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      Alerte rouge de Météo France pour neige et verglas dans quatre départements

      Le HuffPost • news.movim.eu / HuffingtonPost • 11 February, 2021 • 1 minute

    MÉTÉO - Quatre départements ont été placés en vigilance rouge par Météo France ce jeudi 11 février à cause de la neige et du verglas attendus.

    “L’épisode de pluies verglaçantes sur la Bretagne va gagner dans la nuit le Poitou et le sud de la région Centre, rendant les chaussées glissantes et très dangereuses. L’épaisseur de glace sera comprise entre 5 mm et 1 cm sur les départements placés en vigilance rouge, 2 à 5 mm sur les départements passés en vigilance orange”, prévient le site qui alerte sur la situation en Vendée, Deux-Sèvres, Vienne et Indre particulièrement.

    Côté Rhône-Alpes, la perturbation arrivera en cours de matinée de vendredi, et débutera par des chutes de neige faibles jusqu’en plaine, qui s’intensifiera en journée, annonce aussi le bulletin diffusé ce jeudi soir.

    Des températures glaciales sont aussi à prévoir, avec vendredi au lever du jour un thermomètre qui atteindra entre -10 et -14 degrés dans la même région.

    À voir également sur Le HuffPost: Les images des chutes de neige en Bretagne

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      Dans l'affaire Mila, 5 personnes dont 2 pour "menaces de mort" jugées en juin

      AFP • news.movim.eu / HuffingtonPost • 11 February, 2021 • 2 minutes

    JUSTICE - Cinq personnes doivent être jugées le 3 juin par le tribunal correctionnel de Paris pour “ harcèlement moral” et, pour deux d’entre elles, “menaces de mort” à l’encontre de Mila , adolescente iséroise qui avait publié une vidéo polémique sur l’islam , a indiqué ce jeudi 11 février le parquet.

    Les cinq personnes, âgées de 18 à 29 ans, avaient été interpellées mardi en Loire-Atlantique, Moselle, dans le Calvados, la Marne et les Hauts-de-Seine, par les services de police et de gendarmerie locaux. L’opération était placée sous la coordination opérationnelle de la division de lutte contre les crimes de haine de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides, les crimes de guerre et les crimes de haine (OCLCH).

    À l’issue de leur garde à vue, elles ont été présentées à un procureur du tout nouveau pôle national de lutte contre la haine en ligne du parquet de Paris, destiné à centraliser les investigations à mener dans différentes régions de France. Elles ont ensuite été placées sous contrôle judiciaire par un juge des libertés et de la détention, dans l’attente de leur procès, a précisé le parquet.

    Parmi les mis en cause figurent des ”étudiants”, “pas politisés”, dont certains disent “n’avoir pas conscience de la gravité de leurs propos et de leurs messages”, avait dit à l’AFP une source proche du dossier le jour des interpellations.

    Peines de prison pour des menaces de mort

    Mila, jeune femme qui fêtera bientôt ses 18 ans , avait suscité de violentes réactions, accompagnées parfois de menaces de mort, en publiant en novembre sur le réseau social TikTok une nouvelle vidéo dans laquelle elle s’en prenait vertement à ses détracteurs.

    L’adolescente avait partagé sur Twitter des captures d’écran des menaces de mort reçues, certaines évoquant l’assassinat du professeur Samuel Paty en octobre 2020 dans les Yvelines.  Le parquet de Vienne (Isère), qui avait ouvert mi-novembre une enquête, s’était dessaisi début décembre au profit du pôle national de lutte contre la haine en ligne.

    Lycéenne à Villefontaine (Isère), Mila avait été contrainte de quitter son établissement scolaire après avoir publié en janvier 2020 une première vidéo devenue virale dans laquelle elle critiquait de façon virulente l’islam.

    Deux personnes ont déjà été condamnées l’an dernier à des peines de prison pour des menaces de mort envers la jeune fille. D’autres sont mises en examen dans l’enquête sur les menaces de mort de janvier 2020 et la diffusion de ses coordonnées.

    À voir également sur Le HuffPost: Geneviève Garrigos milite sur un seuil d’âge pour le consentement

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      Richard Berry accusé d'inceste: sa fille Coline auditionnée de longues heures

      AFP • news.movim.eu / HuffingtonPost • 11 February, 2021 • 4 minutes

    Coline Berry-Rojtman après son audition avec la brigade des mineurs, le 11 février 2021, à Paris (Photo by Thomas SAMSON / AFP)

    INCESTE - Coline Berry-Rojtman, qui accuse d’inceste son père l’acteur Richard Berry , est revenue ce jeudi 11 février pendant de longues heures devant les enquêteurs sur ses souvenirs d’enfance et sa version des faits, une ”épreuve douloureuse mais nécessaire”, selon son avocate.

    La fille aînée du comédien, âgée de 44 ans, est restée environ six heures dans les locaux de la brigade de protection des mineurs (BPM), à l’ombre du tribunal de Paris.

    Elle “a pu dénoncer les faits qu’elle a subis, expliquer, détailler. Nous n’étions pas venues les mains vides, (...) maintenant la police va pouvoir faire son travail”, a déclaré lors d’une brève déclaration à la presse Me Karine Shebabo, au côté de sa cliente, silencieuse.

    Coline Berry-Rojtman, née de l’union entre Richard Berry et l’actrice Catherine Hiegel, a porté plainte le 25 janvier, affirmant avoir décidé de franchir le pas après la parution du livre de Camille Kouchner “La Familia Grande”, à l’origine de l’affaire Duhamel et d’une libération de la parole en France sur l’inceste.

    Le jour même, le parquet de Paris ouvrait une enquête pour examiner la véracité de ces accusations de “viols et agressions sexuelles sur mineur de 15 ans par ascendant” et de “corruption de mineur”. Il s’agit aussi de vérifier leur éventuelle prescription, possiblement acquise depuis 2014 et le 38e anniversaire de la plaignante.

    “On peut dire que cette épreuve douloureuse mais nécessaire est derrière nous”, a dit l’avocate devant les caméras. “Il s’agissait pour nous de remettre de l’ordre dans le désordre, de remettre de la loi dans une relation père-fille qui en manquait cruellement”.

    “Que ceux qui nous écoutent entendent à quel point ça constitue une déchirure de venir dénoncer son père: dénoncer un membre de sa famille, c’est se salir soi-même, donc il faut vraiment aujourd’hui arrêter de déresponsabiliser, d’excuser les auteurs”, a ajouté Me Shebabo.

    “Accusations “immondes”

    Le 2 février, lorsque l’affaire est devenue publique, Richard Berry avait démenti “de toutes (ses) forces et sans ambiguïté ces accusations immondes”. “Je n’ai jamais eu de relations déplacées ou incestueuses avec Coline, ni avec aucun de mes enfants”, avait assuré l’acteur dans un long texte publié sur son compte Instagram.

    Il avait alors écrit que “les allégations (de sa fille étaient) fausses” et que son récit avait ”évolué avec le temps”. Coline avait répondu le lendemain que sa plainte était “un acte grave, réfléchi et pondéré”.

    Sur le même réseau social, elle a indiqué qu’elle avait été “embrassée par son père sur la bouche avec la langue” et avait “dû participer à des jeux sexuels dans un contexte de violences conjugales notoires”.

    Selon la plainte, citée par Le Monde , il serait arrivé, autour des années 1984-85, que Richard Berry propose à sa fille “de jouer à l’orchestre avec ses organes sexuels et ceux de sa partenaire” de l’époque, la chanteuse Jeane Manson . L’enfant aurait été “contrainte d’apposer sa bouche sur le sexe” de son père, est-il décrit dans la plainte, selon le quotidien.

    “Ma narration des faits n’a jamais varié, nombre de témoignages peuvent être fournis au soutien de cette assertion, notamment au sein de ma propre famille”, a-t-elle répondu.

    Selon Richard Berry, 70 ans, les accusations d’agressions sexuelles de sa fille ont débuté il y a sept ans, lorsque sa nouvelle femme était enceinte et que Coline, qui avait quatre ans de moins qu’elle, attendait en même temps un enfant. “Pendant des années, j’ai tenté de lui parler (...) sans succès. Je m’en suis ouvert à des psychiatres, à ma famille, à mes amis”, a-t-il précisé.

    La famille de cette figure du cinéma et du théâtre, décrite comme conflictuelle, s’est depuis divisée entre ses soutiens et ceux de sa fille.

    Coline Berry aurait, selon son père, “remanié à nouveau son récit” après la publication en janvier du livre de Camille Kouchner, dans lequel l’auteure accuse son ancien beau-père, Olivier Duhamel, d’avoir agressé sexuellement son frère jumeau lorsqu’il était adolescent dans les années 80.

    À voir également sur Le HuffPost: Inceste: Geneviève Garrigos milite sur un seuil d’âge pour le consentement

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      La chanteuse Pomme témoigne du harcèlement dans la musique

      Le HuffPost • news.movim.eu / HuffingtonPost • 11 February, 2021 • 2 minutes

    La chanteuse Pomme le 14 février 2020 lors des 35e Victoires de la musique  (Photo by Alain JOCARD / AFP)

    MUSIQUE - “Quelque part entre la colère, le repos, la révolte et le lâcher prise”. Dans une lettre ouverte publiée ce jeudi 11 février sur la plateforme blogs de Mediapart, la chanteuse Pomme , 24 ans, nommée aux 36e Victoires de la musique,  décrit son “arrivée dans l’industrie de la musique” comme “traumatisante”.

    Après les mouvements de libérations de la parole qui ont été incarnés ces derniers semaines par le Metoo Gay et le Metoo Inceste , la jeune femme s’inscrit dans le sillage du MusiqueMetoo et évoque les abus dont elle a victime à ses débuts. “De mes 15 à mes 17 ans, j’ai été manipulée, harcelée moralement et sexuellement, sans en avoir conscience à cette époque évidemment. J’ai été l’objet de quelqu’un, façonnée selon ses fantasmes et déviances psychologiques”, écrit tout d’abord Pomme en évoquant tour à tour un ”’un système d’oppression dangereux”, une “cage”.

    La chanteuse raconte aussi le peu de choix qu’elle a eu sur le plan artistique, mais aussi dans sa vie privée et sur son apparence, la façon dont elle a été sexualisée, rabaissée, par un “adulte de 30 ans” quand elle avait 16. Des micro-agressions, du sexisme, des faits de harcèlements qui ont perduré au-delà de ces deux années et qui lui ont fait perdre confiance en elle.

    Tout en expliquant qu’il lui a fallu du temps pour prendre conscience de ce qu’il s’était passé et “y attribuer les mots justes”, Pomme estime aujourd’hui que son récit fait écho à celui de milliers de personnes et rappelle que “cet été, @MusicToo a recueilli plus de 300 témoignages de harcèlement, agressions et viols , réalisés dans 98% des cas par des hommes sur des femmes”.

    “Il y a donc un grand nombre d’hommes qui évoluent dans cette industrie en étant des harceleurs, des agresseurs, des violeurs. Un nombre que personne ne peut imaginer”, dit-elle avant de s’adresser à tous ceux qui entretiennent ce système et l’adoubent: “vous les applaudissez en concert (avant la pandémie). Vous les acclamez. Vous consommez leur musique (...) vous les produisez, vous les abreuvez, vous les comptez parmi vos amis”.

    La jeune femme évoque ensuite les difficultés à porter plainte, le cheminement de la guérison qui peut parfois être long, mais dit aussi ne plus vouloir laisser régner la peur. ”Ça suffit. C’est assez. Parlons-nous. Avec douceur ou avec hargne. Pour que la vérité et la justice se fassent entendre. Pour que les corps, les cœurs, les âmes de nos filles, de nos sœurs, de nos mères, ne soient plus piétinées”, ajoute-t-elle à la fin de son texte.

    À voir également sur Le HuffPost: Sur TikTok, elle met en musique des messages d’utilisateurs Tinder

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      Démission de Frédéric Mion: Delphy, sociologue féministe salue "une victoire"

      Hortense de Montalivet • news.movim.eu / HuffingtonPost • 11 February, 2021 • 6 minutes

    À la suite de la démission de Frédéric Mion, Le HuffPost s

    POLITIQUE - Dans une lettre adressée aux enseignants et aux étudiants, mardi 9 février, le directeur de Sciences Po, Frédéric Mion , a annoncé sa démission, après un rapport rappelant sa connaissance des faits concernant l’affaire Duhamel.

    Même si l’ex-président de l’instance rappelle que ce document “confirme qu’aucun système de silence concerté ou de complaisance n’a existé au sein de l’établissement”, la pression, sur fond du mouvement #Sciencesporcs qui dénonce les violences sexuelles au sein des IEP, l’a poussé à quitter son prestigieux poste.

    Doit-on y voir que de #MeToo au livre de Camille Kouchner, l’omerta autour du des violences sexuelles se brise enfin et qu’une révolution est en marche au sein des institutions? Le HuffPost s’est entretenu avec la co-fondatrice du MLF et sociologue du féminisme, Christine Delphy . Avec le recul de sa cinquantaine d’années de militantisme, elle nous livre son ressenti face à tous ces hashtags émergents.

    Depuis 2017, #MeToo a fait des petits: #MetooInceste , #MetooGay et maintenant #Scienceporcs. Mais comme toute avancée citoyenne et féministe face au cuirassé du patriarcat, le retour de bâton, ce fameux “backlash”, n’est jamais loin. Et “une accentuation des horreurs” que certains hommes commettent peut être ”à prévoir”, prévient-elle.

    Le HuffPost : Comment analysez-vous la démission de Frédéric Mion, l’ex-directeur de Science po?

    Christine Delphy : Même si cette démission n’a pas été demandée par les féministes ouvertement, c’est une bonne chose. C’est une victoire même. Il était au courant des faits. Il l’a admis. Avant il ne voulait pas l’être et maintenant il n’a plus le choix. Il y a une complaisance des hommes, c’est certain. Quand on sait qu’il y a 1% des viols qui font l’objet d’une poursuite en justice, on se dit que c’est ridicule. Quand il s’agit inceste, c’est encore pire. C’est le grand rideau noir. Cette démission, c’est le début de la fin de cette complaisance.

    Comment analysez-vous le mouvement #sciencesporcs?

    Ce n’est pas une révolution, mais ça fait partie d’une évolution qu’on peut dater même d’avant #MeToo. On peut la dater depuis l’”épisode” de Dominique Strauss-Kahn (en 2011, NDLR), si l’on peut dire. C’est une réaction contre le fait que des hommes commettent des choses horribles, mais tout le monde pose un couvercle dessus. Sous ces hashtags, il y a une génération qui en a marre. Ce sont nos filles à nous. Mon époque n’a pas pu tout faire en même temps. Ce que font ces filles, c’est très bien. Il n’y a aucune raison de laisser ces crimes impunis, de laisser cet intime atroce au placard.

    Sous ces hashtags, il y a une génération qui en a marre. Ce sont nos filles à nous. Christine Delphy au HuffPost, le 11 février 2021.

    Pensez-vous que les universités françaises en font assez pour la prévention des violences sexistes et sexuelles?

    Ah, mais elles ne font rien du tout! Pourquoi? Il faudrait leur demander... Les filles, particulièrement, sont encore considérées comme des matières que l’on peut utiliser de n’importe quelle façon. Sciences Po a fermé les yeux et les oreilles. Mais ça ne concerne pas uniquement les universités, il s’agit de toute l’éducation nationale. Dans l’éducation nationale, il n’y a aucune protection des enfants qu’elle a sous sa coupe. Aucune. D’abord, il y a une crainte d’aller se plaindre, et quand on le fait c’est balayé sous le tapis…

    Vous qui avez co-fondé le MLF, est-ce que la période qu’on est en train de vivre ressemble par certains aspects à la période que vous avez vécue?

    On était moins en nombre, ça, c’est sûr. Maintenant il y a une multiplication des groupes féministes. Avec une spécialisation, comme le groupe NousToutes par exemple. Certains groupes féministes se spécialisent dans la lutte contre les crimes sexuels. Il y a tellement de choses horribles dans le patriarcat, qu’on est obligé de se concentrer sur une chose.

    Nous à l’époque, on n’avait pas les forces pour ça. Avec cette expansion des mouvements qui existent aujourd’hui, il va y avoir de plus en plus de sujets qui vont pouvoir être combattus en même temps.

    Au moment du MLF, on était moins en nombre! Aujourd'hui, avec la multiplication des groupes féministes, plus de sujets vont pouvoir être combattus en même temps. Christine Delphy au HuffPost, le 11 février 2021.

    Il y a toujours un “backlash” ou retour en arrière après les mouvements féministes. Est-ce que vous percevez déjà des conséquences de ce type aujourd’hui?

    Je ne suis pas une voyante. Je ne sais pas quelle forme prendra le “backlash”. Ce ne sera d’ailleurs pas forcément un “backlash” au sens autoritaire du terme. Ça peut être tout simplement une accentuation des horreurs que certains hommes commettent. Avec ce qui est demandé dans le porno, par exemple, et qu’on ne pouvait pas imaginer il y a 20 ans. On le voit également dans les attitudes agressives de très jeunes garçons qui y sont exposés de plus en plus tôt...

    Et de façon générale, quand on voit l’entourage du président de la République, on est en droit de s’inquiéter. Dupond-Moretti et Darmanin, quelle paire! C’est incroyable que ce soit Dupond-Moretti, l’avocat de l’affaire d’Outreau [il avait défendu Roselyne Godard, une des treize adultes acquittées, ndlr ] qui s’empare désormais des sujets du viol et de l’inceste.

    Que voulez-vous dire?

    Dans les déclarations qu’il fait sur le sujet par exemple, il parle tout de suite de prudence. Mais ça ne fait pas cinquante ans, ça ne fait pas cent ans, ça fait mille ans que les agresseurs se gargarisent de ces précautions pour continuer d’agir tranquillement… Quand j’entends notre ministre de la Justice dire ça aujourd’hui, je trouve ça incroyable.

    On a encore en France, une vision des plus arriérées sur cette question des viols et encore plus des viols sur mineurs. On a encore des hommes au Barreau qui s’arrangent pour museler les victimes. Et il y a toujours des tas d’explications, des tas de débats...Il y a encore des gens qui sont là à se demander si cet enfant n’avait quand même pas vraiment envie de se faire sodomiser par cet adulte...Tant que les victimes seront toujours déconsidérées, ces mouvements féministes et de lutte contre les violences sexuelles vont continuer.

    À voir également sur Le HuffPost: “Le sceau de l’infamie”: Geneviève Garrigos raconte les violences que l’inceste laisse derrière lui

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      En Moselle, les variants sud-africains et brésiliens du coronavirus inquiètent

      Lucie Oriol • news.movim.eu / HuffingtonPost • 11 February, 2021 • 2 minutes

    CORONAVIRUS - Un département au cœur des inquiétudes. Lors d’un nouveau point sur la situation épidémique du coronavirus en France, le ministre de la Santé Olivier Véran a évoqué ce jeudi 11 février le cas particulier de la Moselle.

    Globalement sur l’ensemble de la France, sur 17.000 échantillons de tests PCR positifs qui ont été analysés ces quatre derniers jours, le variant britannique est responsable d’entre 20 et 25% des cas, c’est plutôt aux alentours de 4 à 5% pour ses cousins sud-africains et brésiliens . “Dans certains département on n’en trouve pas la trace. Dans d’autres, on en trouve quelques dizaines de cas, notamment dans des clusters”, a précisé Olivier Véran avant d’évoquer plus spécifiquement les cas de la Dordogne, où 40 cas ont été identifiés majoritairement à cause de clusters, à l’inverse de la Moselle.

    Dans ce dernier territoire, sur les quatre derniers jours, 300 cas de mutations évocatrices des variants sud-africains et brésiliens ont été identifiés. “200 cas supplémentaires avaient déjà été identifiées les jours précédents. Cela ne correspond pas à des clusters, les personnes malades n’ont pas nécessairement voyagé et n’ont pas été en contact avec des personnes ayant voyagé”, a ajouté le ministre. La Moselle est aussi un territoire où l’incidence générale est plus élevée que la moyenne en France et que dans l’ensemble de la région Grand Est,

    Pour l’instant pas d’explications sur cette prépondérance des variants, mais Olivier Véran se rendra sur place demain, où une concertation est prévue avec les préfets et les élus locaux.

    Balayant pour le moment une quelconque mesure de confinement du département, il a ajouté: “nous allons regarder au cas par cas la situation de chaque patient identifiés. On est encore dans une phase d’analyse de compréhension des mécanismes. Pourquoi est-ce que c’est en Moselle qu’on trouve ces variants?”.

    Le département avaient fait partie de la quinzaine de premiers territoires à passer en couvre-feu avancé à 18 heures au début du mois de janvier.

    À voir également sur Le HuffPost: Les mutations des virus expliquées en 2 minutes

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      Darmanin propose à Didier Lemaire, le prof de philo de Trappes, une protection rapprochée

      Le HuffPost • news.movim.eu / HuffingtonPost • 11 February, 2021 • 2 minutes

    Le professeur assure qu

    POLICE - “L’État est au rendez-vous pour sa protection”. Sur Twitter ce jeudi 11 février, le ministère de l’Intérieur Gérald Darmanin a proposé au professeur de philosophie Didier Lemaire , une protection rapprochée.

    Ces dispositifs doivent permettre de protéger l’enseignant de Trappes qui assurait le 5 février dernier dans Le Point être désormais placé sous escorte. Des sources policières ont par la suite précisé qu’il s’agissait de patrouille et non du service de la protection. Selon franceinfo, elles s’inscrivaient “de manière préventive, compte tenu de ses prises de position publiques et du contexte dans lequel elles s’inscrivent”, mais pas pour des propos tenus en cours.

    Invité sur de nombreux plateaux de télévision depuis une dizaine de jours, Didier Lemaire assure que c’est la parution d’une lettre ouverte sur l’islamisme dans L’Obs , en décembre dernier, après l’assassinat de Samuel Paty, qui lui a valu d’être désigné comme “cible”. Des menaces dont des enquêtes de franceinfo et de Mediapart soulignent le flou. Auprès du quotidien en ligne, le professeur a d’ailleurs confirmé “qu’il n’a pas reçu de ‘menace de mort ’ et qu’il n’a ‘pas eu peur’”, mais “que sa lettre ouverte “a mis la ville en ébullition”″.

    Au cours de ses interventions médiatiques de ce début d’année, le professeur, qui est également membre du parti solidariste, avait notamment répondu aux questions de la télévision néerlandaise, assurant entre autres que les coiffeurs mixtes n’existent pas à Trappes. Des propos également tenus sur CNews. Le maire Ali Rabeh,(Génération·s) avait par la suite démenti sur le plateau de Jean-Marc Morandini en entrant en direct dans un salon. Didier Lemaire a reconnu des inexactitudes, mais l’édile n’entend pas en rester-là et va porter plainte contre le professeur pour diffamation. Didier Lemaire a assuré sur LCI que ce dernier l’avait traité “d’islamophobe” et de “raciste”.

    Le 8 février dernier, le parquet de Versailles a confirmé qu’une enquête a été ouverte pour “menaces sur personne chargée de mission de service public”. “On nous a signalé des inquiétudes vis-à-vis du professeur à l’encontre duquel des menaces auraient été proférées”, a précisé le parquet, précisant que “les faits ont été portés à notre connaissance par un tiers”. L’enquête a été confiée à la PJ de Versailles depuis le 26 janvier.

    À voir également sur Le HuffPost: Pour cette députée LREM, l’examen de la loi séparatisme tourne “au tribunal contre l’islam”

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      www.huffingtonpost.fr /entry/darmanin-propose-au-prof-de-philo-didier-lemaire-une-protection-rapprochee_fr_602558adc5b6591becd72d1b

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      Annuler la dette Covid : la ministre Olivia Grégoire met en garde contre les conséquences

      Lauren Provost • news.movim.eu / HuffingtonPost • 11 February, 2021 • 1 minute

    ÉCONOMIE - Est-il responsable de ne pas annuler la dette Covid ? C’est la question que Le HuffPost a posée à Olivia Grégoire, secrétaire d’Etat chargée de l’Économie sociale, solidaire et responsable.

    Invitée de la conférence HuffPost x Boma pour donner sa vision des Futurs de la finance ce jeudi 11 février, la ministre a retourné la question. “Est-ce que ça serait utile à moyen et long terme?”, demande-t-elle en faisant le parallèle avec le crédit pour l’achat d’un appartement et en mettant largement en garde contre les conséquences d’une telle démarche, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article .

    L’intégralité de la conférence “Les futurs de la Finance” avec Boma France est disponible ci-dessous. Vous y retrouverez l’entrepreneur Cyril Paglino, spécialiste des cryptomonnaies ainsi que l’eurodéputé français Pierre Larrouturou qui réclame une taxe sur les transactions financières.

    Vous pouvez également continuer de réfléchir à l’avenir avec les podcasts “Les futurs de...” . Notre prochaine conférence aura lieu le 18 mars en direct sur notre page Facebook et sur le site de Boma. Elle aura pour thème l’exploration des futurs du Travail.

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      "The Last of Us" sera tourné avec Pedro Pascal et Bella Ramsey

      Benjamin Ferrari • news.movim.eu / HuffingtonPost • 11 February, 2021 • 1 minute

    Aucune date de début de tournage n

    SÉRIE - Joel et Ellie savent à présent qui les incarnera sur petit écran. Les deux personnages du célèbre jeu vidéo “The Last of Us” seront joués par Pedro Pascal et Bella Ramsey dans la série produite par HBO . Les deux comédiens ont annoncé la nouvelle sur Instagram ce jeudi 11 février en relayant les informations de Variety et Deadline .

    L’acteur et l’actrice sont loin d’être inconnus du grand public puisqu’ils ont été vus dans “Game Of Thrones” et dans “The Mandalorian” . Pedro Pascal incarne notamment Mando, le personnage principal de la série tirée de l’univers “Star Wars”. Il a également prêté ses traits à Oberyn Martell dans “Game of Thrones”, show dans lequel Bella Ramsey joue la dure à cuire Lyanna Mormont.

    Le créateur du jeu sera scénariste pour la série

    Pour rappel, “The Last of Us” se déroule dans un monde post-apocalyptique, une vingtaine d’années après la chute de la civilisation moderne. Les deux personnages principaux, Joel, homme d’une cinquantaine d’années, et Ellie, une orpheline de 14 ans qui représente le seul espoir de sauver l’humanité, doivent tout faire pour survivre.

    Si aucune information sur une potentielle date de tournage ou de diffusion n’a encore été dévoilée, on sait que c’est Kantemir Balagov qui réalisera l’épisode pilote. De plus le créateur du jeu vidéo Neil Druckmann ainsi que Craig Mazin (“Chernobyl”), seront les scénaristes et producteurs délégués de la série. La bande originale sera quant à elle composée par Gustavo Santaollala, qui a également élaboré celle du jeu.

    À voir également sur le HuffPost : Cette gameuse remet parfaitement à sa place un troll misogyne