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      [Prise en main] Huawei Matebook 14 (2020) : faut-il privilégier la version Intel ?

      Felix Gouty · news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 27 October, 2020 - 17:30 · 5 minutes

    Crédits : Le Journal du Geek.

    Dans le secteur de l’informatique, cette rentrée 2020 a été marquée par l’arrivée sur le marché des nouveaux microprocesseurs d’Intel de dixième génération. Et le géant chinois de l’électronique, Huawei, n’a pas dérogé à la règle. Il en intègre aujourd’hui dans le modèle 2020 de son Matebook 14, son concurrent direct aux « notebooks » d’Apple. Ce PC portable est, en somme, le jumeau plus performant du Huawei Matebook 14 sous AMD.

    Fiche technique

    Dimensions 30,75 x 22,38 x 1,59 cm
    Poids 1.53 kg
    Processeur Intel Core i7-10510U (1,8-2,3 GHz)
    Carte graphique NVIDIA GeForce MX350 (2 GB GDDR5)
    Mémoire vive 16 Go (RAM DDR4)
    Stockage 512 Go (PCIe SSD)
    Ecran 14 pouces (FHD - 2160 x 1440)
    - IPS
    - Bordures d'écran = 90% du châssis
    Système d'exploitation Windows 10 Home
    Clavier - Clavier rétro-éclairé
    - Lecteur d'empreinte + Webcam "pop-up" 1 MPx
    Alimentation 56 Wh (chargeur à 65W)
    Connexion -WiFi (type IEEE 802.11ac)
    - Bluetooth 5.0
    Ports entrée et sortie - 1 x USB-C
    - 1 x USB-A 3.0 + 1 x USB-A 2.0
    - 1 x HDMI
    - 1 x 3.5mm Audio Jack (Combo Jack-Micro)
    - 4 x Micros + 2 x Hauts-parleurs

    Nous ne reviendrons pas ici sur l’ergonomie et le design de ce modèle : pour avoir nos impressions dessus, nous vous invitons à replonger dans notre test du Huawei Matebook 14 (2020), version AMD .

    Intel : ses performances le précèdent

    Côté performance en revanche, quand Intel est dans la place, on sent clairement la différence. Le Huawei Matebook 14 (2020), sous sa configuration AMD, avait montré rapidement le maximum de ses capacités. S’il était irréprochable en streaming et (presque) impeccable dans sa gestion du multi-tâche classique ou pour assurer une activité bureautique de longue durée, il atteignait ses limites dans plusieurs cas de figures. Il était parfois difficile de pratique du montage audiovisuel en multi-tâche et il était impossible de jouer à des jeux moyennement gourmands graphiquement autrement que dans les conditions les plus basses possibles. L’intégration d’un microprocesseur Intel Core i7 (Comet Lake de dixième génération), associé à une carte graphique NVIDIA GeForce MX350 dédiée, change véritablement la donne.

    Grâce au combo Intel-NVIDIA, le Matebook 14 est enfin capable d’offrir un magnifique rendu sur un jeu comme Jurassic World Evolution , sans effort. La gestion d’une partie, déjà entamée et donc riche en détails et en IA dinosauriennes à gérer, n’est pas parfaitement fluide et le jeu « rame » donc un peu. Néanmoins, l’expérience reste jouable et agréable : ce qui reste déjà amplement suffisant pour une machine qui ne cible aucunement les consommateurs les plus ludiques. Contrairement à son jumeau sous AMD, les ventilateurs du Matebook 14 (2020) version Intel se sont par contre montrés particulièrement bruyants lors de notre sessions vidéoludique. Par ailleurs, la machine a rapidement augmenté en température jusqu’à en devenir brûlante sur nos pauvres genoux. En effet, qui dit plus hautes performances, dit aussi plus grande énergie dépensée et donc plus de chaleur émise à refroidir.

    Après une analyse sur UserBenchmark (ci-dessus), on constate aussi que le CPU a subi du « throttling » ou, pour résumer, de l’ underclocking automatique. Pour éviter que sa machine dépense de l’énergie jusqu’à faire fondre sa carrosserie, Huawei semble avoir dû limiter ses capacités par nature. Cette décision prouve la nature paradoxale d’une telle machine : parfaitement capable de hautes performances, mais incapable d’en supporter les effets secondaires.

    En session de montage audiovisuel à plusieurs pistes, le Matebook 14 sous Intel n’a montré aucune difficulté même avec une fenêtre Microsoft Edge dotée de plusieurs onglets ouverts et l’application Steam activée en parallèle. En termes d’autonomie, le « notebook » version Intel de Huawei se montre toutefois moins endurant que son jumeau sous AMD. Cette différence, probablement liée à la plus grande quantité d’énergie engloutie par le microprocesseur Intel, n’est heureusement pas excessivement prononcée. En une heure de streaming, le Matebook 14 testé ici a perdu 17% de capacité de sa batterie (à 56 Wh, la même que celle de son jumeau) – contre 27% en deux heures de multi-tâche intensif pour son jumeau.  En extrapolant, il ne parvient très clairement pas au 14,7 heures d’autonomie moyenne avancées par le constructeur chinois. Cette capacité reste néanmoins satisfaisante, surtout pour de la bureautique.

    Rien de nouveau pour le jumeau

    La dernière différence notable entre les Matebook 14 AMD et Intel est leur léger écart de masse. Curieusement, le second pèse 400 grammes de plus que le premier et cela se ressent dès la première prise en main. Il se peut que l’ajout d’un carte graphique à part entière ai entraîné ce gain de poids. Outre ce détail et leurs différences de performance, les jumeaux sont tout à fait semblables.

    Pour rappel, le Huawei Matebook 14, cru 2020, dispose d’un écran de 14 pouces d’une résolution QHD de 2160 x 1440 pixels , qui occupe 90% de son châssis. Il s’arme aussi d’une spécificité : il est entièrement tactile et permet même de prendre des captures d’écran à la main – utile si vous ne voulez pas laisser de traces, bien sûr. Chez les deux modèles existants, les couleurs sont belles et s’associent de manière particulièrement satisfaisant avec les deux haut-parleurs au dos du clavier pendant une séance de « binge-watching. » En parlant du clavier, celui-ci reste dans l’ensemble très agréable. Il faut toutefois noter une bonne nouvelle et une mauvaise (déjà rencontrées par le passé, sur d’autres PC portables de la marque) : il comporte un détecteur d’empreinte au niveau de son bouton d’allumage, offrant un démarrage très rapide et fluide, mais se dote hélas, d’une webcam « pop-up » à l’angle de vue toujours aussi inadéquat.

    Où l’acheter ?

    La version AMD du Huawei MateBook est disponible à partir de 899 euros. La version Intel Core i5 est à 1049 euros, enfin, la version Intel Core i7, testée ici, est exclusive à Boulanger en France, à 1299 euros .

    Galerie du test

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      [Test] Oppo Enco W51, la réduction de bruit à prix mini

      Remi Lou · news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 26 October, 2020 - 16:30 · 4 minutes

    Dans un secteur aujourd’hui occupé par de nombreux constructeurs, Oppo entreprend une nouvelle percée avec ses Enco W51, des écouteurs true wireless « à tiges » comme on en voit beaucoup sur le marché, mais qui proposent la particularité d’offrir la réduction de bruit active à tout petit prix. Après les très réussis Enco Free ou encore les intra-auriculaires Enco W31, Oppo a-t-il réussi sa percée dans le monde des écouteurs true wireless avec réduction de bruit active ? Réponse dans notre test !

    Où acheter les Oppo Enco W51 ?

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    Design, Ergonomie et Autonomie

    Les Oppo Enco W51 ne semblent pas particulièrement originaux côté look. On retrouve un boîtier de charge de forme carré aux coins arrondis, à la différence du galet rond des Enco W31, leurs homologues intra-auriculaires qui ne disposent pas de l’ANC. À l’intérieur de ce boîtier, qui se recharge via un port USB-C, on retrouve donc les deux écouteurs. Ceux-ci se dotent d’une tige blanche, façon AirPods, et d’un design intra-auriculaire avec des embouts fournis en trois tailles différentes. À l’arrière des écouteurs, on retrouve une petite surface métallisée qui vient les démarquer des fameux écouteurs d’Apple.

    Premier point d’ergonomie : les écouteurs sont vraiment très confortables et stables dans l’oreille. La forme de la partie haute des écouteurs s’imbrique parfaitement dans les oreilles, et les embouts fournis s’avèrent particulièrement confortables et de bonne qualité. Grâce à cette forme de « haricot » bien particulière, les Enco W51 ne se ressentent absolument pas dans l’oreille, et la pression exercée sur les parois du conduit auditif par les embouts en silicone est bien moindre qu’avec certains autres écouteurs. En plus, comme ils sont très légers (3,95 grammes par écouteur), on les sent encore moins. Si vous avez tendance à porter vos écouteurs pendant de longues périodes, c’est un excellent point. Notons que les écouteurs sont également certifiés IP54 contre l’eau et la poussière.

    Enfin, un mot sur l’autonomie : 24 heures au total avec le boîtier, 4 heures d’écoute par écouteur et 3,5 heures avec la réduction de bruit enclenchée. Dans les faits, Oppo n’a pas menti sur ces chiffres, puisqu’on a, à peu près, trouvé les mêmes résultats. Dans les faits, on tournait quand même plutôt autour des 3 heures / 3,5 heures d’autonomie sur les écouteurs, mais on les a utilisé quasi-exclusivement avec la réduction de bruit activée en permanence.

    Fonctions, Qualité sonore et Réduction de bruit active

    Contrairement à de nombreux concurrents sur ce secteur, Oppo n’a pas bardé ses Enco W51 de technologie. Ici, point d’application ni de connexion simplifiée : on retrouve ni plus ni moins que des écouteurs bluetooth (5.0) parfaitement compatibles avec Android, iOS et tout autre appareil bluetooth. On a tout de même le droit à des commandes tactiles, passant par un double et un triple appui, mais c’est tout.

    Côté qualité sonore, c’est effectivement une très bonne surprise. Là encore, pas de révolution : les Oppo Enco W51 distillent un son propre, très bien équilibré, ni trop porté sur les aigus ni sur les basses. On est loin des écouteurs au son très typé qui font la part belle aux basses et flattent les registres musicaux urbains ou plutôt porté sur les aigus qui plairont aux amateurs de musiques classiques ou de Rock. Pour de la musique Pop, par exemple, c’est parfait, et ça vous épargnera les basses parfois envahissantes de certains sous-genres actuels du hip-hop comme la Trap ou la Drill qui peuvent rendre une chanson inaudible avec certains écouteurs/casques. On retrouve, sinon, le support des codecs audio AAC et SBC, ainsi que le Bluetooth 5.0 pour les connecter à vos appareils.

    Mais surtout, la grande nouveauté de ces Oppo Enco W51, c’est bien sûr la réduction de bruit active, qui vient apporter une couche supplémentaire à l’isolation déjà très correcte des écouteurs grâce à leur conception intra-auriculaire. Une fois enclenchée, cette réduction de bruit s’avère plutôt efficace. Elle élimine très convenablement les sons environnants, même si les écouteurs ne parviennent pas tout à fait à éliminer les sons plus aigus les voix, qui parviennent malgré tout à s’immiscer – bien qu’amoindris – entre vous et votre musique. Aussi, cette fonction a beau être efficace dans la majorité des cas, elle n’est pas exempt de défauts : un vent fort, notamment, aura tôt fait de la rendre inutilisable et provoquera des bruits sourds très dérangeants à l’oreille. Dans le cadre de ce test, on a comparé la réduction de bruit offerte par ces Oppo Enco W51 à celle qu’offrent les AirPods Pro , et forcément, les écouteurs d’Apple restent très largement plus performants que ceux d’Oppo. Néanmoins, les Oppo Enco W51 ne sont pas non plus ridicules, et surtout, ils sont presque trois fois moins chers.

    On retrouve, pour finir, une réduction de bruit mais cette fois dans la capture de votre voix pour les appels. À l’aide de trois microphones, les écouteurs sont capables de filtrer les bruits parasites de manière plutôt efficace, et mes interlocuteurs m’ont chaque fois affirmé que le son de ma voix était très correct.

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    [Test] Oppo Enco W51, la réduction de bruit à prix mini

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      [Test] Sony XH80 : un téléviseur sobre et efficace

      Remi Lou · news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 8 October, 2020 - 16:30 · 5 minutes

    Après avoir testé le haut du panier avec la XH9505 , nous avons eu l’occasion de prendre en main la XH80 de chez Sony, un modèle bien plus abordable mais qui se présente néanmoins en de grandes tailles d’écrans. Le modèle ici testé était de 65 pouces (164 cm), et autant vous le dire tout de suite, il fait largement le job pour de la consommation de contenu ou du jeu vidéo. Voici notre prise en main !

    Plus besoin d’aller nécessairement taper dans le haut de gamme pour avoir droit à de larges dalles ! Avec sa série XH80, Sony a fait le pari de nous offrir une gamme de téléviseur de milieu de gamme s’étalant de 43 à 85 pouces (!), en ciblant méticuleusement les principaux aspects qui serviront directement l’utilisateur, sans proposer certaines des toutes dernières technologies réservées à la gamme supérieure.

    Design de la Sony XH80

    Avant même de parler du design de ce téléviseur, parlons tout de même du packaging particulièrement bien étudié et permettant une installation extrêmement facile pour un téléviseur de cette taille (65 pouces, tout de même). Tout comme le XH9565, on retrouve des instructions claires et bien pensées qui ne nécessitent à aucun moment de libérer la dalle dans le vide pour y installer les pieds. Ceux-ci viennent s’insérer très facilement sous le téléviseur, toujours maintenu par d’épais blocs de polystyrène, sans même avoir besoin d’y visser quoi que ça soit. Et même si l’installation est aisée, le téléviseur inspire confiance et solidité une fois posé sur ses pieds. C’est bête, mais l’expérience commence souvent par un packaging, et l’installation d’un téléviseur de cette taille peut parfois tourner au drame.

    Les pieds semblent fins, mais ils respirent la solidité

    Côté design, on retrouve – comme toujours avec Sony – un look extrêmement minimaliste. Tout comme la plupart des autres produits du constructeur nippon, la couleur noire est ici largement prédominante, permettant d’apporter élégance et discrétion à cet immense rectangle sombre. Le logo « Sony » , centré sur la bordure inférieure du cadre, apporte une petite touche de clarté à l’ensemble.

    Image & Son

    Sur cette XH80, Sony nous sert une dalle LCD somme toute très classique, mais parfaitement maîtrisée. Si les contrastes n’égaleront pas l’OLED, ils sont tout à fait satisfaisants et la luminosité globale s’avère excellente. Les angles de vision restent également très corrects – et ce même si ce n’est pas vraiment le domaine de prédilection du LCD. On bénéficie du HDR10, du HLG, du Dolby Vision et bien sûr d’une définition 4K de 3 840 x 2 160 pixels, permettant d’opter pour une très grande dalle même si on ne bénéficie par forcément d’un recul important. Surtout, c’est la puce X1 Ultimate de Sony qui tient encore une fois ses promesses et permet d’upscaler des contenus en ultra haute définition de manière très propre. Il est bon de constater que, malgré le positionnement entrée de gamme de ce téléviseur, Sony a jugé bon d’y intégrer la même puce qu’on retrouve sur ses modèles haut de gamme, et même premium (c’est la même puce qu’on retrouve sur les téléviseurs 8K de la marque, notamment). On retrouve également le procédé X-Reality PRO 4K afin d’améliorer la clarté des images, ainsi que le TRILUMINOS et la technologie Live Colour afin d’optimiser les couleurs.

    Enfin – et ce sera peut-être là que le téléviseur montrera ses limites, notamment chez les joueurs – on profite d’une fréquence de rafraîchissement classique de 50 Hz, mais pas au-delà. Néanmoins, Sony nous offre la technologie Motionflow XR 400 Hz permettant de simuler un haut taux de rafraîchissement en intercalant deux images supplémentaires entre deux images « originales ». Du côté du son, c’est également une bonne surprise avec ces haut-parleurs 10 W x 10 W d’assez bonne facture. Néanmoins, les basses restent assez peu présentes. Comme d’habitude – a fortiori sur de grandes tailles d’écrans – on vous conseillera les barres de son pour bénéficier d’une expérience idéale.

    Interface et connectivité

    Tous comme sur ces autres téléviseurs, Sony fait confiance à la solution logicielle de Google sur son XH80. On retrouve donc Android TV, contrairement aux téléviseurs de Samsung et LG qui proposent leurs solutions logicielles maison. Du côté d’Android TV, on se retrouve donc en terrain connu, avec une interface plutôt simple à appréhender, malgré un côté un brin austère. Surtout, on se retrouve d’emblée avec le catalogue d’application le plus complet du marché, de Netflix à Disney+ en passant par Amazon Prime Video, MyCanal, Molotov, OCS… Bref, tout l’essentiel afin de profiter du maximum de contenus sur le téléviseur. Android TV oblige, on retrouve également l’intégration de Google Assistant nativement sur la Sony XH80. L’avance de l’assistant maison de la firme de Mountain View n’est vraiment plus à prouver, et c’est un bonheur de le retrouver sur un téléviseur sur lequel il est bien moins aisé de taper du texte pour chercher un contenu précis. Mais si les utilisateurs d’Android profiteront d’un écosystème plutôt complet, Sony n’oublie pas pour autant les utilisateurs d’iPhone ou autres produits Apple, puisqu’on retrouve également AirPlay 2, afin de streamer ses contenus facilement depuis ses appareils pommés.

    Petit point négatif concernant la télécommande, qui ne dispose malheureusement pas de rétroéclairage. Une économie de bouts de chandelle qui n’a, selon nous, pas vraiment lieu d’être à ce prix. Malgré tout, la télécommande s’avère complète et plutôt simple à utiliser, et la qualité du micro y est très bonne, notamment pour l’utilisation de Google Assistant.

    Où l’acheter ?

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      [Test] Aspirateur robot Ecovacs Deebot Ozmo 920 : Innovant et efficace

      Amandine Jonniaux · news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 8 October, 2020 - 09:30 · 5 minutes

    Crédits Ecovacs

    Design et Finitions

    Malgré son prix plutôt abordable de 419€, le Deebot Ozmo 920 de Ecovacs a le mérite de s’offrir un design élégant et premium, à l’image du modèle 950. Proposé en coloris noir laqué l’aspirateur robot arbore des finitions soignées , et un socle de chargement discret assorti. Dans la boîte, on retrouve non seulement l’appareil avec tous ses accessoires (socle de charge, manuel d’utilisation, brosses rotatives, serpillière pour les lavages de sol et chiffons pour les nettoyages à sec), mais aussi plusieurs éléments de rechange, comme un filtre HEPA, une paire de brosses rotative et une bouche aspirante pour les poils d’animaux notamment. Un ajout qu’on retrouve rarement, pour ne pas dire jamais chez la concurrence, et qui fait du Deebot 920 un modèle particulièrement comple t.

    Côté design, le Deebot Ozmo 920 intègre un unique bouton , qui permet à la fois de le démarrer manuellement (appui court) et de le renvoyer sur sa base (appui long). Avec ses 9,3 cm de hauteur, le robot se classe parmi les plus fins du marché, malgré la présence de son télémètre laser, qui lui permet de cartographier une maison ou un appartement à plusieurs étages grâce à sa technologie Smart Navi 3.0. Le Deebot Ozmo 920 intègre par ailleurs six détecteurs de vide (contre généralement quatre chez la concurrence), ce qui lui permet de ne jamais chuter dans les escaliers lorsque ce dernier s’en approche d’un peu trop près.

    Sous le capot, on retrouve un bac à poussière de 430 mL , ainsi qu’un réservoir d’eau de 240 mL, qui promet de nettoyer au moins 100 m² avant d’être totalement vide. Les deux brossettes rotatives situées de part et d’autre de l’appareil permettent de rabattre la poussière directement vers la brosse principale. Encore un bon point à relever par rapport aux modèles actuellement sur le marché, qui n’en comptent généralement qu’une seule. Côté batterie, l’Ozmo 920 promet 110 minutes d’autonomie avant de nécessiter un retour au socle (4 heures sont nécessaires pour une charge pleine). Des performances amoindries par rapport au Ozmo 950 , mais qui suffisent pour aspirer et nettoyer un logement d’environ 100 m².

    Démarrage et utilisation

    Comme la plupart des robots autonomes, le démarrage du Deebot Ozmo 920 nécessite de passer par quelques étapes, heureusement d’une simplicité à toute épreuve. Il suffit en effet de télécharger l’application Ecovacs Home , d’identifier, et d’appairer l’aspirateur en flashant le QR code accessible sous son capot. Après avoir entré le code WiFi, Ozmo 920 est prêt à démarrer son premier nettoyage.

    Après un déballage et une mise en route particulièrement simples, c’est malheureusement au moment de prendre en main l’application que les choses se compliquent. Si cette dernière dispose pourtant de nombreuses fonctionnalités, elle manque cruellement d’ergonomie , au point qu’on a tendance à parfois s’y perdre. L’enregistrement de la carte après le premier passage du robot notamment n’est pas automatique, et nécessite au préalable d’avoir activé le mode Avancé , accessible depuis les Paramètres . De même, contrairement à certains modèles concurrents, et même à l’ancienne application Ecovacs, l’application Ecovacs Home interdit la division du logement par pièces , et ne permet que la mise en place de limites virtuelles pour les zones à éviter. Seul le nettoyage de zone manuelle, lui aussi accessible depuis le mode Avancé , permet d’éviter un nettoyage complet de l’appartement à chaque passage.

    Au quotidien

    Après plusieurs jours d’utilisation en conditions réelles, il faut bien admettre que le Deebot Ozmo 920 est particulièrement redoutable lorsqu’il s’agit d’aspirer la poussière. Capable de franchir des obstacles jusqu’à 2 cm de haut et de s’adapter automatiquement aux tapis, en augmentant sa puissance d’aspiration ou au contraire en les évitant en mode lavage, le robot intègre de nombreuses fonctions innovantes, et emprunte d’ailleurs beaucoup au marché haut de gamme. Il est par ailleurs relativement discret, et propose même un mode silencieux à 60 dB, contre 85 dB pour le mode Max. Concernant le lavage de sol, le résultat est sans surprise moins concluant (comme c’est généralement le cas pour les robots autonomes), mais permet malgré tout d’espacer efficacement les sessions de serpillage manuel, à condition de sélectionner le débit d’eau maximal dans les options de l’application.

    Compatible avec les assistants vocaux Google et Amazon Alexa, le Deebot Ozmo 920 peut être facilement contrôlé à la voix. Ça tombe bien, l’appareil est particulièrement bavard, et a tendance à commenter tous ses faits et gestes (il est heureusement possible de baisser son volume sonore depuis l’application). Au quotidien, il est possible de définir un programme automatique de nettoyage assez précis, permettant ainsi au robot d’initier lui-même un nettoyage complet à certaines heures de la journée. Un mode Ne pas déranger lui permet aussi de ne pas démarrer automatiquement après certaines heures, surtout lorsque ce dernier a dû retourner sur sa station de charge en cours de lavage pour faire le plein de batterie.

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