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      Youtube soutien le patriarcat de l'industrie musicale

      Mathias Poujol-Rost ✅ · Sunday, 18 April, 2021 - 16:32 edit

    (Avertissement : cet article contient une capture d'écran, explicite)

    Si vous cherchez de la #musique pop ou électronique sur le site vidéo d'Alphabet Inc, vous trouverez notamment des chaînes qui diffusent des clips... pas officiels du tout. Et pour cause : nombre de ces pistes ou chansons n'ont pas de music video comme on dit.

    Alors des canaux #Youtube comme N&T Party, Perfect Music, VDJ Smile, ou encore Chill House Mix, EDM Mixes of Popular Songs, HG Club, Magic Music, Music Trap, SEC tvTM, Queen Deep, Shine Music diffusent des montages avec, pour le son : le morceau, et pour l'image : des femmes jeunes et minces qui dansent plus ou moins en rythme et sont plutôt peu habillée, ou en prenant des poses clairement suggestives.

    Une recherche approfondie sur le sujet trouverait sans doute des centaines de #comptes. Parmi ceux cités, les huit derniers sont carrément "validés" (✓) avec le pictogramme associé. #Google cautionne donc ce type de "contenu".

    NB : je n'ai pas essayé en activant un filtre familial ou "enfant".

    #patriarcat #sexisme #femmesObjets

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      Le patron des Jeux Olympiques de Tokyo démissionne après des propos sexistes

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 09:21 · 3 minutes

    Le président du comité d

    SEXISME - “Je souhaite démissionner de la présidence dès aujourd’hui”. Ce vendredi 12 février, Yoshiro Mori, le président du comité d’organisation des Jeux olympiques de Tokyo , a annoncé sa démission après le tollé provoqué par ses propos sexistes de la semaine dernière, mais la question de son successeur n’est pas encore tranchée.

    “Mes déclarations inappropriées ont causé beaucoup de trouble (...)”, a expliqué l’ancien Premier ministre du Japon (2000-2001) lors d’une réunion du conseil exécutif de Tokyo-2020. “Ce qui est important, c’est d’organiser les Jeux en juillet. Il ne faut pas que ma présence devienne un obstacle” à cet objectif, a-t-il poursuivi.

    Yoshiro Mori avait déclaré la semaine dernière que les femmes avaient des difficultés à parler de manière concise lors des réunions, ce qu’il trouvait “embêtant”. Il s’était excusé maladroitement le lendemain, tout en excluant initialement de démissionner. Mais un déluge de critiques avait suivi au Japon comme à l’étranger.

    Des sportifs, des personnalités politiques et des sponsors des JO étaient notamment montés au créneau, dénonçant des remarques contraires à l’égalité des sexes et aux valeurs de l’olympisme.

    Le Comité international olympique (CIO) avait aussi fini par juger cette semaine que les propos de Yoshiro Mori avaient été “complètement inappropriés”, après avoir dans un premier temps estimé que l’affaire était close au vu de ses excuses.

    Yoshiro Mori a affirmé ce vendredi qu’il respectait les femmes et qu’il avait au contraire incité les sept membres féminines (sur 35) du conseil d’administration de Tokyo-2020 à s’exprimer.

    Hommages après sa démission

    La gouverneure de Tokyo Yuriko Koike, qui avait critiqué les propos de Mori, a rendu hommage après la démission de celui-ci ”à tout le travail” qu’il avait accompli.

    Le président du Comité international paralympique (CIP) Andrew Parsons l’a aussi remercié, disant souhaiter que la récente polémique contribue à une société qui mettrait “davantage l’accent sur la diversité et l’inclusion”.

    Yoshiro Mori avait suggéré jeudi que Saburo Kawabuchi, ancien grand patron du football japonais, lui succède.

    Mais cette proposition - faite en dehors d’une procédure formelle de nomination - a fait grincer des dents, Saburo Kawabuchi, 84 ans, étant encore plus âgé que Yoshiro Mori. Des publications hostiles à cette nomination ont par ailleurs rapidement fleuri sur Twitter au Japon.

    “Rien n’a été décidé”, a déclaré vendredi la ministre japonaise des Jeux olympiques, Seiko Hashimoto, à propos de la succession de Yoshiro Mori quelques heures avant la démission de ce dernier.

    Alors qu’il s’était d’abord dit prêt à prendre le relais, Saburo Kawabuchi s’est rétracté face aux critiques et aux réticences du gouvernement, selon les médias nippons.

    Démission embarrassante pour les JO de Tokyo

    L’affaire Mori est une nouvelle épine dans le pied des organisateurs des JO de Tokyo, qui peinaient déjà à raviver l’enthousiasme pour l’événement (23 juillet-8 août 2021), reporté l’an dernier à cause de la pandémie, alors que le contexte sanitaire mondial demeure préoccupant.

    Selon plusieurs sondages, plus de 80% des Japonais souhaitent soit un nouveau report soit une annulation complète de l’événement.

    Les Jeux de Tokyo avaient déjà été marqués par deux démissions de personnalités de premier plan. Le ministre des Jeux olympiques Yoshitaka Sakurada avait dû renoncer à son portefeuille en avril 2019 après avoir tenu des propos jugés désobligeants vis-à-vis des habitants de zones ravagées par le tsunami de mars 2011. Un mois plus tôt, c’est le président du Comité olympique japonais, Tsunekazu Takeda, qui avait annoncé son départ, officiellement en raison de son âge (71 ans alors).

    À voir également sur le HuffPost: Y aura-t-il des voitures volantes aux Jeux Olympiques de Paris 2024?

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      Nicolo Laurent, le PDG de Riot Games, accusé de harcèlement sexuel

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 09:03 · 3 minutes

    Le PDG de Riot Games lors du Championnat du Monde du League of Legends, le 2 novembre 2018, en Corée du Sud. 

    HARCÈLEMENT SEXUEL - L’éditeur et développeur américain de jeux vidéo Riot Games, à l’origine du célèbre League of Legends, et son patron français, Nicolo Laurent, sont poursuivis en justice par une ex-employée, qui accuse le dirigeant de harcèlement sexuel et de propos sexistes .

    La plainte a été déposée début janvier devant un tribunal de Los Angeles en Californie par Sharon O’Donnell, une ancienne assistante renvoyée en juillet 2020, et a été révélée mardi par le site d’information Vice .

    Sharon O’Donell y affirme que Nicolo Laurent lui aurait fait des demandes de faveurs sexuelles en lui proposant notamment de venir chez lui quand sa famille était absente, utilisant un langage particulièrement cru. Il aurait également fait référence à la taille de ses sous-vêtements.

    Des propos discriminants

    L’ancienne employée estime que son licenciement est directement lié à son refus d’accepter ces avances. Elle raconte également que Nicolo Laurent aurait dit aux femmes travaillant pour Riot Games que le meilleur “moyen de gérer le stress lié à la pandémie est de faire des enfants”.

    Elle décrit une ambiance de travail toxique et malsaine pour les femmes de l’entreprise. “Les salariées subissent de la discrimination, du harcèlement et sont traitées comme des citoyennes de seconde classe”, décrit Sharon O’Donnell.

    Dans un communiqué transmis à l’AFP, Riot Games a contesté les conditions du licenciement de la plaignante, assurant avoir mis terme à son contrat après “des dizaines de plaintes de la part d’employés et de partenaires extérieurs et après de multiples séances d’accompagnement pour essayer de tenir compte de ses préoccupations”.

    L’entreprise assure néanmoins prendre au sérieux toute accusation de harcèlement ou de discrimination et dit ”étudier les allégations et agir contre toute personne ayant enfreint nos règlements”.

    Travaillant chez Riot Games depuis 2009, Nicolo Laurent est devenu en 2017 directeur général du groupe connu pour son jeu d’arène de bataille en ligne multijoueur League of Legends, mais aussi pour l’organisation de nombreux tournois d’e-sport.

    Milieu dominé par une culture masculine

    En 2018, le site spécialisé Kotaku avait publié une longue enquête sur le sexisme au sein de la société californienne, décrivant une culture d’entreprise faisant la part belle à l’entre-soi masculin et refusant fréquemment des promotions aux femmes employées.

    Cette enquête avait donné lieu à un recours collectif contre Riot Games, qui avait accepté de payer 10 millions de dollars en 2019 pour mettre un terme aux poursuites de 1000 plaignantes, selon le Los Angeles Times .

    Mais après l’intervention d’agences étatiques californiennes, plusieurs médias américains avaient rapporté que le montant final payé par Riot Games pourrait être très nettement supérieur. L’entreprise tâche depuis de renvoyer le dossier en procédure d’arbitrage individuel afin de trouver des arrangements au cas par cas.

    En juillet dernier, Nicolo Laurent avait publié une tribune sur le site Gamesindustry pour s’excuser des manquements de l’entreprise et avait assuré que la compagnie avait appris de ses erreurs.

    Des allégations similaires à celles qui concernent Riot Games ont entaché la réputation d’autres poids lourds de l’industrie par le passé.

    Des affaires similaires

    En juin dernier, l’éditeur français Ubisoft a ainsi été éclaboussé par des accusations de violence et de harcèlement sexuel visant nommément des cadres de ses deux studios au Canada. Peu après l’éclatement du scandale, le PDG du groupe avait annoncé qu’un vice-président avait démissionné et qu’un autre avait été mis à pied pour “comportements inappropriés”.

    Yves Guillemot avait aussi promis à ses salariés un “changement structurel” de l’entreprise. L’industrie du jeu vidéo est souvent considérée comme un milieu dominé par une culture d’entreprise masculine, où les dérives sexistes et les comportements déplacés sont fréquents.

    En 2014, un débat aux États-Unis sur les liens entre journalistes et créateurs de jeux s’était ainsi transformé en menaces de viol et de meurtre contre la développeuse indépendante Zoe Quinn et d’autres femmes de l’industrie, donnant lieu à l’affaire dite du “Gamergate”.

    À voir également sur Le HuffPost : Pourquoi l’attaque du capitole a poussé AOC à révéler son agression sexuelle

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      Super Bowl: Sarah Thomas, première femme à arbitrer la compétition

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 6 February, 2021 - 14:57 · 2 minutes

    Sarah Thomas arbitre le match des Chargers contre les Denver Broncos en Californie le 27 décembre 2020

    ÉTATS-UNIS -“Quand j’arriverai sur le terrain, je sais que les larmes me monteront probablement aux yeux”, a déclaré Sarah Thomas cette semaine. Ce dimanche 7 février à Tampa (Floride), les fans n’auront d’yeux que pour les Dieux de la NFL, Tom Brady et Patrick Mahomes, stars des Buccaneers et des Chiefs, mais dans leur ombre s’écrira aussi l’histoire avec Sarah Thomas, première femme à arbitrer un Super Bowl.

    Originaire du Mississippi, Sarah Thomas, 47 ans, fera partie du corps arbitral comprenant au total huit éléments. Cette pionnière était devenue en 2015 la première femme arbitre engagée à plein temps dans la Ligue professionnelle de football américain (NFL), et la première à officier lors d’un match de play-offs en 2019. Elle s’apprête à devenir la première à le faire en finale.

    “Quand j’ai commencé à arbitrer, il y avait très peu de femmes dans le football américain... L’autre jour, j’ai reçu un mail provenant de quelques arbitres de l’étranger, on peut en voir l’impact à travers le monde. Mon message pour elles est le suivant: “Faites-le, parce que vous aimez ça, pas parce que vous voulez être reconnue”, a affirmé Sarah Thomas.

    Sa carrière en NFL prend son envol

    Thomas a commencé à arbitrer en 1996, gravissant les échelons chez les jeunes jusqu’au lycée. Elle craignait de ne jamais accéder au niveau universitaire, après qu’un officiel lui ait dit qu’il ne l’affecterait jamais à un match en raison de son sexe.

    Cependant, elle a été repérée par Joe Haynes, un recruteur de la NFL, qui a l’a recommandée à Conference USA, un groupement inter-universitaire basé dans le sud des États-Unis.

    Sa carrière en NFL a ensuite pris son envol, après avoir fait impression lors de camps d’entraînement avec les New Orleans Saints et les Indianapolis Colts.

    Elle a fait ses débuts en tant que juge de ligne en 2016. Une première expérience douloureuse puisqu’elle s’est cassée un poignet après avoir été renversée par un joueur lors d’un match entre les Minnesota Vikings et les Green Bay Packers. Malgré la blessure, elle avait tenu courageusement à finir la rencontre.

    À voir également sur le HuffPost: Ces joueurs de foot américain ont fêté leur victoire un peu trop fort pour le trophée

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      Séparatisme: tensions entre Corbière et Schiappa, sur fond d'accusation de sexisme

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 17:14 · 2 minutes

    POLITIQUE - Le ton est monté dans l’hémicycle vendredi 5 février alors que la séance publique débattait du projet de loi sur le respect des principes de la République ou loi séparatisme . C’est un exemple utilisé par le député insoumis Alexis Corbière qui a agacé la ministre déléguée en charge de la citoyenneté, Marlène Schiappa .

    La mention appuyée à une association de Montpellier, “La libre pensée”, par Alexis Corbière a fortement déplu à la ministre qui y a vu une accusation “autoritaire et “patriarcale”.

    Schiappa, la fille de son père

    Le député insoumis interrogeait les subventions données par la mairie montpelliéraine à l’association qui organise des pèlerinages dédiés à Saint Roch. “Est-ce là un principe de laïcité?”, a questionné l’Insoumis, en appuyant sur le fait que la ministre devait bien savoir de quoi il parlait. Le président de l’association, l’historien Jean-Marc Schiappa, n’étant autre que le père de Marlène Schiappa.

    Une allusion insupportable pour la ministre. “En 2021, Monsieur Corbières, les filles ne sont pas obligées de penser comme leur père”, a réagi l’ancienne secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations. “Mon père est un excellent historien et c’est aussi un excellent féministe qui n’utiliserait jamais un argument patriarcal ou d’autorité”, a terminé la ministre, élevant la voix, son clan politique derrière la soutenant.

    Désaccord contre machisme

    Des accusations déplorées par le député qui lui a répondu ainsi: “J’aimerais que chaque fois que nous nous exprimions avec mes collègues insoumis, ce ne soit pas des arguments -comment dirais-je- trop irrespectueux. On a le droit d’être en radical désaccord avec ce que nous disons, mais franchement, ce que j’ai dit tout à l’heure n’a rien à voir avec le machisme, c’est tout l’inverse.”

    Deux jours plutôt, c’était le Vert Éric Piolle qui avait fait les frais de l’agacement de Marlène Schiappa. C’était cette fois l’expression “tenir ses ministres” qui lui avait valu un redressement. Sauf que l’élu grenoblois a expliqué ensuite viser aussi bien Darmanin que sa collègue.

    À voir également sur Le HuffPost: Marlène Schiappa a été rappelée à l’ordre à l’Assemblée nationale pour un retard de “6 minutes”

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      Dans la bande-annonce de "Moxie" sur Netflix, un groupe de lycéennes se rebelle

      Claire Pian · news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 3 February, 2021 - 15:32 · 1 minute

    NETFLIX - Comment démolir le patriarcat et lutter contre le sexisme ordinaire à 16 ans? C’est tout l’enjeu de Viv, adolescente timide devenue meneuse de révolte dans son lycée au Texas, comme le dévoile la bande-annonce du film “Moxie”. Le teen movie sera disponible sur Netflix le 3 mars 2021 et adapte l’ouvrage éponyme de l’écrivaine Jennifer Mathieu sorti en 2017.

    Sur les images que vous retrouverez en tête de l’article, on découvre la réalisatrice du film et star de “Parks and Recreation” Amy Poehler, dans le rôle d’une ancienne féministe anarchiste et membre d’un groupe de punk des années 90. C’est en tombant sur les archives du passé militant de sa mère que Viv (Hadley Robinson) est saisie d’un souffle de révolte anti-sexiste.

    Mais les luttes ont évolué, et le visage du patriarcat n’est plus le même qu’à l’époque des “Riot grrrl”. Alors en créant le fanzine féministe “Moxie” (qui est un mot vulgairement employé pour désigner le courage), Viv et son groupe de militantes vont tenter de combattre le sexisme ordinaire en dénonçant l’objectivation du corps féminin et la banalisation du harcèlement sexuel, notamment.

    Parmi ces lycéennes pleines de courage, on retrouve notamment Emma, incarnée par la star de la saga “After”Josephine Langford, ainsi que l’actrice Josie Totah, qui interprétait le personnage de Stuart dans la série “Jessie” sur Disney Channel.

    C’est tout un mouvement féministe et révolutionnaire qui bousculera ce lycée du Texas, au grand dam de la direction et de ceux qui se complaisaient dans ce système discriminatoire, tel que le sportif Mitchell incarné par Patrick Schwarzenegger.

    À voir également sur le HuffPost : Dans la bande-annonce de “Paris Police 1900”, anarchistes et antisémites divisent Paris

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      Un site sordide qui sexualisait les streameuses a été bloqué par Twitch

      Aurore Gayte · news.movim.eu / Numerama · Friday, 11 December, 2020 - 11:49

    Pendant plusieurs mois, un étrange site agrégeait les lives de streameuses, sans leur consentement, et en les présentant de manière très sexualisée. Il vient d'être bloqué par Twitch. [Lire la suite]

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      Ubisoft a nommé sa nouvelle cheffe de la Diversité et de l’Inclusion, Raashi Sikka

      Aurore Gayte · news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 9 December, 2020 - 10:21

    Ubisoft a annoncé la nomination de sa nouvelle vice-présidente, qui sera chargée de piloter les nouvelles politiques de diversité et d'inclusion au sein des studios du groupe à travers le monde. [Lire la suite]

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