuelle de cet homme pose problème.

    Supprimée des réseaux sociaux à l’heure où nous écrivons ces lignes, la Une a été dénoncée par plusieurs militants LGBTI dans la matinée, réclamant son retrait. “Merci de retirer cet amalgame abject entre homosexualité et pédocriminalité et de présenter vos excuses”, réclame le compte Twitter @ParisPasRose.

    L’association SOS Homophobie, alertée par l’utilisateur ci-dessus, est du même avis. Elle rappelle qu’il est dangereux d’assimiler l’orientation sexuelle du prévenu dont le journal parle au crime qui lui est reproché, à savoir des abus sexuels sur des enfants.

    Dans son kit à destination des médias, l’association des journalistes LGBTI rappelle qu’il s’agit-là d’un amalgame homophobe ancien. En 2010, c’est par exemple un lien qu’avait établi un haut ponte du Vatican au sujet des affaires qui secouaient l’Église catholique.

    “L’homosexualité n’est pas la pédophilie, réitérait le collectif en 2014. Un flou nauséabond est encore entretenu de nos jours, soit par ignorance, soit par gayphobie, souvent pour fragiliser les revendications des associations LGBT. Il faut bien faire attention à ne pas mélanger les deux dans le traitement des sujets.” Cette dernière a, à son tour, condamné “la choquante et dangereuse Une de France-Antilles Guadeloupe ”.

    Gabriel Serville, député de la 1ère circonscription de Guyanne, aussi. Sur Twitter, l’homme politique se dit choqué. Il rappelle, par le biais d’un rapport d’information déposé en son nom à l’Assemblée nationale, le rôle qu’ont les médias dans la lutte contre les discriminations anti LGBT dans les Outre-mer.

    “Le tabou portant sur l’homosexualité en particulier en Outre‑mer ne saurait être anodin, peut-on lire dans ledit rapport . L’ignorance qu’il génère peut nourrir des associations scandaleuses entre homosexualité et pédophilie[...]. Mais il entretient surtout une négation de l’altérité et de la diversité des identités sexuelles et nourrit, en ce sens, des formes insidieuses d’homophobie.”

    Sur le site internet du journal, deux articles identiques ont été mis en ligne. Un premier , accompagné du titre faisant le même amalgame: “Il dit préférer les garçons”. L’autre , du titre informatif: “Un homme de 56 ans condamné pour des actes pédophiles”. Il a été publié par la suite. France-Antilles Guadeloupe n’a, pour le moment, pas encore présenté d’excuses ni réagi à cette controverse.

    À voir également sur Le HuffPost : Aux Victoires 2020, Hoshi chante contre l’homophobie

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      Larry King avait un palmarès d'interviews impressionnant

      Bénédicte Magnier · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 23 January, 2021 - 17:14 · 1 minute

    MÉDIAS - Sa biographie officielle revendique plus de 40.000 interviews après 60 ans passés derrière un micro. Larry King est mort à 87 ans, ce samedi 23 janvier, et laisse derrière lui un palmarès impressionnant, après 60 ans de carrière et plus 25 ans d’une émission télé quotidienne sur CNN.

    C’est d’ailleurs dans le “Larry King Live”, diffusé sur CNN entre 1985 et 2010, qu’il reçoit les invités les plus prestigieux, notamment plusieurs réputés rares dans les médias. Ainsi, Marlon Brando et Frank Sinatra, à la fin de leur carrière, lui accordent une apparition exceptionnelle, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de cet article .

    Sur le plan politique, il a reçu tous les présidents américains depuis 1974, mais également des personnalités étrangères de premier plan, comme Margaret Thatcher, Mikhaïl Gorbatchev, Hugo Chavez, Mouammar Kadhafi ou Vladimir Poutine .

    À voir également sur Le HuffPost: Sur Twitch, Samuel Étienne prend avec lui France Télévisions et dépoussière la télé auprès des jeunes

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      Xavier Gorce rompt avec "Le Monde" après la controverse sur son dessin

      Clément Vaillant · news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 20 January, 2021 - 11:56 · 3 minutes

    Le dessinateur était connu pour ses pingouins devenus sa marque de signature.

    MÉDIAS - “La liberté ne se négocie pas”. Le dessinateur de presse Xavier Gorce a annoncé ce mercredi 20 janvier qu’il cessait sa collaboration avec le journal Le Monde , au lendemain d’un dessin jugé (notamment) transphobe sur les réseaux sociaux .

    Celui qui dessinait ses pingouins “Les Indégivrables” depuis 18 ans pour Le Monde a annoncé sa décision sur Twitter à la mi-journée. “J’annonce que je décide immédiatement de cesser de travailler pour Le Monde . Décision personnelle, unilatérale et définitive. La liberté ne se négocie pas. Mes dessins continueront. D’autres annonces à suivre”, écrit le caricaturiste.

    Au cœur de la polémique, un dessin paru dans la newsletter “Le brief du Monde” élaboré en réponse à la récente vague de témoignages de personnes victimes d’inceste.

    Celui-ci met en scène deux pingouins. Le plus petit disant au plus grand: “Si j’ai été abusé par le demi-frère adoptif de la compagne de mon père transgenre devenu ma mère, est-ce un inceste?”

    Le dessin avait suscité une pluie de critiques sur les réseaux sociaux mardi 19 janvier et était devenu l’un des sujets les plus discutés sur Twitter. “Je ne vois pas à quel endroit la transexualité est attaquée ou moquée”, avait alors expliqué au HuffPost Xavier Gorce. “Dans ce dessin, ce n’est pas le père transgenre qui agresse, c’est le frère de sa nouvelle compagne. Il n’y a aucune des attaques qui me sont faites qui tiennent la route lorsque l’on prend le temps de lire sérieusement ce dessin que je ne renie pas.”

    La polémique déclenchée par le dessin avait poussé Le Monde à partager un message d’excuse sur son site et sur les réseaux sociaux. Ce dessin “n’aurait pas dû être publié (...) et peut en effet être lu comme une relativisation de la gravité des faits d’inceste, en des termes déplacés vis-à-vis des victimes et des personnes transgenres” avait écrit Caroline Monnot, directrice de la rédaction.

    Une réaction dénoncée par le principal intéressé auprès du HuffPost mardi soir, quelques heures avant d’annoncer la fin de sa collaboration avec le journal.

    “Je déplore que Le Monde soit obligé de s’excuser auprès de ses lecteurs sans essayer de faire la pédagogie du dessin. Pour moi c’est une erreur stratégique de leur part dans ce genre de cas de figure. S’excuser pour un dessin publié c’est commencer à se mettre sous la coupe de la sensibilité des lecteurs, de la horde de Twitter, etc... Et là on tombe dans un phénomène de repli de la presse d’une façon générale où toute forme d’ironie ou d’humour peut être perçue comme de mauvais goût.”

    Le dessinateur a depuis été soutenu par plusieurs personnalités dont l’acteur Nicolas Bedos, le philosophe Raphaël Enthoven et l’essayiste Caroline Fourest.

    À voir également sur Le HufPost: Les touristes sans masque à Bali se font réprimander d’une surprenante façon