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      Auchan, Leroy Merlin et Decathlon: les Mulliez refusent de quitter la Russie

      Yves Adaken (Mediacités Lille), La rédaction de Mediapart · news.movim.eu / Mediapart · Thursday, 24 March, 2022 - 13:30


    Après le bombardement du Leroy Merlin de Kyiv et l’appel du président Zelensky, mercredi devant le Parlement français, l’Association familiale Mulliez, maintient ses positions. Elle risque d’avoir de plus en plus de mal à gérer le malaise grandissant de ses salariés.
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      Le groupe Atalian paie 15 millions d’euros pour clore des poursuites

      Laurent Mauduit · news.movim.eu / Mediapart · Sunday, 20 February, 2022 - 15:59

    Le groupe Atalian a passé avec le parquet de Paris une convention judiciaire d’intérêt public qui lui évite des poursuites pour de fausses factures ayant augmenté artificiellement le prix de cession proposé pour deux de ses filiales. Ce type de procédures, utilisée aussi par LVMH, alimente des polémiques croissantes.
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      Mathias Poujol-Rost ✅ · Thursday, 30 December, 2021 - 06:23

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    Infiltrer Amazon. Ce que j’ai appris en m’infiltrant chez le géant des entreprises.
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      Le groupe Bolloré tire un trait sur l’Afrique

      Martine Orange · news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 22 December, 2021 - 18:44


    Le groupe de Vincent Bolloré a annoncé le 20 décembre être entré en négociations exclusives avec MSC, son ennemi irréductible jusqu’alors, en vue de lui céder toutes ses activités de transport et de logistique en Afrique. Avec cette cession, une page se tourne pour le groupe mais aussi pour toute la Françafrique.
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      Amazon: la rébellion des libraires, l’embarras des éditeurs

      Laurent Mauduit · news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 15 December, 2021 - 11:18


    La multinationale multiplie les coups de boutoir contre le prix unique du livre. Les libraires s’y opposent et viennent de remporter une importante victoire sur les frais de transport. Le monde de l’édition, lui, est plus ambigu.
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      Faillites: ce texte qui réduirait la protection des salariés critiqué jusqu'au Medef

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 16:53 · 2 minutes

    Ce texte qui réduirait la protection des salariés en cas de faillite critiqué jusqu

    POLITIQUE - Tirs croisés sur le gouvernement. Le Medef et les syndicats CFDT et FO se disent opposés à un projet d’ordonnance qui ferait passer le paiement des salaires après celui des administrateurs et mandataires judiciaires en cas de procédure collective.

    Les ressources du régime de garantie des salaires, l’AGS, qui assure le paiement des salaires de ces entreprises insolvables , proviennent d’une part de cotisations patronales et de l’autre de la réalisation des actifs des sociétés en liquidation.

    Dans le cadre de cette réalisation, le projet d’ordonnance rétrograde le paiement des salaires, qui bénéficient actuellement d’un “super-privilège”, au profit du paiement prioritaire d’autres créances, dont les honoraires des administrateurs. “On est très demandeurs que le super-privilège de l’AGS ne soit pas rétrogradé”, a ainsi expliqué le président délégué du Medef Patrick Martin ce vendredi 12 février à l’AFP , craignant “des effets de bord très importants pour la paix sociale”.

    “Des milliers de salariés en situation de détresse financière”

    Même opposition du côté du secrétaire général de Force Ouvrière Yves Veyrier. Le syndicaliste souligne, dans une lettre adressée le 3 février au Premier ministre Jean Castex, que l’AGS “remplit un rôle d’amortisseur social”. “Une rétrogradation de rang mettrait d’une part, le régime AGS -aujourd’hui vertueux- en difficulté et d’autre part, conduirait des milliers de salariés en situation de détresse financière et ce, dans un contexte économique dégradé”, selon lui.

    Dans un communiqué diffusé lundi, la CFDT de son côté “demande le retrait de ce projet d’ordonnance, inopportun et inapproprié dans la période”.

    Si les ressources de l’AGS sont amputées, il n’y a que “deux solutions pour équilibrer l’AGS”, explique pour sa part Patrick Martin. “Soit on dégrade la prise en charge des salaires par l’AGS, et ça c’est vraiment pour nous la dernière extrémité et on fera tout pour l’éviter, soit on augmente les cotisations versées par les entreprises” et pour ça “c’est vraiment pas le moment”.

    Donc, “on s’y oppose” poursuit le président délégué du Medef qui demande aux administrateurs et mandataires judiciaires “plus de transparence et plus de concertation” sur la partie non réglementée de leurs prestations. Le ministère de la Justice explique sur son site internet que son projet d’ordonnance, sur lequel il a engagé une consultation jusqu’au 15 février, vise à transposer la directive européenne “restructuration et insolvabilité”.

    “On a regardé cette directive européenne de très près et on ne voit pas en quoi elle fonderait cette modification de la hiérarchie des créanciers”, a répliqué Patrick Martin sur ce point.

    À voir également sur Le HuffPost : Au Medef, cette jeune militante écolo imperturbable face aux ricanements

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      Depuis le Covid-19, ils télétravaillent au soleil à l'autre bout du monde

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 10 February, 2021 - 16:20 · 4 minutes

    Depuis l

    VIE DE BUREAU - Tirant parti de “l’aubaine” offerte par le télétravail , c’est sous les palmiers qu’ils répondent désormais à leurs mails. En détachant les salariés de leurs bureaux , la pandémie de Covid-19 a attiré leur attention sur ce mode de vie, longtemps réservé aux indépendants.

    Le nombre de ces baroudeurs d’un nouveau genre, le plus souvent jeunes et travaillant de près ou de loin dans des domaines liés au numérique, est difficile à évaluer mais se chiffre en millions. Une manne économique que les pays cherchent à exploiter.

    Steve King, analyste du cabinet de recherche Emergent Research , estime que les seuls nomades numériques américains étaient 10,9 millions en 2020, en utilisant une définition large du terme. C’est 33% de plus que l’année précédente.

    Des touristes “exemplaires”

    “J’ai toujours voulu vivre dans un autre pays pour voir comment c’est”, raconte Sharon (prénom modifié), 28 ans. Cette Américaine qui travaille dans la gestion de données a mis le cap sur Mexico, séduite par la “météo” et la “liberté de s’organiser”.

    Claire et Marius, Français salariés dans le marketing, la trentaine, ont pu partir “grâce au confinement” qui a convaincu le patron du second, initialement réticent, que le travail à distance fonctionnait. Depuis un hôtel de Playa del Carmen au Mexique, Claire “pense que ce sera impossible de retourner en bureau un jour”.

    Justine Roy, 24 ans, s’est lancée l’été dernier comme consultante indépendante en “influence” numérique, et s’est envolée pour Bali: “S’il n’y avait pas eu la pandémie , je serais probablement restée en France”.

    Denis Muniglia, employé quadragénaire d’une compagnie d’assurances, voit le télétravail comme une “aubaine”. Il a pris l’habitude de prolonger ses vacances en télétravaillant, une fois en Bulgarie, l’autre à Malte.

    Le potentiel économique n’a pas échappé aux États: une quinzaine d’entre eux ont récemment facilité l’accueil de ces touristes d’un nouveau genre, selon le chercheur Clément Marinos. Ils sont “de bons touristes car ils ont un emploi, donc ils ne prennent pas de travail aux populations locales, et ils sont généralement bien payés”, souligne Steve King.

    Les pays aux règles sanitaires plus souples recherchés

    Les nomades numériques ont leurs propres critères pour choisir leur destination: coût de la vie, météo, connexion internet, mais aussi situation épidémique. Ils visent “des pays où les règles sont plus souples”, explique Arnaud Wilbrod, 35 ans, qui profite des “bars et restaurants ouverts” à Tallinn situé en Estonie, tout en poursuivant son activité d’éditeur de contenu numérique.

    L’été dernier, la Géorgie a créé un visa permettant aux travailleurs qui touchent au moins 2.000 dollars par mois d’y vivre pendant un an. Même si la situation sanitaire s’est depuis dégradée, 787 nomades numériques se sont installés. C’est peu, mais le programme vise surtout ”à attirer des visiteurs ayant des revenus élevés”, explique Tea Chanchibadze, porte-parole de l’administration nationale géorgienne du tourisme.

    Jenni Pringle, une Sud-Africaine titulaire de ce visa, a “cherché sur Google un pays sûr et pas cher”, elle ne savait “rien de la Géorgie”. Séduite par “la beauté” et la “propreté” du pays, cette professeur d’anglais de 61 ans, qui travaille en ligne, envisage de s’y installer pour de bon.

    Un village de nomades numériques

    Au Costa Rica , une loi est en préparation pour autoriser les télétravailleurs aisés à rester plus longtemps. “Nous sommes l’un des pays les plus connectés d’Amérique latine”, fait valoir Gustavo Segura, ministre du tourisme.

    Mais ces nouvelles arrivées ne vont pas toujours sans heurts. En janvier, un couple d’Américaines - dont l’une se revendiquant “nomade numérique” a été expulsé de Bali , après des tweets jugés “dérangeants” par les autorités indonésiennes, qui vantaient le faible coût de la vie et décrivaient l’île comme un paradis pour les homosexuels .

    Selon Putu Astawa, chef de l’agence du tourisme de l’île, les nomades numériques restent toutefois “une source de revenus pour le pays et Bali, pour les aider à se remettre du choc causé par la pandémie”. Au Portugal à Madère, un village pour nomades numériques, premier du genre en Europe , a été inauguré. Pittoresque localité côtière, Ponta do Sol a vu s’implanter un espace de travail partagé et une centaine de télétravailleurs, logés dans une quarantaine de maisons. 3.800 autres ont déjà candidaté pour les rejoindre.

    Les autorités locales entendent “faire connaître Madère comme l’un des meilleurs endroits au monde pour travailler à distance”, explique la porte-parole du secrétariat régional de l’Économie Margarida Luis. Gonçalo Hall, entrepreneur à l’initiative du projet, en est persuadé: “en termes de télétravail, on ne reviendra pas en arrière”.

    À voir également sur Le HuffPost : Les patrons ont-ils confiance en leurs employés en télétravail?