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      Comment meurt-on et se blesse-t-on à vélo ? Notre décryptage des chiffres de la sécurité routière

      news.movim.eu / Numerama · Sunday, 29 September - 08:29

    Vélo dans Paris sous le pont de métro à Bercy

    Les années post-Covid ont signé le grand retour du vélo, mais des années plutôt meurtrières pour ses usagers. En 2021, 227 cyclistes sont décédés sur la route, ce qui représente une augmentation de + 21 % par rapport à 2019. Le développement du vélo comme moyen de transport induit forcément une augmentation du nombre d’accidents qui implique un cycliste. Mais qu’en est-il en 2023/2024 ?

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      Fin de la vignette verte : comment vérifier si votre voiture figure au fichier des véhicules assurés

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 2 April, 2024 - 10:07

    voiture automobile

    La disparition de la vignette verte des parebrises ne signe pas la fin de l'obligation d'assurer son véhicule. Une base de données existe, dans laquelle toutes les voitures assurées sont recensées. On peut consulter ce fichier pour vérifier si son auto s'y trouve.

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      La vignette verte à coller sur les parebrises, c’est fini !

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 1 April, 2024 - 12:50

    À partir de ce 1ᵉʳ avril, la vignette d'assurance n'est plus obligatoire en France. Le décret signant la fin de la vignette d’assurance sur les parebrises a été validé en décembre pour une mise en application début avril 2024.

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      Le vélo électrique SUV est-il fait pour vous ?

      news.movim.eu / Numerama · Sunday, 31 March, 2024 - 17:00

    vélo électrique suv devant le front de mer

    Les vélos électriques SUV, on en croise de plus en plus. Gros, bien équipés, puissants, stables, bien amortis, disposant de beaux espaces de rangement... ils ont tous les arguments de leurs équivalents à quatre roues. Mais qui sont-ils vraiment ?

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      Avec Sea Bubbles, naviguera-t-on bientôt sans faire de vague ?

      Caurentin Courtois · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 11 February, 2021 - 08:00 · 2 minutes

    MOBILITÉS - Le moteur à hydrogène démarre, de la vapeur d’eau se dégage et l’hydroptère démarre. Après quelques secondes, le bateau se soulève grâce à des “ foils ” et glisse au-dessus les flots.

    Comme vous pouvez le voir dans le reportage en tête d’article, ce bateau volant, c’est le “ Sea Bubble ”. Imaginée en 2016 par le navigateur Alain Thébault , cette embarcation est plus qu’une simple innovation technologique. Pour son concepteur, c’est la solution à la congestion grandissante des villes du monde.

    Son ambition avec sa start-up “Sea Bubbles”: créer un taxi sur l’eau pour désengorger les rues de nos villes bouchonnées. Mais l’objectif est de le faire sans émission de CO2, sans vague et sans bruit.

    L’énergie verte de l’avenir ?

    Pour réaliser cette prouesse, l’équipe de “Sea Bubbles” travaille sur le dernier prototype qui incorpore un moteur à hydrogène . L’intérêt est d’avoir un système électrique plus léger et plus rapide à recharger, puisqu’il suffit de changer les bobonnes où est stocké l’hydrogène.

    Mais il y a aussi un enjeu écologique important, le moteur n’émet pas de CO2.

    Comme le système ne produit pas de polluant, l’intérêt pour la qualité de l’air dans les villes est indéniable, mais ça ne signifie pas que l’hydrogène est la solution verte par excellence . D’après le directeur de l’unité chimie et procédés de l’ENSTA Paris, 96% de la production d’hydrogène n’est pas verte mais grise à l’heure actuelle. “C’est de l’hydrogène qui est issu des énergies fossiles. Lors de la production, on va émettre du CO2 qui est relâché dans l’atmosphère.”

    Face à ce problème, Alain Thébault explique vouloir utiliser de l’hydrogène vert “mais on va recharger les ‘Bubbles’ dans des stations, on ne décide pas de la manière de produire l’hydrogène.”

    Désengorger les villes

    Avec cet hydroptère, “Sea Bubbles” veut régler le problème de congestion des agglomérations. Pour l’urbaniste Arnaud Passalacqua, la promesse est trop belle: “Les flux de mobilités dans les grandes villes se comptent en centaines de millions de voyageurs par jour. Ici, on est sur un ordre de grandeur d’une desserte par bus. Ce n’est pas suffisant pour décongestionner les mobilités”, estime-t-il.

    Mais Alain Thébault y croit dur comme fer. Avec son dernier prototype, “Sea Bubbles” entre dans sa dernière phase de production. La start-up espère commercialiser les premiers bateaux d’ici fin 2021.

    À voir également sur Le HuffPost: Y aura-t-il des voitures volantes aux Jeux olympiques de Paris 2024?

    Cette vidéo fait partie de notre nouvelle série de vidéos “En Transit.ion” . Comment se déplacera-t-on (mieux) demain? Retrouvez nos futurs sujets et reportages sur cette page . Cette série de vidéos est soutenue par Toyota. Vous pouvez consulter notre charte des partenariats ici. Une idée, une information à partager pour cette série de reportages? Vous pouvez nous écrire à l’adresse entransition@huffpost.fr

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      On nous refait le « coup du diesel » avec les SUV

      IREF Europe · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 29 January, 2021 - 04:00 · 6 minutes

    les SUV

    Par Philbert Carbon
    Un article de l’Iref-Europe

    Le « coup du diesel », vous connaissez ? C’est une manœuvre de l’État qui consiste à accorder des avantages à un produit ou un service puis, une fois qu’une grande partie de la population a été convaincue de les adopter, à décréter leur caractère néfaste ou dangereux. Les consommateurs sont alors orientés vers de nouveaux produits ou services, qui sont à leur tour subventionnés, tandis que les anciens se voient davantage taxés, voire interdits.

    Le meilleur exemple en la matière est celui du diesel. Les automobilistes ont été longtemps encouragés à choisir cette motorisation. Les ventes de voitures diesel ont représenté 64 % du marché des véhicules particuliers en 2014 pour tomber à 34 % en 2019. Puis petit à petit, comme nous l’avons expliqué dans un article de février 2019 , de nouvelles réglementations sont venues rendre le diesel moins attractif, et les consommateurs sont désormais incités à acheter des véhicules électriques ou hybrides rechargeables.

    Cependant, comme nous l’avons montré dans un article de décembre 2020 , la fin des subventions à la voiture électrique est déjà programmée et il est probable que de nouvelles taxes sur l’électrique apparaissent prochainement, à l’instar de ce qui se passe en Australie.

    Haro sur les SUV

    Aujourd’hui, les SUV sont dans le collimateur des pouvoirs publics et des écologistes . La Convention citoyenne pour le climat a, par exemple, proposé de renforcer très fortement le malus sur les véhicules polluants et d’introduire le poids comme un des critères à prendre en compte. Le gouvernement a repris l’essentiel des propositions de la Convention, et les véhicules neufs de plus de 1,8 tonne seront soumis à un malus de 10 euros par kilogramme excédant ce seuil de 1800 kg à partir du 1er janvier 2022.

    Certains veulent même interdire purement et simplement les SUV des villes, comme David Belliard, candidat écologiste à la Mairie de Paris en mars 2020, et aujourd’hui adjoint au maire chargé « de la transformation de l’espace public, des transports, des mobilités, du code de la rue et de la voirie ».

    Apparu dans les années 1990, ce Sport Utility Vehicule ressemble à un 4 x 4 de par sa carrosserie, mais n’est pas à proprement parler un véhicule tout-terrain (il n’est pas systématiquement équipé de quatre roues motrices par exemple). Il a rapidement eu les faveurs des automobilistes et ses ventes n’ont cessé de croître.

    Aujourd’hui, avec une part de marché de 40 % en France en 2020 (contre 6 % en 2009), les SUV grignotent celle de tous les autres types de véhicules (monospaces, berlines familiales, véhicules haut de gamme, et même citadines).

    Les SUV : Trop gros, trop polluants, trop chers

    La popularité du SUV ne le met pas à l’abri des critiques. Il serait d’abord trop gros pour la ville : plus haut, plus long (de 26 cm en moyenne par rapport à un véhicule standard), plus large (de 10 cm), plus lourd (de 205 kg), plus puissant (de 26 cv), le SUV représenterait un danger pour les piétons et les cyclistes. Selon l’European New Car Assessment Program (Euro NCAP), un organisme qui teste la sécurité des voitures, « plus l’avant du véhicule est haut et vertical, plus il sera dangereux pour les usagers vulnérables de la route ».

    Deux études, présentées par WWF France en fin d’année dernière, indiquent par ailleurs que les SUV sont une « catastrophe climatique » et un « gouffre pour le budget des ménages » . Pour l’association de défense de l’environnement, un SUV émet 20 % de CO2 de plus qu’un véhicule standard lorsqu‘il roule. Il pollue aussi fortement lors de sa fabrication puisque son « empreinte carbone » serait 1,3 fois supérieure à celle d’un véhicule standard. Pour le WWF , avec un marché des SUV en croissance, la France ne pourra respecter ses engagements climatiques. Même avec des SUV électriques.

    Les SUV sont également mauvais pour les ménages puisque, en moyenne, ils coûtent 30 % plus cher qu’une voiture de moyenne gamme et consomment 20 % de carburant de plus. Le WWF a calculé que les ménages modestes, qui s’équipent en automobiles essentiellement sur le marché de l’occasion, pourraient voir leur budget auto augmenter de 13 % (soit 408 euros par an). Et l’association de souligner que c’est trois fois plus que l’augmentation des prix des carburants qui, en 2018, a précipité les Gilets jaunes sur les ronds-points.

    Pour Isabelle Autissier, présidente du WWF France, « les SUV pourraient représenter deux tiers des ventes en 2030 et renforcer les fractures sociales et les inégalités d’accès à la mobilité » . Elle soutient donc les propositions de la Convention citoyenne pour le climat visant à détourner les Français de ce type de véhicules.

    Et tant pis si les Français, y compris les plus modestes, aiment les SUV !

    Pourquoi les SUV se vendent-ils autant ?

    Car, même si les constructeurs automobiles poussent à l’achat de SUV, concentrant leurs actions marketing et commerciales sur ces modèles, le boom des ventes s’explique avant tout parce que ces véhicules attirent les automobilistes. Ces derniers apprécient l’habitacle vaste et lumineux, la position de conduite haute qui fait dominer la route et permet d’anticiper les dangers, le sentiment de sécurité procuré par une voiture lourde voire imposante.

    Mais les pouvoirs publics, et plus particulièrement la Commission européenne, ne sont pas non plus étrangers à leur succès, comme l’explique Samuel Klebaner , maître de conférences en économie (Université Sorbonne Paris Nord). Les SUV ont, en effet, bénéficié d’un « terrain réglementaire favorable à leur développement ».

    Il y a d’abord le règlement (CE) n° 78/2009 du Parlement européen et du Conseil du 14 janvier 2009 « relatif à la réception par type des véhicules à moteur au regard de la protection des piétons et autres usagers vulnérables de la route », qui demande un rehaussement des pare-chocs et donc favorise les SUV.

    Par conséquent, il est curieux d’entendre l’Euro NCAP, cité plus haut, critiquer les SUV sur le plan de la sécurité des piétons. C’est au contraire parce qu’ils satisfaisaient aux nouvelles normes que les SUV ont été développés par tous les constructeurs.

    La prolifération des SUV les plus gros a également été aidée par les normes sur les gaz à effet de serre (NOx) et les particules qui, jusqu’en 2005, ne s’appliquaient pas aux véhicules de plus de 2,5 tonnes. Les constructeurs avaient donc intérêt à développer ces modèles. Depuis, de nouvelles normes de pollution (Euro 6) sur le diesel sont apparues qui favorisent le système SCR ( selective catalytic reduction ). Celui-ci consiste à injecter de l’ammoniac dans la ligne d’échappement pour créer une réaction chimique et transformer les NOx en azote et vapeur d’eau. Pour cela, il est nécessaire d’avoir un réservoir d’urée que seuls les véhicules les plus spacieux peuvent accueillir.

    Enfin, le mode de calcul des émissions de CO2 par les constructeurs favorise les véhicules lourds, autorisés à émettre davantage de CO2 que les petites voitures. Les constructeurs, pour tenir les objectifs qui leur sont assignés et éviter les conséquentes amendes prévues, ont donc intérêt à vendre leurs voitures les plus lourdes.

    L’alourdissement des véhicules et le développement des SUV ne sont donc pas que le fruit d’une stratégie commerciale des constructeurs et du désir des automobilistes. Ils sont aussi largement le fait des normes et règlements.

    En taxant davantage les SUV à partir du 1er janvier 2022, les gouvernants se comportent, une fois de plus, comme le sapeur Camember qui creuse un trou pour pouvoir reboucher celui qu’il avait précédemment formé.

    Sur le web

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      Soldes Ulys Classic : le badge télépéage est gratuit pendant 6 mois

      Clément Grandjean · news.movim.eu / Numerama · Sunday, 24 January, 2021 - 14:00

    [Le deal du week-end] Ulys, le service de télépéage du groupe VINCI Autoroutes, propose en ce moment gratuitement son badge Ulys Classic pendant 6 mois avec le code promo SOLDESULYS21, et ce jusqu'au 16 février 2021. [Lire la suite]

    Voitures, vélos, scooters... : la mobilité de demain se lit sur Vroom ! https://www.numerama.com/vroom/vroom//

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      Retour vers le futur : la mythique DeLorean pourrait renaître en 100 % électrique

      Maxime Claudel · news.movim.eu / Numerama · Friday, 22 January, 2021 - 10:35

    DeLorean Motor Company, qui ambitionne de faire renaître la mythique DeLorean de ses cendres depuis plusieurs années, songe désormais à une version 100 % électrique. [Lire la suite]

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      Y aura-t-il des voitures volantes aux Jeux Olympiques de Paris 2024?

      Matthieu Balu · news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 21 January, 2021 - 06:00 · 3 minutes

    TRANSPORT - La voiture volante, c’est l’avenir? Mais non, c’est le passé! Ou plutôt, la voiture volante comme l’Humanité la fantasme depuis un siècle. La révolution des drones est passée là, et le véhicule individuel du futur s’appelle Evtol, pour Electrical vertical takeoff and landing (décollage et atterrissage vertical et électrique, en français). Ces engins sont désormais l’attraction des salons dédiés à l’innovation, et nombreux sont ceux qui parient sur leur arrivée sur le marché dans la décennie qui vient. Certains visent même les Jeux olympiques de Paris...en 2024.

    Comme vous pouvez le découvrir dans la vidéo en tête de cet article, le choix de cet événement sportif si attendu n’a rien de farfelu.

    Les concepts se multiplient, et avec eux les levées de fonds. Ce secteur d’activité naissant, la France ne veut pas en rater les emplois. C’est pourquoi, à la rentrée 2020, la région Île-de-France s’est engagée dans un programme pour attirer les fabricants, avec comme partenaire rutilant la start-up allemande Volocopter . L’objectif pour la région parisienne, c’est de créer les conditions du développement d’une industrie dédiée aux Evtol dans les années qui viennent: “Le jour où on aura des véhicules aériens qui se déplaceront sur les toits de la RATP, ce sera une partie de ma réussite”, s’amuse ainsi Franck Margain, conseiller régional et président de Choose Paris Region, l’agence pour l’attractivité de l’Île-de-France.

    La sécurité, le critère souverain

    Il faut dire que l’appétit est là. Une analyse du cabinet BIS research estime ainsi que le marché représentera déjà 430 millions d’euros en 2025...pour continuer sur une croissance exponentielle et atteindre 1,7 milliard d’euros d’ici à 2035. Pas mal pour un secteur qui se résume aujourd’hui à des attentes et des projets expérimentaux, comme ceux menés par les protégés de François Chopard, business angel de l’aéronautique avec l’incubateur Starburst . Pour lui, pas de doute, les Evtol commerciaux sont presque une réalité: “On parle de premiers vols certifiés aux alentours de 2023”, assure-t-il.

    Qu’est-ce qui pourrait alors freiner l’arrivée des Evtol dans le ciel urbain, avec des lignes de taxis aériens reliant par exemple les aéroports de Paris au centre-ville en une vingtaine de minutes? Plusieurs obstacles techniques, comme la durée des batteries, doivent être réglés d’ici là pour répondre aux critères de vols commerciaux. Le principal obstacle pourtant, celui qui pourrait non seulement retarder les premiers vols après 2024: l’impératif de sécurité.

    Au niveau européen, les exigences sont extrêmement élevées: “autant que pour un avion de ligne” explique David Solar, chef du département Evtol à l’agence européenne pour la sécurité de l’aviation. Assurer une absence quasi totale d’accident en vol est une nécessité: sans cela, c’est toute l’aventure des voitures volantes qui risque de capoter avant même d’avoir vraiment commencé.

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    À voir également sur Le HuffPost: En Écosse, le spectacle magique de centaines de drones