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      Coiffée avec de la super glue, elle a retrouvé ses cheveux avec une opération

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 23:32 · 2 minutes

    INSOLITE - Elle a fini par en voir le bout. Une Américaine qui s’était coiffée avec de la super glue et avait appelé au secours les réseaux sociaux a enfin retrouvé ses cheveux, a-t-on découvert ce jeudi 11 février.

    Résidente de Louisiane, Tessica Brown avait posté il y a plusieurs jours une vidéo sur le réseau social TikTok expliquant qu’étant à cours de son gel pour cheveux habituel, elle avait utilisé de la colle extra forte comme substitut, sous forme de spray.

    “Mauvaise, mauvaise, mauvaise idée”, s’était lamentée la quadragénaire aux cheveux plaqués sur le crâne, au bord des larmes (vidéo en tête d’article) . “Mes cheveux sont comme ça depuis un mois. Ce n’est pas mon choix.”

    Dans une vidéo diffusée par le site TMZ ce jeudi, on peut la voir dans un cabinet médical de Los Angeles, libérée de toute cette glue et retrouver ses cheveux avec émotion (clip ci-dessous).

    La colle chimique qu’elle avait utilisée, de la marque Gorilla Glue, contient notamment de l’acétone et du propane et ne doit normalement pas entrer en contact avec la peau, selon la fiche produit, car elle peut provoquer de graves irritations.

    Durant les jours qui avaient suivi, Tessica Brown avait essayé divers produits et lotions, parmi lesquels de l’huile de noix de coco, sans succès, tandis que des internautes lui proposaient mille et une solutions. Samedi, elle avait fini par aller aux urgences d’un hôpital de Chalmette, en Louisiane, mais en vain.

    Devant la vidéo et ses rebondissements, le docteur Michael Obeng a finalement offert ses services à celle qui compte désormais près de 800.000 abonnés sur TikTok. “L’opération s’est bien passée. Tessica va bien et est réveillée”, a assuré le chirurgien esthétique qui ne lui a pas fait payer les 12.000 dollars que l’intervention est normalement facturée.

    A voir également sur Le HuffPost: L’opéra de Tours accueille la première cheffe d’orchestre noire en France

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      Gina Carano, la star de "The Mandalorian", ne travaillera plus pour Disney+

      Mathilde Pereira Karsenti · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 11:15 · 2 minutes

    L

    CINÉMA - Le message de trop. Cela fait plusieurs mois que l’actrice américaine Gina Carano multiplie les propos polémiques sur les réseaux sociaux. Et cette fois, la société de production LucasFilm, de la série “The Mandalorian”, a décidé d’intervenir. Gina Carano ne collaborera plus avec Disney+ en raison de plusieurs publications.

    Elle “n’est actuellement plus employée par LucasFilm et nous n’avons aucun projet avec elle pour l’avenir. Ses publications, sur les réseaux sociaux, dénigrant des personnes en raison de leurs identités politique ou religieuse, sont odieuses et inacceptables”, a déclaré un porte-parole de la société de production dans un communiqué, cité par Variety .

    La réaction de LucasFilm fait suite à un message que celle qui incarne Cara Dune a posté mardi 9 février. L’actrice de 38 ans a partagé plusieurs articles offensants dans ses stories Instagram et sur TikTok. L’un d’entre eux assimilait les Américains sympathisants du parti républicain actuel aux Juifs sous l’Allemagne nazie.

    “Elle est transphobe, anti-masque, d’extrême droite, adhère au complotisme, elle ne croit pas au racisme systématique et partage maintenant des images antisémites.”

    Sur l’un de ses partages visibles ci-dessus, on peut lire: “Les soldats nazis pouvaient rafler facilement des milliers de juifs, le gouvernement dans un premier temps les avait fait haïr de leurs voisins simplement parce qu’ils étaient juifs. En quoi est-ce différent du fait de haïr un individu en raison de ses idées politiques”.

    Des propos qui ont vivement fait réagir. Le hashtag #FireGinaCarano demandant à Lucasfilm et Jon Favreau d’évincer l’actrice a massivement circulé sur Twitter dès mercredi.

    La comédienne n’en était pas à sa première polémique en ligne comme le témoigne le tweet ci-dessus. Ces derniers mois, elle a notamment affiché sa position anti-vaccin et anti-masque tout en soutenant le Président américain sortant Donald Trump, qui considérait avoir été victime de fraude électorale.

    Gina Carano n’a pas réagi publiquement à cette décision.

    À voir également sur Le HuffPost : Dans “The Mandalorian”, ce petit raté n’est pas passé inaperçu

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      À New York, les stades et des salles de spectacle vont rouvrir sous conditions

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 09:36 · 1 minute

    Le Barclays Center, salle omnisports située dans l

    ÉTATS-UNIS - Une première, après presque un an de fermeture. Le gouverneur de l’Etat de New York a annoncé ce mercredi 10 février que les grandes salles de spectacle et les stades pourraient rouvrir avec une jauge de 10% de leur capacité d’accueil à partir du 23 février.

    Le seuil de 10% s’applique aux salles capables d’accueillir plus de 10.000 personnes , a précisé Andrew Cuomo , sans donner plus d’informations quant aux bâtiments de moindre capacité, qui resteront, a priori, fermés.

    Pour assister au spectacle ou à la rencontre sportive, les spectateurs devront présenter à l’entrée l’attestation d’un test PCR négatif datant de moins de 72 heures et se faire prendre la température. Une fois dans la salle, ils devront porter un masque et respecter les règles de distanciation physique.

    Le Barclays Center, première salle à rouvrir

    Les premiers à ouvrir le bal seront, dès le 23 février, le Barclays Center, salle qui peut accueillir 17.700 spectateurs en configuration basket, et le légendaire Madison Square Garden, dont la jauge ordinaire est d’environ 19.800 places.

    À Brooklyn, l’équipe de la ligue professionnelle NBA des Brooklyn Nets aura l’autorisation d’accueillir du public pour son match contre les Sacramento Kings, tandis qu’à Manhattan, les Knicks recevront les Golden State Warriors.

    Ce sera la première fois depuis 352 jours que Nets et Knicks évolueront devant leurs spectateurs. Brooklyn et New York ont joué plusieurs fois à domicile cette saison, mais toujours à huis clos.

    Dans un message posté mercredi sur Twitter, les New York Rangers, équipe de la ligue de hockey NHL qui évolue également au Madison Square Garden, ont annoncé qu’ils recommenceraient à accueillir des spectateurs à compter du match du 26 février contre les Boston Bruins.

    À voir également sur le HuffPost: Au procès en destitution de Trump, des vidéos chocs et inédites montrées aux parlementaires

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      Nicolo Laurent, le PDG de Riot Games, accusé de harcèlement sexuel

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 09:03 · 3 minutes

    Le PDG de Riot Games lors du Championnat du Monde du League of Legends, le 2 novembre 2018, en Corée du Sud. 

    HARCÈLEMENT SEXUEL - L’éditeur et développeur américain de jeux vidéo Riot Games, à l’origine du célèbre League of Legends, et son patron français, Nicolo Laurent, sont poursuivis en justice par une ex-employée, qui accuse le dirigeant de harcèlement sexuel et de propos sexistes .

    La plainte a été déposée début janvier devant un tribunal de Los Angeles en Californie par Sharon O’Donnell, une ancienne assistante renvoyée en juillet 2020, et a été révélée mardi par le site d’information Vice .

    Sharon O’Donell y affirme que Nicolo Laurent lui aurait fait des demandes de faveurs sexuelles en lui proposant notamment de venir chez lui quand sa famille était absente, utilisant un langage particulièrement cru. Il aurait également fait référence à la taille de ses sous-vêtements.

    Des propos discriminants

    L’ancienne employée estime que son licenciement est directement lié à son refus d’accepter ces avances. Elle raconte également que Nicolo Laurent aurait dit aux femmes travaillant pour Riot Games que le meilleur “moyen de gérer le stress lié à la pandémie est de faire des enfants”.

    Elle décrit une ambiance de travail toxique et malsaine pour les femmes de l’entreprise. “Les salariées subissent de la discrimination, du harcèlement et sont traitées comme des citoyennes de seconde classe”, décrit Sharon O’Donnell.

    Dans un communiqué transmis à l’AFP, Riot Games a contesté les conditions du licenciement de la plaignante, assurant avoir mis terme à son contrat après “des dizaines de plaintes de la part d’employés et de partenaires extérieurs et après de multiples séances d’accompagnement pour essayer de tenir compte de ses préoccupations”.

    L’entreprise assure néanmoins prendre au sérieux toute accusation de harcèlement ou de discrimination et dit ”étudier les allégations et agir contre toute personne ayant enfreint nos règlements”.

    Travaillant chez Riot Games depuis 2009, Nicolo Laurent est devenu en 2017 directeur général du groupe connu pour son jeu d’arène de bataille en ligne multijoueur League of Legends, mais aussi pour l’organisation de nombreux tournois d’e-sport.

    Milieu dominé par une culture masculine

    En 2018, le site spécialisé Kotaku avait publié une longue enquête sur le sexisme au sein de la société californienne, décrivant une culture d’entreprise faisant la part belle à l’entre-soi masculin et refusant fréquemment des promotions aux femmes employées.

    Cette enquête avait donné lieu à un recours collectif contre Riot Games, qui avait accepté de payer 10 millions de dollars en 2019 pour mettre un terme aux poursuites de 1000 plaignantes, selon le Los Angeles Times .

    Mais après l’intervention d’agences étatiques californiennes, plusieurs médias américains avaient rapporté que le montant final payé par Riot Games pourrait être très nettement supérieur. L’entreprise tâche depuis de renvoyer le dossier en procédure d’arbitrage individuel afin de trouver des arrangements au cas par cas.

    En juillet dernier, Nicolo Laurent avait publié une tribune sur le site Gamesindustry pour s’excuser des manquements de l’entreprise et avait assuré que la compagnie avait appris de ses erreurs.

    Des allégations similaires à celles qui concernent Riot Games ont entaché la réputation d’autres poids lourds de l’industrie par le passé.

    Des affaires similaires

    En juin dernier, l’éditeur français Ubisoft a ainsi été éclaboussé par des accusations de violence et de harcèlement sexuel visant nommément des cadres de ses deux studios au Canada. Peu après l’éclatement du scandale, le PDG du groupe avait annoncé qu’un vice-président avait démissionné et qu’un autre avait été mis à pied pour “comportements inappropriés”.

    Yves Guillemot avait aussi promis à ses salariés un “changement structurel” de l’entreprise. L’industrie du jeu vidéo est souvent considérée comme un milieu dominé par une culture d’entreprise masculine, où les dérives sexistes et les comportements déplacés sont fréquents.

    En 2014, un débat aux États-Unis sur les liens entre journalistes et créateurs de jeux s’était ainsi transformé en menaces de viol et de meurtre contre la développeuse indépendante Zoe Quinn et d’autres femmes de l’industrie, donnant lieu à l’affaire dite du “Gamergate”.

    À voir également sur Le HuffPost : Pourquoi l’attaque du capitole a poussé AOC à révéler son agression sexuelle

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      Larry Flynt, roi du porno, est mort à 78 ans à Los Angeles

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 06:52 · 4 minutes

    À Las Vegas, aux États-Unis, le

    ÉTATS-UNIS - Provocateur et libertaire, il était le roi de la pornographie. Larry Flynt , fondateur du magazine “Hustler” au coeur d’un film de Milos Forman dans les années 1990 et défenseur autoproclamé de la liberté d’expression , est décédé ce mercredi 10 février à Los Angeles à l’âge de 78 ans.

    “Il s’est éteint tranquillement pendant son sommeil” à l’hôpital, avec à ses côtés son épouse Elizabeth et sa fille Theresa, précise une porte-parole du groupe Flynt dans un communiqué transmis à l’AFP.

    Larry Flynt est mort “des suites d’une maladie soudaine”, dit le texte, sans plus de précisions. Selon des médias américains citant sa famille, l’homme d’affaires a succombé à un arrêt cardiaque.

    Flynt avait lancé en 1974 son magazine pornographique “Hustler”, concurrent de “Playboy” et “Penthouse” qu’il jugeait “ringards”, avec des photos très explicites et un ton délibérément scandaleux.

    Il avait ensuite développé son empire avec d’autres publications, des clubs et des sex-shops, des studios spécialisés dans les films X puis des sites internet. En 2000, l’homme d’affaires a même ouvert un casino “Hustler” dans la banlieue de Los Angeles, où il s’était établi de longue date.

    Au tribunal en slip

    En octobre 2017, le vieil homme lifté, cloué dans un fauteuil roulant plaqué or depuis une tentative d’assassinat en 1978, s’était permis un dernier coup d’éclat en offrant, sur une pleine page dans le Washington Post , 10 millions de dollars à qui lui fournirait toute information conduisant à la destitution de Donald Trump. C’était son “devoir patriotique”, avait affirmé cet habitué des polémiques et des procès qui avait bâti sa réputation et sa fortune sur la provocation.

    L’homme était coutumier de la méthode: pour soutenir le président Clinton empêtré dans l’affaire Lewinsky en 1998, il avait obtenu la tête de plusieurs élus compromis dans des scandales sexuels révélés dans son magazine.

    Son goût de la provocation a failli lui coûter la vie: le 6 mars 1978, à proximité d’un tribunal où il est une énième fois poursuivi pour “obscénité”, un extrémiste proche du Ku Klux Klan ouvre le feu sur lui, le laissant paraplégique. Le tireur, un tueur en série raciste qui n’a été arrêté qu’en 1980 pour d’autres crimes et ne fut jamais inquiété pour cet attentat, n’avait pas apprécié des photos publiées par Hustler mettant en scène des partenaires de différentes couleurs.

    La santé de Larry Flynt dès lors ne cessera de se détériorer, le rendant dépendant aux anti-douleurs et aux drogues.

    Ouverture d’un “Hustler Club” dans l’Ohio

    Né en 1942 dans un village déshérité du Kentucky, Larry Flynt s’enrôle à 15 ans dans l’armée grâce à un certificat de naissance contrefait. Il est démobilisé peu après et devient le roi de la combine.

    Il vend de l’alcool clandestinement, joue au poker. Avec quelques dollars de côté, il ouvre en 1965 un premier bar puis un second et un troisième. Ces “Hustler Clubs”, des boîtes miteuses où les hôtesses servent les clients entièrement nues, deviennent une institution dans l’Ohio.

    Il publie une feuille de chou, “Hustler magazine” (en français, à la fois: arnaqueur, arriviste, escroc, prostitué), qui jette aux orties les codes policés de la photo de charme: les modèles y exposent leurs parties génitales.

    Il gagne son premier million en publiant en 1975 des photos volées de Jackie Onassis nue sur une île grecque. “Hustler” décolle et se vend bientôt à 3 millions d’exemplaires.

    Droit à l’obscénité et à la parodie

    Le magazine censuré en France jusqu’en 2011 brise tous les tabous avec des accroches comme “George Bush a le Sida”. Père de cinq enfants et marié à cinq reprises, Larry Flynt mène une vie décalée: “le roi des ploucs” multiplie les excès, fréquente des figures radicales de la contre-culture. En 1977, une étonnante conversion au christianisme évangélique, sous l’influence de la soeur du président Jimmy Carter, lui donne le désir éphémère de transformer Hustler en magazine chrétien.

    Au fil des ans, les ligues pour la vertu et les féministes le traînent devant les tribunaux. Larry Flynt jubile! Il y plaide le droit à l’obscénité et à la parodie. Il se présente au tribunal en slip taillé dans un drapeau américain, fait de la prison mais parvient à porter deux affaires devant la Cour suprême. En 1987, la plus haute juridiction américaine lui donne raison contre un télévangéliste moqué dans une parodie de publicité.

    Milos Forman brosse de lui un portrait élogieux dans un film éponyme en 1996 où il est incarné par Woody Harrelson. “Je dois admettre que je n’ai jamais acheté le magazine Hustler et je crois que je ne l’achèterai jamais”, écrivait le réalisateur dans une préface de l’autobiographie de Flynt. “Mais aussi longtemps que je vivrai, j’admirerai toujours Larry Flynt: sa vie, son courage et sa ténacité”, affirmait Forman.

    À voir également sur Le HuffPost: 3 idées reçues sur le métier d’acteur pornographique

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      Trump restera banni de Twitter, même s'il se représente en 2024

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 10 February, 2021 - 17:49 · 2 minutes

    Donald Trump à Washington le 12 janvier 2021 (AP Photo/Gerald Herbert, File)

    RÉSEAUX SOCIAUX - Persona non grata. Alors que son deuxième procès en destitution s’est ouvert ce lundi 8 février, Donald Trump n’est pas prêt de pouvoir poster à nouveau des messages sur Twitter .

    L’ancien président américain, dont le compte avait été supprimé du réseau social après les événements survenus le 6 janvier au Capitole, restera banni pour toujours. Et ce même s’il devait se représenter à la présidentielle américaine de 2024, a indiqué ce mercredi Ned Segal, le directeur administratif et financier (DAF) de Twitter.

    Interrogé par CNBC, ce dernier a expliqué: “quand vous êtes banni de la plateforme, vous êtes banni de la plateforme. Que vous soyez commentateur ou un ancien ou actuel représentant public”. Évoquant ensuite le règlement de la plateforme, il a ajouté: “notre politique est conçue pour s’assurer que les gens n’incitent pas à la violence. Si quelqu’un fait ça, nous ne pouvons pas lui laisser l’accès au service. Et notre politique ne prévoit pas de retour en arrière”.

    La décision de Twitter de supprimer le compte de Donald Trump avait déclenché des remous sur la plateforme et des débats enflammés : l’ancien président pouvait-il être considéré comme n’importe quel utilisateur?

    “Je ne ressens aucune fierté à l’idée que nous ayons dû bannir Donald Trump”, avait confié le PDG de Twitter Jack Dorsey évoquant un ”échec de notre part à promouvoir une conversation saine”. Mardi, lors d’un bilan financier, il a toutefois assuré que la stabilité économique de l’entreprise n’avait pas été bousculée par le départ de Donald Trump. “Nous sommes une entreprise qui est beaucoup plus large qu’un seul sujet de conversation ou qu’un seul compte”, a notamment déclaré le dirigeant.

    Reste à savoir si le magnat de l’immobiliser pourra un jour se représenter à la présidentielle américaine. Si à l’issue de son deuxième procès en destitution , Donald Trump est jugé coupable “d’incitation à l’insurrection”, les sénateurs pourront organiser s’ils le souhaitent un second vote en invoquant le 14e amendement. Ce dernier, né de la Guerre de Sécession, interdit à quiconque ayant “participé à une insurrection ou rébellion” contre les États-Unis de se présenter à une élection. Pas besoin de l’accord des deux tiers du Sénat, une simple majorité suffirait alors.

    À voir également sur Le HuffPost: Joe Biden ne veut plus que Donald Trump reçoive d’informations confidentielles

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      Aux États-Unis, le bonhomme de mème Bernie Sanders est devenu incontournable

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 10 February, 2021 - 16:45 · 1 minute

    ÉTATS-UNIS - C’était le 20 janvier 2021, lors de l’investiture du 47e président des États-Unis, Joe Biden. Une nuit particulièrement froide puisque le sénateur Bernie Sanders y a assisté emmitouflé dans une parka zippée de bas en haut et portant une paire de moufles désormais célèbres .

    La posture et le look du démocrate avaient surpris et amusé de nombreux spectateurs qui s’étaient ensuite emparé de l’image pour la détourner sur les réseaux sociaux.

    Et alors que le nord des États-Unis est recouvert de neige, certains ont eu l’idée de donner vie au fameux mème, une image reprise et détournée dans l’intention de faire rire sur les réseaux sociaux, en sculptant des bonhommes de neige à l’effigie de Bernie Sanders, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article .

    Après la soirée d’investiture, le mème de Bernie Sanders assis sur son siège pliable dans ses moufles avait tant circulé que la créatrice de ces gants , une enseignante du Vermont qui les avait tricotés pour l’ancien candidat à la primaire démocrate, a fini par signer un contrat avec une entreprise afin de les commercialiser.

    Ce mème n’a pas seulement été fructueux pour l’enseignante. Y voyant l’opportunité de faire parler de lui, Bernie Sanders a utilisé les détournements de son image dans le but de lever des fonds. Grâce à la popularité de son mème, il a récolté au moins 1,8 million de dollars pour des associations caritatives.

    À voir également sur Le HuffPost: Investiture de Joe Biden: un feu d’artifice clôture la journée sur une musique de Katy Perry

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      Fox news annule l'émission de Lou Dobbs, soutien de Donald Trump

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 6 February, 2021 - 15:31 · 2 minutes

    Lou Dobbs, présentateur de l

    DONALD TRUMP - Son présentateur vedette est l’un des plus ardents soutiens de l’ancien président américain Donald Trump. Ce vendredi 5 février, le groupe Fox News a annulé l’émission du présentateur Lou Dobbs, de la chaîne Fox Business, petite soeur de Fox News , qui était l’un des plus ardents soutiens de l’ ancien président américain Donald Trump parmi les vedettes de l’antenne.

    La décision intervient au lendemain de l’assignation en diffamation de Fox News et de Lou Dobbs par la société informatique Smartmatic, qui leur réclame 2,7 milliards de dollars pour avoir relayé des théories complotistes l’impliquant à tort.

    “Fox News Media étudie régulièrement des changements de grille et a prévu de lancer de nouveaux formats adaptés à cette période post-électorale, notamment sur Fox Business”, a indiqué à l’AFP une porte-parole de Fox News. L’annulation “fait partie de ces changements”, a-t-elle ajouté. “Une nouvelle émission” sur cette case (17H00 à 18H00) “sera annoncée prochainement”.

    L’émission de Lou Dobbs avait la meilleure audience de la chaîne, avec un peu plus de 300.000 téléspectateurs en moyenne chaque soir.

    Relais des accusations de fraude lors de l’élection présidentielle

    Agé de 75 ans, Lou Dobbs a, au compteur, près de quatre décennies de chaînes d’information continue, dont dix pour son émission “Lou Dobbs Tonight”.

    Après l’élection présidentielle, le présentateur a inlassablement relayé les accusations de fraude massive venant du camp Trump, évoquant “corruption” et “irrégularités”, qu’aucun élément tangible n’a pu étayer.

    Lou Dobbs a notamment invité celle qui fit un temps partie de l’équipe juridique de Donald Trump, l’avocate Sidney Powell, qui a présenté, à l’antenne, sa théorie, jamais démontrée, d’un complot international pour priver le président sortant d’une réelection.

    “Lou Dobbs est formidable”, a réagi Donald Trump dans un message repris par plusieurs de ses proches sur les réseaux sociaux ainsi que par des médias américains. “Personne n’aime l’Amérique autant que Lou.” L’ancien président a indiqué qu’il s’intéresserait de près à la prochaine destination du présentateur.

    À voir également sur le HuffPost: Covid-19: La téléconsultation de Donald Trump sur Fox News

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      Super Bowl: Sarah Thomas, première femme à arbitrer la compétition

      Le HuffPost avec AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 6 February, 2021 - 14:57 · 2 minutes

    Sarah Thomas arbitre le match des Chargers contre les Denver Broncos en Californie le 27 décembre 2020

    ÉTATS-UNIS -“Quand j’arriverai sur le terrain, je sais que les larmes me monteront probablement aux yeux”, a déclaré Sarah Thomas cette semaine. Ce dimanche 7 février à Tampa (Floride), les fans n’auront d’yeux que pour les Dieux de la NFL, Tom Brady et Patrick Mahomes, stars des Buccaneers et des Chiefs, mais dans leur ombre s’écrira aussi l’histoire avec Sarah Thomas, première femme à arbitrer un Super Bowl.

    Originaire du Mississippi, Sarah Thomas, 47 ans, fera partie du corps arbitral comprenant au total huit éléments. Cette pionnière était devenue en 2015 la première femme arbitre engagée à plein temps dans la Ligue professionnelle de football américain (NFL), et la première à officier lors d’un match de play-offs en 2019. Elle s’apprête à devenir la première à le faire en finale.

    “Quand j’ai commencé à arbitrer, il y avait très peu de femmes dans le football américain... L’autre jour, j’ai reçu un mail provenant de quelques arbitres de l’étranger, on peut en voir l’impact à travers le monde. Mon message pour elles est le suivant: “Faites-le, parce que vous aimez ça, pas parce que vous voulez être reconnue”, a affirmé Sarah Thomas.

    Sa carrière en NFL prend son envol

    Thomas a commencé à arbitrer en 1996, gravissant les échelons chez les jeunes jusqu’au lycée. Elle craignait de ne jamais accéder au niveau universitaire, après qu’un officiel lui ait dit qu’il ne l’affecterait jamais à un match en raison de son sexe.

    Cependant, elle a été repérée par Joe Haynes, un recruteur de la NFL, qui a l’a recommandée à Conference USA, un groupement inter-universitaire basé dans le sud des États-Unis.

    Sa carrière en NFL a ensuite pris son envol, après avoir fait impression lors de camps d’entraînement avec les New Orleans Saints et les Indianapolis Colts.

    Elle a fait ses débuts en tant que juge de ligne en 2016. Une première expérience douloureuse puisqu’elle s’est cassée un poignet après avoir été renversée par un joueur lors d’un match entre les Minnesota Vikings et les Green Bay Packers. Malgré la blessure, elle avait tenu courageusement à finir la rencontre.

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