• chevron_right

      Shock of the old: nine disturbing, disruptive and demonic clowns

      news.movim.eu / TheGuardian · Wednesday, 27 March - 13:29

    For centuries, they have been subversive speakers of truth to power – and a focus for our fears. Why do clowns provoke such strong emotions?

    Perhaps more than other Shocks of the Old, today’s needs a content warning because much of humanity is scared of clowns. In 2022, of 987 respondents to the Fear of Clowns Questionnaire, or FCQ (yes, a real thing ) 272 (27.6%) reported “a fear of clowns, while 50 (5.1%) rated this fear as extreme”.

    In a controversial ( with clowns ) 2008 survey of more than 250 children, every single one said they disliked clown decor in hospitals . “We found that clowns are universally disliked by children,” said the study lead, Dr Penny Curtis. “Some found them quite frightening and unknowable.”

    Continue reading...
    • chevron_right

      The schoolday I’ll never forget: ‘I staged a play and caused a riot’

      Arwa Mahdawi · news.movim.eu / TheGuardian · Thursday, 2 September, 2021 - 05:00 · 1 minute

    It was a play about the murder of the headteacher. What could possibly go wrong? Then an ill-considered marketing plan caused the crowd to erupt

    You know those annoying kids who are good at everything? They are athletic, they are musical, they get the lead role in the school play, everyone loves them? Well, I was not one of those kids. I did well academically but possessed no other discernible talents. The highlight of my athletic career may have been when I came third in a sports day egg-and-spoon race. As for music, I was so challenged that I was once asked to lip-sync the recorder during a school concert. The ignominy of this left me with a burning hatred of the recorder – a cursed instrument – that I carry with me to this day.

    Despite this lack of stage skills, I did harbour some frustrated thespian ambitions. Luckily for the 10-year-old me, my primary school had a progressive new headteacher, Mr Cooper, who was very enthusiastic about encouraging creativity. I had a little gang of friends who liked to write stories and one day we asked the headteacher if we could put on a play in the school hall during lunchtime. There would be a 10p suggested donation and all the money would go to a charity for sick horses. He was thrilled by our initiative. He didn’t even seem to mind that the play, a tragi-comedy, was called The Murder of Mr Cooper.

    Continue reading...
    • chevron_right

      Pour cette compagnie de théâtre, en temps de Covid-1 c'est le système D

      Lucie Hennequin · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 4 February, 2021 - 16:53 · 3 minutes

    THÉÂTRE - “J’avoue que j’ai de grands moments de doute, où je me dis que c’est peut-être mon dernier spectacle”, admet Noémie Fargier. Ce mercredi 3 février aurait dû être pour cette autrice de théâtre et metteuse en scène, et pour sa compagnie Ascorbic, un jour de première.

    La première d’ une nouvelle création, “Leste” , qui a dû être reportée au début de l’année 2022, à cause de la crise sanitaire. Car depuis le reconfinement fin octobre , cinémas, théâtres et salles de spectacle sont restés fermés . Une situation qui met en péril de nombreuses compagnies.

    Comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article , l’équipe a décidé ce jour-là de ne présenter qu’une étape de création, devant une poignée de professionnels. Couvre-feu oblige, ça se déroule à 15h au théâtre de l’Étoile du Nord, dans le 18e arrondissement de Paris.

    L’objectif de ces séances professionnelles est habituellement de faire venir des directeurs de théâtres ou d’autres personnes pouvant aider les compagnies à décrocher des dates de représentation. En temps de Covid, peu de professionnels ont fait le déplacement.

    “Pour avoir des subventions, il faut des dates”

    “C’est déjà difficile en temps normal, reconnaît Noémie Fargier. Mais là, encore pire parce que d’une part, ils sont sur-sollicités et d’autre part, le fait de s’engager pour une programmation ces temps-ci est très compliqué.”

    À force d’annulations et de reports, les lieux de spectacle sont saturés de demandes. “Tout le monde cherche des dates, explique la metteuse en scène. Or, les saisons prochaines sont déjà pleines de reports...” Ce qui induit un problème de taille, car l’obtention de subventions publiques est conditionnée au fait d’avoir déjà des dates.

    “Pour avoir des subventions, il faut des dates. Et aujourd’hui c’est très dur d’acter des dates, vu que les théâtres sont dans une incertitude absolue...“, s’inquiète la dramaturge. C’est grâce à la solidarité et au système D que l’équipe a pu continuer à créer.

    Des théâtres ont accepté de mettre à disposition des espaces pour répéter. Celui de l’Étoile du Nord, par exemple, qui a également versé une aide à la compagnie, une cession qui était prévue en plus de la billetterie, si les représentations avaient bien eu lieu comme prévu.

    Mais cela ne suffit pas à payer les comédiens, les techniciens, les décors... Grâce à une campagne de financement participatif, la compagnie a pu payer pour une semaine de résidence et avancer dans l’élaboration du spectacle, qui devrait voir le jour début 2022.

    Un huis clos entre un père et sa fille

    Malgré les difficultés, Noémie Fargier a de l’espoir. “Je vois bien qu’il y a un besoin, un manque chez les gens que je côtoie, s’anime-t-elle. Et le théâtre, c’est aussi retrouver des gens, se réunir, échanger.”

    ″Égoïstement”, elle espère que le thème de son spectacle pourra toucher, dans ce contexte. Écrit bien avant la pandémie, il raconte l’histoire d’un huis clos entre un père et sa fille, réunis malgré eux.

    “Je pense que cela peut entrer en résonance avec ce que certaines personnes ont vécu pendant les confinements, en retournant par exemple chez leurs parents, sourit-elle. Donc cela me donne un peu d’espoir.”

    Avant d’ajouter: “Mais la situation du spectacle vivant est catastrophique, il ne faut pas se le cacher”.

    À voir également sur Le HuffPost : Les galeries d’art, refuge des férus de culture pendant la pandémie de Covid-19