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      Benjamin Mendy accusé de viols et d'agression sexuelle

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 26 August, 2021 - 16:12

    Benjamin Mendy lors d

    VIOLENCES SEXUELLES - Le défenseur international français de Manchester City Benjamin Mendy , 27 ans, est accusé de quatre viols et une agression sexuelle qui auraient eu lieu entre octobre 2020 et août 2021, a annoncé la police anglaise ce jeudi 26 août.

    “Mendy a été placé en détention provisoire, dans l’attente de sa présentation devant le tribunal de Chester, le vendredi 27 août”, a précisé la police du Cheshire (nord-ouest) dans son communiqué, alors que le club de Manchester City a annoncé qu’il avait suspendu le joueur pour la durée de l’enquête.

    Plus d’informations à venir

    A voir également sur Le HuffPost: À Nice, l’asso “Les Papillons” et l’école de foot s’unissent pour lutter contre les violences sexuelles sur mineurs

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      Louvin, visé par une enquête pour viols sur mineurs, dénonce un chantage de son neveu

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 13 February, 2021 - 08:13 · 2 minutes

    Gérard Louvin, visé par une enquête pour viols sur mineurs, dénonce un chantage de son neveu Gerard Louvin (à gauche) et son mari Daniel Moyne, lors des funérailles de Jean-Claude Brialy en 2007. Photo par Olivier Laban-Mattei / AFP)

    PEDOPHILIE - Le producteur Gérard Louvin, visé par une enquête pour “viols sur mineurs” , se dit victime d’une “cabale” et de chantage d’argent de la part de son neveu, à l’origine d’une plainte contre lui, dans un entretien accordé à Nice-Matin .

    Une enquête pour “viols sur mineurs” et “complicité de viols sur mineurs” avait été ouverte le 21 janvier contre le producteur de télévision et son mari, Daniel Moyne, après le dépôt d’une plainte par le neveu du premier, Olivier A .

    “Je ne suis pas un prédateur!”, déclare Gérard Louvin, qui s’exprime pour la première fois publiquement sur ce sujet dans l’interview publiée samedi par le quotidien régional. “Rien ne m’est directement reproché. La seule plainte qui me vise directement émane de mon neveu, qui m’a réclamé 700.000 euros pour ne pas avoir vu ce qui n’a pas existé”, accuse-t-il.

    Gérard Louvin évoque une histoire d’héritage

    Début janvier, Olivier A., 48 ans, avait porté plainte pour “complicité de viol par ascendant sur mineur de 15 ans ” contre son oncle Gérard Louvin, l’accusant d’avoir “favorisé” des viols incestueux commis sur lui par son mari, Daniel Moyne.

    Selon l’avocat des plaignants, Me Pierre Debuisson, d’autres personnes ont ultérieurement saisi la justice. Quatre nouvelles plaintes ont ainsi été déposées à Paris entre fin janvier et début février pour des “viols” et “agressions sexuelles” visant le couple, avait-il affirmé mardi matin à l’AFP, confirmant une information du Monde .

    L’un de ces plaignants, Grégory C., 46 ans, accuse cette fois-ci M. Louvin lui-même de “viols”, a indiqué son avocat Me Debuisson. Les faits dénoncés, qui se seraient produits dans les années 1980 et 1990, “semblent prescrits”, a toutefois reconnu l’avocat.

    “Tout ça est une cabale. Ma sœur est derrière tout ça, elle m’a écrit des horreurs”, affirme Gérard Louvin, estimant que depuis qu’il avait adopté un garçon, pour elle et pour son neveu, “il y avait tout à coup un autre héritier”.

    Gérard Louvin est une figure familière de la télévision française. Il en a produit plusieurs émissions phares et est apparu également à plusieurs reprises en tant que juré ou chroniqueur. Il a produit également de très nombreux spectacles et pièces de théâtre.

    À voir également sur Le HuffPost: “Le sceau de l’infamie”: Geneviève Garrigos raconte les violences que l’inceste laisse derrière lui

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      Questionné sur les accusations de viol, Darmanin rejoue "l'indignité" de Sarkozy

      Anthony Berthelier · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 21:55 · 2 minutes

    POLITIQUE - “Comme disait le président Sarkozy...” Invité de l’émission “Vous avez la parole”, ce jeudi 11 février sur France 2, Gérald Darmanin n’a visiblement pas apprécié l’insistance de Thomas Sotto à propos des accusations de viol dont il fait l’objet depuis quatre ans .

    “Je suis à la disposition de la justice de mon pays. J’aimerais que cette calomnie s’arrête un jour, mais je constate (...) que quand on fait de la politique on est parfois accusé, parfois injustement. Je crois qu’il faut avoir confiance dans les institutions de la République”, a d’abord expliqué le ministre de l’Intérieur, alors que la cour d’appel de Paris a ordonné la reprise des investigations sur cette affaire en juin dernier.

    Relancé, par le journaliste de France 2 sur le paradoxe d’être “lui-même accusé de viol ”, alors qu’il “est en charge des violences faites aux femmes”, Gérald Darmanin n’a pas hésité à citer un de ses mentors en politique, Nicolas Sarkozy, quand il était interrogé par David Pujadas, en 2016 sur l’affaire du financement libyen, déjà “sur le service public.”

    “L’affaire Baudis ne vous a pas suffi?”

    “Vous imaginez, comme disait le président Sarkozy, l’indignité de votre question?”, s’est alors agacé le “premier flic de France”, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de l’article . Et Gérald Darmanin de citer également Dominique Baudis, accusé à tort, en 2003, de proxénétisme, de viols, de meurtres et d’actes de barbarie pendant des mois.

    “Mesdames et messieurs les journalistes, l’affaire Baudis ne vous a pas suffi?”, a-t-il lancé à deux reprises, alors que Thomas Sotto et Léa Salamé rappelaient “l’information judiciaire” actuellement en cours.

    “Je n’ai aucune leçon à recevoir et par ailleurs je vous souhaite de ne jamais être calomnié ni vous ni votre famille”, a encore le ministre de l’Intérieur Darmanin, convaincu qu’il ne sera “pas mis en examen dans cette affaire”,

    Le ministre de l’Intérieur est accusé par Sophie Patterson-Spatz de viol, harcèlement sexuel et abus de confiance. L’enquête avait été classée sans suite à deux reprises entre 2017 et 2018. La plaignante a relancé sa plainte et, après deux ans de bataille procédurale, une autre juge d’instruction est chargée des investigations depuis l’été dernier.

    La chambre de l’instruction de la cour d’appel n’a en effet pas suivi les réquisitions du parquet général et estimé que la magistrate instructrice “ne pouvait se fonder uniquement sur les résultats de l’enquête préliminaire” pour rendre un non-lieu avant toute nouvelle investigation.

    À voir également sur Le HuffPost: Gérald Darmanin réitère sa confiance au préfet de Paris, Didier Lallement

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      Affaire Le Scouarnec: sa nièce, victime, dénonce l'omerta au sein de sa famille

      Imane Lyafori · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 10:14 · 3 minutes

    Joël Le Scouarnec, lors de son procès pour viols et agression sexuelles, le 13 mars 2020 (Benoit PEYRUCQ / AFP)

    JUSTICE - Dans des entretiens accordés à franceinfo et BFMTV, ce jeudi 11 février, Aurélia*, la nièce de l’ancien chirurgien Joël Le Scouarnec , revient pour la première fois sur les abus qu’elle a subis, à la fin des années 1980, alors qu’elle dormait. Elle rejoint ainsi les centaines d’ autres victimes , également abusées par l’homme de 68 ans.

    Aujourd’hui âgée de 35 ans, elle déclare: “Je me souviens d’une nuit, où je sens une présence et des flashs. Je n’ai pas pu me réveiller, alors que je me disais ‘réveille-toi !’ Je n’ai pas réussi et je me suis dit ‘c’est peut-être des éclairs’. Le lendemain, j’ai demandé à ma mère s’il y avait de l’orage cette nuit-là. Elle m’a dit que non”, se souvient-elle.

    Toutes les preuves étaient déjà là Aurélia, à franceinfo

    À l’été 2019, dans le bureau de son avocate, soit des dizaines d’années plus tard, elle découvre des clichés que son oncle avait pris d’elle à l’époque. “Je me souviens juste que mon avocate me demande de m’asseoir, elle me prépare et me montre des photos pour m’assurer que c’est bien moi. Et c’est bien moi. Après, c’est le grand flou.” Avec ces photos, Aurélia comprend qu’elle aussi a été victime de son oncle.

    Briser l’omerta familiale

    Elle apprend, plus tard, que sa sœur et une cousine ont également été victimes des violences sexuelles du chirurgien, dans les années 1980-90. C’est d’abord sa sœur qui décide de parler des agressions qu’elle a subies. Après quoi, les deux petites filles en parlent à leur mère. Tout le monde dans la famille sait désormais que Joël Le Scouarnec est un pédocriminel. Mais le secret ne sort pas du cercle familial.

    “On ne m’a pas empêchée de parler, on ne m’a pas dit ‘surtout ne dit rien’. Ce n’était pas tabou. On en a souvent parlé, en fait la parole des enfants était libérée. C’est juste que les parents ne sont pas toujours prêts à entendre.” Cette affaire, qu’elle pensait intérieure à sa famille, devient alors la plus grave affaire de pédocriminalité de l’histoire judiciaire française avec, à ce jour, près de 350 victimes identifiées par la justice.

    “Je ne m’attendais pas du tout à une telle ampleur, raconte Aurélia. Au départ, on n’y croit pas trop. Et à un moment si on y croit, on veut juste que ça ne nous appartienne pas, qu’on ne fasse pas partie de toute cette monstruosité.”

    L’ancien chirurgien a été condamné, en décembre 2020, à 15 ans de réclusion criminelle au terme de son procès à huis clos aux assises de Saintes (Charente-Maritime) pour abus sexuels sur quatre mineures.

    Cette peine, conforme aux réquisitions de l’avocat général, a été assortie d’une obligation de suivi socio-judiciaire de 3 ans et d’une injonction de soins, l’accusé ayant été reconnu coupable de l’ensemble des faits qui lui étaient reprochés.

    *le prénom a été modifié

    À voir également sur Le Huffpost: “La solution, c’est la prévention”: cet ancien rugbyman abusé lutte contre la pédophilie dans le sport

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      Sciences Po Bordeaux: des violences sexuelles dénoncées sur Facebook

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 17:10 · 2 minutes

    Images de Sciences Po Bordeaux

    VIOLENCES SEXUELLES - Les témoignages se multiplient. Depuis le 23 janvier dernier, des centaines de personnes, majoritairement des femmes, ont pris la parole dans un groupe privé Facebook consacré aux ”étudiant.e.s de Sciences Po Bordeaux”, l’Institut d’études politique s de la ville de Gironde.

    Elles racontent notamment le sexisme, mais aussi les agressions sexuelles et les viols dont elles ont été victimes lors de soirées étudiantes, mais aussi pendant des voyages à l’étranger ou dans la sphère privée. En tout, 150 témoignages avaient été postés sur le mur de cette page Facebook mercredi 3 février, selon nos confrères de Rue 89 .

    Dans un message posté sur Facebook le 26 janvier dernier, l’association étudiante Sexprimons-Nous a apporté “son soutien aux voix qui s’élèvent pour leur témoignage, pour avoir brisé le silence et libéré la parole”.

    Le groupe propose aussi d’alerter la direction “avec le consentement des personnes concernées afin de proposer des solutions et faire en sorte que cela ne se reproduise plus”. Enfin, les auteurs du message ont créé un document permettant de témoigner anonymement.

    Le “courage” des victimes face à des actes “odieux”

    De son côté, la direction de l’école a réagi dans un communiqué publié le 2 février , suite à une réunion avec l’association Sexprimons-Nous quelques jours plus tôt. Elle salue notamment “le courage de celles et ceux qui témoignent de ces actes odieux” et fait plusieurs annonces.

    L’établissement, à travers la voix de son directeur, Yves Déloye, prévoit notamment “d’aider à l’expression de la parole de toutes les victimes” en “renforçant” ou en “mettant en place des structures adaptées”.

    Il prévoit aussi de “former l’ensemble des membres de la communauté de Sciences Po à la vigilance par rapport aux violences et agressions sexuelles”. Il annonce également la création d’outils et de dispositifs destinés à prévenir de tels actes”.

    Enfin, le communiqué précise qu’un groupe de travail sera prochainement mis en place et qu’il sera chargé de présenter d’ici à la fin du semestre un plan de lutte, de formation et de prévention pour une mise en place à la rentrée 2021-2022.

    En septembre dernier, de nombreuses personnes avaient déjà témoigné sur les réseaux sociaux de violences subies dans le cadre de l’école, de la part de professeurs cette fois. Le hashtag #BalanceTonProf avait ainsi permis à des élèves d’hier ou d’aujourd’hui de prendre la parole pour raconter des violences qu’ils ont subies à l’école .

    À voir également sur Le HuffPost : “Le sceau de l’infamie”, Geneviève Garrigos raconte les violences que l’inceste laisse derrière lui

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      Shirel, la fille de Jeane Manson, dénonce les "mensonges" de Coline Berry

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 14:44 · 2 minutes

    Soutenue par sa cousine Marilou Berry, Coline Berry maintient ses accusations contre son père (photo: Richard Berry et Coline Berry à l

    INCESTE - “La vérité triomphe toujours.” C’est par ces mots que la chanteuse Shirel, la fille de Jeanne Manson , débute une publication postée jeudi 4 févrie r sur Facebook. La jeune femme, qui a vécu plusieurs années avec Richard Berry lorsque sa mère était sa compagne, vient mettre à mal les accusations de Coline Berry, la fille aînée de l’acteur.

    Cette dernière a porté plainte le 25 janvier contre son père qu’elle accuse d’inceste. Dans sa plainte, Coline Berry dénonce “des faits de viols et agressions sexuelles sur mineur de 15 ans par ascendant et corruption de mineur”.

    Sur Instagram, mercredi 3 février , elle a indiqué qu’elle avait été “embrassée par son père sur la bouche avec la langue” et “a dû participer à des jeux sexuels dans un contexte de violences conjugales notoires”. “Faux, rétorque de son côté Richard Berry qui a démenti mardi 2 février sur Instagram “de toutes (ses) forces et sans ambiguïté ces accusations immondes”.

    “Il n’y a pas eu de geste déplacés de Richard”

    De son côté, Shirel raconte sur Facebook qu’elle avait “5 à 7 ans quand sa mère vivait avec Richard Berry”. “Après ces deux années en commun, nous ne nous sommes pas revues avec Coline. Sauf depuis presque un an ou je l’ai rencontrer en Israel.”

    Shirel explique ensuite que Coline aurait commencé à la “harceler” il y a “un mois” pour qu’elle “confirme ses mensonges”.

    “Je ne le ferai jamais, ajoute-t-elle. Il n’y a pas eu de gestes déplacés de Richard. Il n’y a pas eu de jeu sexuel avec lui et ma mère. Jamais. Aucun abus, aucun attouchement, rien. Les mensonges de Coline sont impardonnables.” Et de conclure: “Je sais que les accusations de Coline Berry sont fausses du premier au dernier mot”

    Le 25 janvier dernier, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire suite au dépôt de plainte de Coline Berry qui a été confiée à la brigade de protection des mineurs.

    À voir également sur Le HuffPost: Face au couvre-feu, Richard Berry partage un message d’espoir pour le monde du spectacle

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      Acrobate94, ex-candidat de "Ninja Warrior", soupçonné de viol et violences conjugales

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 10:29 · 1 minute

    JUSTICE - Le youtubeur Acrobate94, connu pour avoir décroché une banderole de Génération identitaire et sa participation à l’émission “ Ninja Warrior ”, est soupçonné de viol et de violences conjugales, indique BFMTV ce vendredi 5 février, confirmant une information du Parisien .

    Selon des sources judiciaires, le jeune homme de 28 ans est soupçonné de viol, de menaces de mort et de violences sur sa compagne, qui a déposé plainte rapporte Le Parisien. Le quotidien écrit que la jeune femme “aurait dénoncé une fellation imposée dans une voiture garée à Chevilly-Larue”.

    Interpellé mercredi dans le Val-de-Marne, il a été déféré dans la nuit de jeudi au tribunal de Créteil. Une information judiciaire pour “viol”, “violences aggravées” et “menaces de mort” pourrait être ouverte dans la journée, indique BFMTV.

    Acrobate94 s’était fait remarquer en juin 2020, lors d’un rassemblement en hommage à Adama Traoré. Par provocation, et alors que la manifestation se faisait en écho aux protestations contre le racisme policier aux États-Unis, le groupuscule d’extrême droite Génération identitaire avait accroché une banderole “Justice pour les victimes du racisme anti-blanc” sur le toit d’un immeuble au-dessus de la foule. Le Youtubeur, habitué des cascades, avait alors escaladé l’immeuble pour la décrocher sous les hourras de la foule .

    Par la suite, il avait intégré le casting de l’émission Ninja Warrior, qui vient d’être diffusée sur TF1.

    À voir également sur Le HuffPost: Pourquoi l’attaque du capitole a poussé AOC à révéler son agression sexuelle