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      Une fête clandestine de 200 personnes dans les Côtes d'Armor

      Le HuffPost avec AFP • news.movim.eu / HuffingtonPost • 9 May, 2021 • 1 minute

    Après une fête clandestine organisée dans les Côtes d

    CORONAVIRUS - Deux personnes ont été placées en garde à vue et soixante verbalisées à la suite d’une fête clandestine en Côtes d’Armor à laquelle participaient “plus de 200 personnes” en dépit des règles sanitaires en place face au covid-19 , a annoncé ce dimanche 9 mai la préfecture.

    “Les deux personnes soupçonnées d’être les organisateurs de la festivité ont été interpellées et placées en garde à vue pour travail dissimulé, nuisances sonores, non respect des dispositions encadrant les rassemblements festifs musicaux, mise en danger délibérée de la vie d’autrui”, selon le communiqué de la préfecture, précisant que la fête se déroulait sur la commune littorale de Binic-Etables-sur-mer, à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Saint-Brieuc.

    “Soixante personnes ont été verbalisées pour des infractions aux règles sanitaires prises pour lutter contre la pandémie de covid-19 (...) Plus de 200 personnes étaient présentes et se sont rapidement dispersées à l’arrivée des gendarmes”, indique la préfecture.

    “Le matériel ayant servi à la commission de l’infraction a été saisi (alcool, enceinte notamment) ainsi que 800 euros (...) La fête, dans une propriété louée sur le Bon Coin, a été signalée sur les réseaux sociaux, l’entrée et l’alcool étaient payants. Pour l’essentiel les personnes venaient de Bretagne”, a-t-on fait savoir de même source.

    Les gendarmes ont été “alertés par des voisins”.

    À voir également sur le HuffPost : En Belgique, la réouverture des bars et restaurants a provoqué des débordements

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      Avant la marche climat, militants et politiques écolos ragaillardis par l'imbroglio sur le référendum

      Anthony Berthelier • news.movim.eu / HuffingtonPost • 9 May, 2021 • 5 minutes

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    POLITIQUE - Ce n’était sans doute pas le meilleur jour pour faire fuiter une information, ou une hypothèse, comme celle-ci. Selon Le Journal du Dimanche , qui en fait sa Une, Emmanuel Macron aurait renoncé à organiser un référendum sur la protection du climat pour l’inscrire dans la Constitution.

    Les conditions “ne sont pas réunies” estime le député LREM Pieyre-Alexandre Anglade dans les colonnes de l’hebdomadaire ce dimanche 9 mai, tandis que Le JDD cite plusieurs propos anonymes rattachés à des proches du président de la République allant également dans ce sens, tout en rejetant la faute sur le Sénat.

    Depuis, l’Élysée dément et explique à l’AFP que cette éventualité “n’est en rien enterrée.” “La cause écologique demeure l’une des priorités du président de la République”, martèle d’ailleurs, au passage, le palais présidentiel... mais trop tard. Les défenseurs du climat, qui organisent des marches partout en France ce dimanche ont déjà saisi la balle au bond pour dénoncer ce qu’ils voient comme le nouveau renoncement du chef de l’État.

    Du carburant pour la marche climat

    Sur Twitter ou dans les médias, nombreux ont réagi. Regrettant “un nouvel engagement sur l’écologie renié par Emmanuel Macron et LREM, et sans doute l’un des plus importants”, le député écologiste Matthieu Orphelin juge, dans un communiqué, que “le gouvernement manoeuvre pour que le processus n’aille pas au bout.” Pour l’Insoumise Clémentine Autain, “la Start’up Nation enterre le climat et la démocratie d’un même mouvement”, quand, la sénatrice socialiste Marie-Pierre de la Gontrie accuse Emmanuel Macron de “duplicité”.

    Côtés militants ou ONG, Clément Sénéchal, le porte-parole de Greenpeace en France, a lui aussi relayé la Une du Journal du Dimanche sur Twitter en estimant que la politique climatique du président de la République “n’est que mensonge et manœuvres politiciennes.”

    Mêmes critiques, ou presque, pour le réalisateur écolo Cyril Dion, le promoteur et “garant” de la Convention citoyenne pour le climat. “Après avoir trahi sa parole de reprendre sans filtre les mesures de la CCC, Emmanuel Macron trahit sa parole d’organiser un référendum sur la Constitution”, fustige le militant, en rappelant que les défenseurs du climat se mobilisent ce dimanche à Paris et dans plus de 150 villes en France. Leur nouveau mot d’ordre semble ainsi tout trouvé.

    Deux jours auparavant, les partis de gauche de LFI au PS en passant par EELV avaient déjà signé ensemble une tribune dans Libération pour appeler à participer à ces marches.

    Comme les différentes ONG spécialistes de la défense de l’environnement, ils brocardent notamment la loi Climat adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale, insuffisante à leurs yeux et en décalage complet avec la promesse faite par le président de la République aux citoyens de la Convention climat de reprendre “sans filtre” leurs propositions.

    Un nouveau renoncement présidentiel?

    Force est de constater que l’annulation du référendum pour modifier la Constitution serait une nouvelle difficulté pour le chef de l’État, qui s’était engagé sous les applaudissements des “150 citoyens” en décembre dernier. “Ce sera une réforme constitutionnelle en un article” qui “doit d’abord passer par l’Assemblée nationale puis le Sénat et être votée en des termes identiques. Ce jour-là, elle sera soumise à référendum”, avait-il précisé aux membres de la CCC en reprenant une de leurs idées .

    Mais cinq mois plus tard, la macronie semble désormais tentée à l’idée de rejeter la faute sur la Haute assemblée. Le Sénat, contrôlé par la droite et qui doit examiner lundi 10 mai le texte déjà voté par l’Assemblée nationale, “a fait le choix de vider de sa substance la proposition de la convention citoyenne pour le climat, et donc d’empêcher l’accord”, accuse ainsi Pieyre-Alexandre Anglade, le porte-parole du groupe LREM à l’Assemblée, dans Le JDD .

    Dans le détail, le projet de loi inspiré par la CCC grave à l’article 1er de la Loi fondamentale que la France “garantit la préservation de l’environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique”. Or la majorité du Sénat rejette le terme “garantit”, qui donnerait selon elle à la préservation de l’environnement une forme de priorité sur les autres principes constitutionnels.

    De mauvais arguments pour Bruno Retailleau. “Avant même que le Sénat n’ait voté quoi que ce soit et que la discussion avec l’Assemblée nationale ne s’engage, Emmanuel Macron nous accuse de blocage pour justifier l’annulation d’un référendum dont il ne voulait pas”, fustige le patron des sénateurs LR, avant de siffler: “La manœuvre et l’hypocrisie sera la marque de cette dernière année de mandat.” Un imbroglio dominical qui aura donc réussi à fâcher les écolos et la droite sénatoriale.

    A voir également sur le HuffPost: Sans filtre? Macron explique l’expression qui met les citoyens de la Convention en colère

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      À Kaboul, des attentats près d'une école pour filles font 50 morts

      AFP • news.movim.eu / HuffingtonPost • 9 May, 2021 • 2 minutes

    KABOUL - Le bilan des attentats à la bombe perpétrés près d’une école pour filles dans un quartier de Kaboul, majoritairement peuplé par des chiites hazaras, s’élève désormais à 50 morts, a annoncé dimanche 9 mai le ministère de l’Intérieur afghan.

    Le porte-parole du ministère, Tareq Arian, a indiqué à la presse qu’une voiture piégée a explosé samedi 8 mai devant l’école Sayed Al-Shuhada, et que deux autres bombes ont explosé au moment où les élèves paniqués se précipitaient dehors. Il a ajouté que plus d’une centaine de personnes a été blessée et que la plupart des victimes sont des élèves.

    Les habitants se sont rassemblés sur le site de l’explosion pour regarder les livres et les cartables laissés sur le sol après l’explosion, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus .

    Les attentats n’ont pas été revendiqués, mais le président afghan Ashraf Ghani a accusé les talibans d’en être les responsables. “Les talibans sont derrière ces attentats. Ils ont déjà mené des attaques similaires contre des établissements scolaires par le passé”, a-t-il déclaré. Les talibans ont cependant nié être impliqués.

    Reprise “immédiate” des négociations

    Les explosions se sont produites dans le quartier hazara de Dasht-e-Barchi, dans l’ouest de la capitale afghane, majoritairement peuplé par des chiites hazaras, souvent pris pour cible par les groupes islamistes sunnites.

    Il a eu lieu au moment où ses habitants faisaient leurs courses à l’approche de la fête musulmane de l’Aïd el-Fitr qui va marquer la semaine prochaine la fin du mois de jeûne du ramadan.

    Ces attentats interviennent alors que l’armée américaine poursuit le retrait de ses 2500 derniers soldats d’ Afghanistan , laissant derrière elles un pays déchiré par 20 ans de conflit.

    L’explosion de samedi intervient après que les États-Unis et les Européens ont appelé la veille à une reprise “immédiate” et “sans conditions préalables” des négociations en Afghanistan, accusant les talibans de faire régner la violence pendant le retrait des forces étrangères et de bloquer le processus de paix.

    Blocage des talibans

    Les négociations directes inédites entre le gouvernement de Kaboul et les talibans ont débuté en septembre au Qatar mais elles piétinent. Une conférence spéciale était prévue pour fin avril en Turquie pour les relancer, mais elle a dû être reportée sine die en raison du refus de participer des talibans pour protester contre le retard du retrait américain, initialement fixé au 1er mai par l’ex-président Donald Trump.

    Depuis le début du départ des forces étrangères, d’intenses affrontements sont en cours, notamment dans la province méridionale du Helmand. Des avions américains ont aidé à repousser une offensive majeure des talibans, qui a conduit des milliers d’Afghans à fuir leur domicile pour échapper aux violences, dans la région de Lashkar Gah.

    À voir également sur Le HuffPost : Journée des victimes du terrorisme: l’émouvante lecture par Chloé Bertolus du “Lambeau” de Philippe Lançon

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      Orages et vent: 12 départements placés en vigilance orange

      Le HuffPost avec AFP • news.movim.eu / HuffingtonPost • 9 May, 2021 • 2 minutes

    Des orages violents sont attendus ce dimanche 9 mai sur le sud-ouest de la France.

    MÉTÉO - Douze départements ont été placés en vigilance orange “orages” ou “vent” à partir de dimanche 14h et jusqu’à lundi 10h, en Nouvelle-Aquitaine, Occitanie et en Auvergne-Rhônes-Alpes, en raison d’“un fort risque de phénomènes violents”, a annoncé Météo France dans son dernier bulletin .

    L’alerte orange “orages” concerne les départements néo-aquitains de la Charente, Charente-Maritime, Dordogne, Gironde, Landes, Lot-et-Garonne, Pyrénées-Atlantiques et Haute-Vienne, ainsi que ceux du Gers et des Hautes-Pyrénées en région Occitanie.

    La vigilance orange “vents violents” a été activée pour les départements de Loire et de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

    Un risque de phénomènes violents

    Météo France évoque notamment un ”épisode pluvio-orageux nécessitant une vigilance particulière dans la mesure où il existe un fort risque de phénomènes violents”.

    Selon le prévisionniste, des orages vont se développer en début d’après-midi, sur le sud-ouest de la Nouvelle-Aquitaine, sur le Gers et les Hautes-Pyrénées avant de progresser vers le nord et l’est, notamment vers le Tarn-et-Garonne et le Lot, le Limousin. Ils toucheront le reste de la région Midi-Pyrénées voire le Poitou en soirée.

    Une “nette dégradation” de la situation est attendue en fin d’après-midi avec “des orages forts” qui progresseront rapidement vers l’est de l’Aquitaine, la Charente, le Gers, et les Hautes-Pyrénées.

    Ces orages s’accompagneront de chutes de grêle, de cumuls de pluie localement forts pouvant atteindre 15/30 mm/h et de violentes rafales de vent pouvant atteindre 80 à 100 km/h localement et 100/120 km/h très localement. Dans les Pyrénées, les rafales pourraient atteindre des valeurs de l’ordre de 100 à 130 km/h sur les crêtes.

    En région Auvergne-Rhône-Alpes, les rafales vont se renforcer dans l’après-midi pour dépasser les 100km/h sur les plateaux de Haute-Loire et sur le sud du département de la Loire.

    À voir également sur le HuffPost : Ce nageur improvise une brasse en plein Paris après l’orage

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      À Dunkerque, malgré le variant anglais, collèges et lycées restent ouverts

      Le HuffPost avec AFP • news.movim.eu / HuffingtonPost • 13 February, 2021 • 2 minutes

    À Dunkerque aussi, collèges et lycées restent ouverts malgré le variant anglais (photo prétexte prise dans une classe du collège La Grange Aux Belles à Paris en novembre 2020 - Thomas SAMSON / AFP)

    CORONAVIRUS - La préfecture du Nord a annoncé ce samedi 13 février un renforcement des mesures contre le Covid-19 dans le Dunkerquois pour tenter de contenir une situation qui s’est “dégradée brutalement”, avec une accélération de la circulation du variant anglais, sans ordonner la fermeture des collèges et lycées demandée par les maires.

    “L’évolution épidémique de la Covid-19 sur le territoire du Dunkerquois s’est dégradée brutalement ces derniers jours”, écrit la préfecture dans un communiqué, pointant “un taux d’incidence de 515 cas pour 100.000 habitants contre 384 il y a une semaine, tandis que la présence du variant anglais s’est accélérée sur le territoire”.

    Inquiets, les maires de la communauté urbaine de Dunkerque (Nord) avaient demandé vendredi aux autorités de fermer les collèges et lycées une semaine avant les vacances scolaires et de donner la possibilité de déroger à l’obligation scolaire pour les enfants scolarisés en primaire.

    La préfecture a choisi de décaler l’arrivée et la sortie des classes dans les écoles maternelles et élémentaires afin d’éviter les attroupements et de faire fonctionner les collèges et lycées “en mode mixte (présentiel/distanciel) pour réduire le nombre d’élèves présents”.

    L’obligation du port du masque dans l’espace public sera également étendue à l’ensemble des communes de la Communauté urbaine de Dunkerque et de la Communauté de Communes des Hauts de Flandre à partir du 14 février.

    La préfecture du Nord recommande également “dans la mesure du possible, de limiter les déplacements vers et à l’extérieur (de ces deux communautés de communes) et de restreindre autant que possible ses contacts rapprochés à la sphère familiale”.

    Elle annonce “le renforcement de la vaccination sur le territoire du Dunkerquois par la mobilisation de doses de vaccin supplémentaires” et des opérations de dépistage dans les établissements scolaires et entreprises.

    Ces mesures sont similaires à celles annoncées la veille en Moselle par le ministre de la Santé . Dans ce département également, les élus avaient réclamé la fermeture des écoles voire même un reconfinement local. Sans succès.

    À voir également sur Le HuffPost: Situation “inquiétante” en Moselle avec 300 cas de variants sud-africains et brésiliens

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      Ce masque qui pourrait accélérer la reprise du sport en intérieur validé par les autorités

      Le HuffPost • news.movim.eu / HuffingtonPost • 13 February, 2021 • 2 minutes

    SPORT - Un premier pas vers une réouverture des salles de sport. Ce samedi 13 février, la ministre des Sports Roxana Maracineanu a annoncé la validation du cahier des charges d’un masque spécial pour les sportifs .

    Fruit d’une coopération entre Décathlon, l’Union sport et cycle (USC) et le ministère des Sports, ce “masque barrière pour le sport” a été conçu pour répondre à un objectif: permettre une respiration suffisante pendant l’effort, tout en assurant une protection adaptée contre le coronavirus.

    “La première particularité, c’est la filtration”, expliquait sur franceinfo Raphaël Dubi, responsable du développement chez Décathlon. “On a travaillé une filtration avec une perméabilité” obtenue par la superposition de “plusieurs couches de tissu”. Quant au “confort”, il est assuré par un tissu “extrêmement doux” mais aussi par sa “structure” qui permet un certain maintien sur le visage: “même en respirant très fort, il ne rentre pas dans la bouche.”

    À l’étude depuis plusieurs semaines, le masque a finalement obtenu le feu vert de l’AFNOR, qui a mis en ligne le référentiel à respecter pour sa conception. Charge désormais aux industriels de s’en saisir pour lancer la fabrication à grande échelle:

    Le manque de sport inquiète

    Seule la pratique du sport en extérieur est autorisée actuellement pour les amateurs, mais elle est réduite à néant le soir en raison du couvre-feu généralisé à 18h. Gymnases et piscines sont fermés depuis fin octobre aux adultes, et aux mineurs depuis mi-janvier, après une très brève reprise fin novembre pour l’extérieur et le 15 décembre en intérieur. Les salles de sport sont fermées depuis plusieurs mois.

    Cette situation, qui renforce la sédentarité des Français, petits et grands, n’est pas sans inquiéter le monde du sport mais aussi celui de la santé . En présentant ce projet de masque à la mi-janvier, Roxana Maracineanu n’avait d’ailleurs pas caché les espoirs qu’il représentait. “Le sport est essentiel pour la santé et ces masques sportifs seront un outil pour nous aider à retrouver une pratique sportive sécurisée”, s’est-elle réjouie ce samedi.

    À voir également sur Le Huffpost : Le silence pesant à l’Open d’Australie après le reconfinement de Melbourne

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      Caroline Margeridon, antiquaire d'"Affaire conclue", victime d'un cambriolage

      AFP • news.movim.eu / HuffingtonPost • 13 February, 2021

    Caroline Margeridon, antiquaire d

    CAMBRIOLAGE - L’appartement parisien de Caroline Margeridon, une antiquaire de l’émission à succès de France 2 “Affaire conclue”, a été cambriolé vendredi 12 février pour un préjudice estimé à 500.000 euros, a appris l’AFP ce samedi 13 février de source proche du dossier.

    Les voleurs ont fait main basse sur des bijoux, des montres, de la maroquinerie de luxe et de l’argent liquide, a précisé cette source, confirmant une information du Parisien .

    Le cambriolage aurait eu lieu “dans l’après-midi”, selon les premiers éléments de l’enquête. Le parquet de Paris a ouvert une enquête et l’a confiée à la brigade de répression du banditisme (BRB) de la police judiciaire.

    “Affaire conclue” est une émission à succès de France 2 dans laquelle des particuliers mettent aux enchères des objets expertisés par des spécialistes.

    À voir également sur Le HuffPost: Qui est Jacob Banks, le chanteur qui a été propulsé à la suite de son cambriolage?

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      Silence absolu à l'Open d'Australie après le reconfinement de Melbourne

      Le HuffPost avec AFP • news.movim.eu / HuffingtonPost • 13 February, 2021 • 1 minute

    SPORT - Un match en silence. Samedi 13 février, la numéro 6 mondiale Karolina Pliskova a été surprise dès le troisième tour de l’ Open d’Australie à Melbourne par Karolina Muchova dans un duel 100% tchèque en deux sets 7-5, 7-5. Le tout dans un calme surréaliste. Les 15.000 places de la Rod Laver Arena étaient en effet vides.

    ″Ça fait une grande différence. En fait, hier matin, je me réjouissais d’avoir enfin l’occasion de jouer sur un grand court devant du public, ce n’est pas de chance”, s’est désolée Karolina  Muchova. “J’espère que le public pourra revenir, ce serait vraiment plus sympa d’en avoir”.

    Cette sixième journée de l’Open d’Australie marque le retour du huis clos pour le tennis, après cinq premiers jours au cours desquels jusqu’à quelque 20.000 spectateurs ont garni les tribunes. Mais l’émergence d’un foyer épidémique à Melbourne a conduit les autorités locales à décréter sans attendre un nouveau confinement de cinq jours depuis ce samedi dans tout l’État de Victoria.

    À voir également sur Le HuffPost : Le match de Djokovic interrompu pour que les spectateurs respectent le confinement

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      Trappes: Hamon demande la protection d'Ali Rabeh, le maire menacé

      Le HuffPost • news.movim.eu / HuffingtonPost • 13 February, 2021 • 4 minutes

    POLITIQUE - La ville de Trappes (Yvelines) est une nouvelle fois sous les feux des projecteurs. Depuis plusieurs semaines, le professeur de philosophie Didier Lemaire court les plateaux de télévision pour dénoncer des “menaces” dont il ferait l’objet pour avoir rendu hommage à Samuel Paty .

    Le maire de la Ville, Ali Rabeh, est aujourd’hui à son tour menacé pour avoir critiqué cette initiative et minimisé ces menaces. Il dénonçait, auprès de l’AFP des “mensonges” et des “contre-vérités”, assurant notamment que Didier Lemaire n’avait “jamais fait l’objet d’une menace sérieuse”.

    Ali Rabeh a également distribué vendredi 11 février aux élèves du lycée de la Plaine de Neauphle une lettre “de soutien” reproduite sur son compte Twitter. Il appelle les élèves à ne pas “se détourner” de leurs objectifs de réussite, malgré “la folie médiatique qui a touché votre établissement et toute la ville”.

    Une initiative très mal passée pour le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer qui la “condamne fermement”. Dans un communiqué publié vendredi 11 février, il “rappelle” que “les personnels et les élèves d’un établissement ne sauraient être utilisés à des fins de politique locale”.

    Même agacement du côté de la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse et son collègue LR de la région Paca Renaud Muselier. Tous deux ont réclamé au ministre de l’Intérieur la révocation du maire. “Aucun professeur ne devrait être menacé parce qu’il rend hommage à Samuel Paty, parce qu’il défend les valeurs républicaines. Avec Valérie Pécresse, nous demandons la suspension immédiate du Maire de Trappes et ses adjoints après leur intrusion dans le lycée de Didier Lemaire”, a tweeté Renaud Muselier le 11 février.

    “Indigne”

    Invité de France Info vendredi 12 février, Benoît Hamon, fondateur du mouvement Génération.s dont est issu le maire de Trappes, a pris sa défense. “Ce que vient de faire Valérie Pécresse est totalement indigne. Elle sait parfaitement que la lettre qu’a distribuée le maire de Trappes est une lettre d’une bienveillance incroyable qui condamne les violences qui pourraient avoir lieu contre cet enseignant. C’est donc l’exact contraire”, réagit l’ancien candidat à la présidentielle qui parle de “fake news”.

    “Quoi que dise Ali Rabeh, on entend sur CNews, sur LCI, sur BFM, sur ces chaînes info, toujours le même discours. Il est duplice. Pourquoi ? Parce qu’il s’appelle Ali Rabeh?”, a encore fait mine d’interroger l’ancien socialiste.

    Comme d’autres élus de gauche, l’ex-ministre de l’Education nationale a aussi affiché son soutien au maire de Trappes sur Twitter, avec le hashtag #SoutienAliRabeh, qui faisait partie des plus échangés sur le réseau social samedi matin. D’autres élus de gauche ont fait de même.

    Ces polémiques n’interviennent pas dans n’importe quel contexte:  le tribunal administratif de Versailles a annulé la semaine dernière l’élection municipale de 2020 à Trappes, qui avait vu la victoire au premier tour d’Ali Rabeh, à la suite d’un recours d’une liste d’opposition, Engagement Trappes Citoyens, et de l’élu Othman Nasrou, par ailleurs premier vice-président de la région Île-de-France. Le maire a fait appel devant le Conseil d’État.

    À voir également sur Le HuffPost : Victoires de la Musique 2021: pourquoi y avait-il du public malgré le Covid-19?