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      La bulle des cryptomonnaies explose: comment l’empire FTX a fait faillite

      news.movim.eu / Mediapart · Sunday, 13 November, 2022 - 14:08


    En huit jours, la deuxième plateforme mondiale d’échange de cryptomonnaies a été acculée à la faillite. La rivalité entre son fondateur, Sam Bankman-Fried, et celui de Binance, Changpeng Zhao, autour de l’enjeu d’une régulation, a précipité la chute de cet empire financier virtuel. Les autorités américaines commencent à découvrir les coulisses d’un univers à haut risque.
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      Pantouflages scabreux à l’Autorité des marchés financiers

      news.movim.eu / Mediapart · Sunday, 2 October, 2022 - 14:48


    Plusieurs cadres travaillant pour le gendarme des marchés financiers sont partis poursuivre leur carrière dans des secteurs qu’ils étaient supposés réguler, sans que la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique soit saisie. Au même moment, l’Élysée envisage de porter à la tête de l’AMF une figure connue de la finance.
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      Le CAC 40 a poursuivi en 2021 son orgie de dividendes

      news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 11 May, 2022 - 06:52


    Selon la dernière note de l’Observatoire des multinationales, les groupes du CAC 40 ont versé l’an dernier à leurs actionnaires plus de 80 milliards d’euros en dividendes et en rachats d’actions. Une belle santé favorisée par les aides publiques et les suppressions d’emplois.
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      Le très curieux rendement offert par une banque publique aux riches investisseurs

      Laurent Mauduit · news.movim.eu / Mediapart · Thursday, 24 March, 2022 - 19:43


    Un fonds lancé par la Banque publique d’investissement, ouvert aux souscripteurs apportant au moins 5 000 euros, a dégagé en neuf mois un rendement de 43%, grâce à une forte décote des actifs publics. Une opération financière qui symbolise la politique économique du quinquennat Macron.
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      Pierre Larrouturou explique son combat pour taxer les transactions financières

      Lauren Provost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 13 February, 2021 - 02:07 · 1 minute

    FINANCE - Sa grève de la faim pour le climat, tenue 18 jours à l’automne, a fait de lui l’eurodéputé français le plus “buzz” de 2020.

    “En bon Béarnais” comme il le dit, l’élu socialiste de 56 ans, Pierre Larrouturou , a aujourd’hui repris les kilos perdus dans son combat pour réclamer un renforcement du budget de l’UE en faveur du climat et de la santé. Il semble aussi avoir retrouvé toute la ferveur de son engagement contre le réchauffement climatique, la spéculation financière et l’état des hôpitaux.

    Sa participation à notre conférence sur les Futurs de la finance avec Boma, ce jeudi 11 février, nous a permis de le constater : malgré la bataille perdue en 2020 son combat continue. Et les conséquences économiques de la crise Covid n’y change rien. L’élu français n’est pas lassé de brandir ses graphiques et images de maisons en feu à ses interlocuteurs pour expliquer son souhait de faire voter une taxe sur les transactions financières.

    Ce que défend l’élu Nouvelle Donne : une taxe sur les transactions financières (TTF) avec l’assiette large définie dans une proposition de la Commission européenne dès 2011, qui rapporterait jusqu’à 57 milliards d’euros par an, de quoi soutenir le climat et le “Pacte vert” européen.

    L’ingénieur agronome passé par Sciences Po nous explique tout cela dans la vidéo en tête d’article.

    L’intégralité de la conférence “Les futurs de la Finance” avec Boma France est disponible ci-dessous. Vous y retrouverez l’entrepreneur Cyril Paglino, spécialiste des cryptomonnaies ainsi que la ministre Olivia Grégoire qui met en garde contre les conséquences d’une annulation de la dette Covid .

    Vous pouvez également continuer de réfléchir à l’avenir avec les podcasts “Les futurs de...” . Notre prochaine conférence aura lieu le 18 mars en direct sur notre page Facebook et sur le site de Boma. Elle aura pour thème l’exploration des futurs du Travail.

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      L’almanach de Naval, guide indispensable du sage de la Silicon Valley

      Nils Baudoin · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Wednesday, 13 January, 2021 - 03:30 · 4 minutes

    Par Nils Baudoin.

    L’almanach de Naval aussi surnommé Navalmanack est un assemblage d’écrits de l’entrepreneur et investisseur Naval Ravikant réalisé par Éric Jorgensen. Naval Ravikant, souvent appelé simplement Naval, est passé en quelques années d’entrepreneur reconnu à sage de la Silicon Valley.

    Jorgensen a réalisé cet ouvrage à partir de tweets ( @naval est suivi par 1,1 million de lecteurs), d’articles, d’entretiens écrits ou en podcast ou encore de son propre podcast . Le livre est donc une suite de citations rigoureusement sourcées.

    La préface est écrite par son ami Timothy Ferriss qui indique faire une exception à son principe de refuser d’écrire des préfaces. Le livre commence par des éléments biographiques racontés par Naval, notamment son enfance dans une famille modeste, à New Delhi puis à New York dans le Queens. Sa carrière y est aussi évoquée avec par exemple son investissement dans Uber en 2010 à l’âge de 34 ans.

    Première partie

    Parmi les éléments importants de la première partie, consacrée à la création de richesse, on peut y noter :

    – Le long terme , la responsabilité et les intérêts composés qui en découlent et pas uniquement sous forme financière.

    – L’ importance des leviers ( leverage ), au nombre de trois selon Naval :

    • faire travailler d’autres personnes,
    • investir du capital financier,
    • créer des produits réplicables sans coût marginal.

    Ce dernier levier, le plus récent, est celui qu’il recommande. Il prend comme exemple l’animateur de podcast Joe Rogan . L’important pour réussir est de trouver des activités dans lesquelles l’ampleur du résultat peut être indépendante des entrées ; par exemple, un employé de support téléphonique ne peut traiter que les appels reçus alors qu’un animateur de podcast ou un auteur de logiciel n’a pas cette limite.

    Cette partie est dérivée d’une suite de tweets intitulée How to Get Rich (without getting lucky) qui avait été très appréciée en 2018.

    – Comment rester indépendant en évitant de s’accrocher à une identité. Par exemple, quelqu’un se considérant comme « un conducteur de voiture de telle marque » ne va pas faire un choix indépendant et rationnel lorsqu’il voudra changer de véhicule. Ceci s’applique d’autant plus pour des identités plus vastes comme démocrate, catholique, américain qui poussent à des décisions davantage issues de l’habitude et du conformisme que du raisonnement… qui peuvent d’ailleurs amener au même résultat.

    – L’ importance de la lecture : ne pas avoir peur de juste parcourir un livre pour en tirer l’essentiel, utiliser son temps sur les meilleurs livres et en particulier les classiques en commençant par les bases ; en économie par exemple, il recommande Adam Smith , Mises et Hayek .

    – Les modèles mentaux : le titre de l’ouvrage peut d’ailleurs être vu comme une référence au Poor Charlie’s Almanach écrit sur le même principe à propos de Charlie Munger, le partenaire de Warren Buffet, grand promoteur des modèles mentaux, des heuristiques pour penser et décider plus efficacement ; à ce sujet, Naval recommande le site Farnam Street .

    Seconde partie

    Dans la seconde partie, Naval présente le bonheur comme un choix et une compétence pouvant être développée. Il est inspiré par le bouddhisme sous une forme qu’il nomme bouddhisme rationnel en sélectionnant les enseignements qui marchent pour l’aider et qu’il peut rationaliser grâce à la science et l’évolution.

    La compétence bonheur ne sera pas développée par tous de la même façon mais prendre des bonnes habitudes est nécessaire. Il est important de s’engager dans des jeux à somme positive plutôt qu’à somme nulle comme le statut, le monde politique ou universitaire. Il donne aussi des conseils plus pratiques en matière de nutrition (régime cétogène et jeûne), d’exercice physique (il s’entraîne avec Jerzy Gregorek, auteur de The Happy Body ) et de méditation.

    Épilogue

    Le livre se termine par une longue et éclectique liste de recommandations de lectures tant en fiction qu’en non-fiction.

    L’ouvrage existe en format papier mais des versions PDF, web et ebook sont disponibles gratuitement sur le site .

    Il est écrit en anglais et une traduction française est peu probable. Néanmoins, le style de Naval et l’origine de ses écrits (tweets, entretiens), le rendent très facile à lire même sans grandes compétences en anglais.

    Le livre est illustré par des petits schémas minimalistes de Jack Butcher.

    Éric Jorgensen a réussi à produire un ouvrage de lecture agréable qui ne donne pas l’impression d’être une compilation. On peut espérer que lui-même ou d’autres auteurs reprennent ce principe pour des penseurs contemporains dont la production est similairement fragmentée dans des formats divers.

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      2020 will be a challenging year for challenger banks

      Romain Dillet · news.movim.eu / TechCrunch · Saturday, 4 January, 2020 - 22:53 · 4 minutes

    Over the past year, startup banks have proven that they have a shot at disrupting retail banking. These challengers have amassed a war chest of funding, announced some ambitious international expansion plans and attracted millions of customers.

    And yet, building a bank has proven to be even harder than building a startup in general. Retail banks aren’t willing to sit back and watch startups eat their lunch. Here’s a look back at the biggest moves of the year from challenger banks, some trends you should keep an eye on and the upcoming challenges for those startups.

    A year of aggressive growth

    Due to the regulatory framework and the size of the market, it is much easier to launch a challenger bank in Europe compared to anywhere else in the world. That’s why challenger banks have been thriving in Europe.

    When a company gets a full banking license from the central bank of a EU country, the startup can passport its license across all EU countries and operate across the continent.

    N26 raised a ton of money in 2019: last January, the Berlin-based startup announced a $300 million funding round , raising another $170 million in July. The company is now valued at $3.5 billion.

    With more than 3.5 million customers in Europe, N26 announced some ambitious expansion plans. N26 is now live in the U.S. and is already planning a launch in Brazil.

    Revolut has also been aggressively expanding in order to beat its competitors to new markets. In addition to its home market in the U.K., Revolut is available across Europe. In 2019, the company expanded to Singapore and Australia and currently has at least 8 million users .

    While Revolut announced that it should launch in the U.S. and Canada by the end of last year, the clock ran out on that prediction. The startup has been very transparent about its expansion plans, even though it sometimes means that you have to wait months or even years before a full rollout.

    For instance, Revolut announced in September 2018 that it would launch in New Zealand, Hong Kong and Japan “in the coming months.” It later became “early 2019,” then “2019.” India, Brazil, South Africa, Mexico and the UAE have also all been mentioned at some point. In other words: launching a banking product in a new country is hard.

    The U.S. is a tedious market as you have to get a license in all 50 states to operate across the country

    Monzo has been doing well at home in the U.K. It has attracted 3 million customers and raised £113 million (~$144m) in funding last year from Y Combinator’s Continuity fund . It is expanding to the U.S., but the rollout has been slow.

    Nubank is another well-funded challenger bank. Backed by Tencent, the startup has raised a $400 million Series F round from TCV. According to the WSJ , the startup has a valuation above $10 billion.

    Originally from Brazil, Nubank expanded to Mexico and has plans to expand to Argentina.

    Chime is increasingly looking like the bigger player in the U.S., recently raising a $500 million funding round and reached a valuation of $5.8 billion. It only operates in the U.S.

    Starling Bank and Atom Bank only operate in the U.K. Bunq is based in Amsterdam with a product tailor-made for the Netherlands, but it accepts customers across Europe.

    This isn’t meant to be an exhaustive list as it’s becoming increasingly hard to cover all challenger banks.

    Subscription-based business model

    There are a few basic features that separate challenger banks from legacy retail banks. Signing up is extremely simple and only requires a mobile app. The mobile app itself is usually much more polished than traditional banking apps.

    Users receive a Mastercard or Visa debit card that communicates with the company’s server for each transaction. This way, users can receive instant notifications, block and unblock their cards and turn off some features, such as foreign payments, ATM withdrawals and online transactions.

    Challenger banks usually customers promise no markup fees on transactions in foreign currencies, but there are sometimes some limits on this feature.

    So how do these companies make money? When you pay with your card, banks generate a tiny, tiny interchange fee of money on each transaction. It’s really small, but it could become serious revenue at scale with tens of millions or hundreds of millions of users.

    Challenger banks also offer other financial services like insurance products, foreign exchange or consumer credit. Some challenger banks develop those features in house, but many of those features are actually managed by external fintech partners. Challenger banks generate a commission on those products.

    But the most promising product is premium subscriptions. While challenger banks started with free accounts and low, transparent fees, they have been selling premium subscriptions for a fixed monthly fee.

    Challenger banks have become a software-as-a-service industry with a freemium component

    For example, Revolut offers premium accounts for €7.99 per month with higher limits, some insurance benefits that you’d expect from a premium card and access to advanced features, such as cryptocurrencies and disposable virtual cards. There’s a super premium product for €13.99 called Metal with a metal card design, cashback on card payments and access to a concierge feature.

    This seems a bit counterintuitive, but premium subscriptions have been performing well, according to discussions with people working in the industry. You pay a lot in subscription fees in order to avoid small transactional fees. (And you also get a cool card.)

    Challenger banks have become a software-as-a-service industry with a freemium component. It leads to a premium positioning and high expectations from customers.

    Revolut’s fees top out at €13.99/month.

    Upcoming challenges