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      Roselyne Bachelot a trouvé un surnom à Olivier Véran depuis qu'il s'est fait vacciner

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 22:38 · 1 minute

    TÉLÉVISION - Invitée sur le plateau de “C à vous” ce vendredi 12 février, Roselyne Bachelot a été amenée à commenter la vaccination d’ Olivier Véran devant les caméras en début de semaine.

    “Vous vous êtes fait quelle réflexion en voyant ces images?”, lui a ainsi demandé la journaliste Anne-Élisabeth Lemoine.

    “La première, c’est que la petite chemise sur le téton, là, c’était bien... Il est plutôt beau gosse, alors je lui ai donné un surnom: je l’appelle maintenant ’joli thorax’”, a répondu la ministre de la Culture, en référence à Jolitorax, le cousin germain breton d’Astérix imaginé par René Goscinny et Albert Uderzo.

    Pour Roselyne Bachelot, se faire vacciner devant les caméras n’apporte pas grand chose, “car finalement, il y a deux catégories: ceux qui ont déjà décidé à se faire vacciner (...) et c’est maintenant la majorité des Français, la vaccination a gagné son combat; puis ceux qui sont anti-vaccins et ce n’est pas l’image d’un ministre qui se fait vacciner (qui va changer grand chose)”.

    Elle cite ensuite son cas personnel: “on m’a dit: ‘vous ne vous êtes pas fait vacciner avec le vrai vaccin’ en 2009 ( contre la grippe A (H1N1), NDLR ), on m’a accusée d’avoir reçu une piqure de sérum physiologique. Vous savez, quand on a décidé de tuer son chien, on dit qu’il est enragé.”

    Olivier Véran a reçu lundi 8 février au centre hospitalier de Melun une première dose de vaccin Astra Zeneca contre le Covid-19 .

    Le vaccin Astra Zeneca, homologué la semaine dernière par les autorités sanitaires françaises, doit servir notamment à vacciner la totalité des soignants, y compris ceux âgés de moins de 50 ans comme le ministre de la Santé, neurologue de formation.

    À voir également sur Le HuffPost : ″Ça vous excite?” La photo d’Olivier Véran se faisant vacciner a inspiré Stephen Colbert

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      La photo d'Olivier Véran se faisant vacciner a inspiré Stephen Colbert

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 17:20 · 1 minute

    TÉLÉVISION - La photo d’Olivier Véran en train de se faire vacciner a traversé l’Atlantique. À tel point que Stephen Colbert, le comédien et présentateur américain, s’en est amusé dans son “Late Show” ce jeudi 11 février.

    Comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article , il a consacré une partie de son émission, “Le moment quarantaine”, à la nouvelle tendance des photos de ministres européens qui se font vacciner contre le Covid-19 , certains en profitant pour montrer leurs biceps ou leurs pectoraux.

    “Mais celui qui a lancé ce mouvement, c’est le ministre de la Santé français, Olivier Véran. Qui a tweeté cette photo de lui avec le simple mot ‘vacciné’”, a lancé Stephen Colbert , avec un accent français prononcé.

    Comparant le tweet du ministre de la Santé à une publicité pour un parfum, le comédien a estimé avec humour que son bref texte (“vacciné”) était un “très bon message de santé publique”.

    Olivier Véran avait été le premier membre du gouvernement à se faire vacciner contre le Covid-19, lundi 8 février. Il avait alors reçu une injection produite par le laboratoire AstraZeneca, alors qu’il visitait le centre de vaccination de Melun, en Seine-et-Marne.

    À voir également sur Le HuffPost : Nouvel An lunaire: les voeux d’Emmanuel Macron à une communauté “victime de haine aveugle”

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      En Moselle, Véran n'annonce ni confinement ni fermeture des écoles

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 16:49 · 3 minutes

    Ce vendredi 12 février, Olivier Véran s

    CORONAVIRUS - Il préfère se donner encore un peu de temps. Lors de son déplacement en Moselle — département où la situation sanitaire est particulièrement préoccupante — le ministre de la Santé Olivier Véran n’a annoncé ni confinement ni fermeture des écoles.

    La Moselle est surveillée de très près par les autorités, en raison de la circulation active de variants du coronavirus, dans le nord du département et à proximité de la bordure avec la Meurthe-et-Moselle, a indiqué le ministre de la Santé.

    Sur les quatre derniers jours, 300 cas de mutations évocatrices des variants sud-africains et brésiliens ont été identifiés en Moselle. L’incidence y est plus élevée que la moyenne en France et que dans l’ensemble de la région Grand Est. En moyenne 100 nouveaux cas de variants — parmi lesquels sud-africain et brésilien — sont identifiés quotidiennement.

    “Certaines contaminations correspondent à des clusters, des groupes de cas en secteur hospitalier et d’hébergement collectif ou des Ehpad. Il existe aussi un certain nombre de contaminations individuelles et lorsque nous opérons le contact tracing, nous constatons qu’il ne s’agit pas de gens ayant voyagé ou ayant été en contact avec des gens ayant voyagé”, a précisé le ministre lors d’une brève conférence de presse.

    Mais Olivier Véran s’est pour l’instant refusé à acter la fermeture anticipée des établissements scolaires ou un reconfinement départemental. Il a cependant assuré que les concertations avec les élus locaux se poursuivraient. En fonction de l’évolution de la situation sanitaire, l’hypothèse d’un confinement local n’est donc pas définitivement exclue, comme l’avait déjà laissé entendre le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal sur Europe1 le matin même.

    Renforcement des stratégies de dépistage et vaccinale

    Misant sur le triptyque “tester-alerter-protéger”, Olivier Véran a en revanche annoncé le durcissement de la politique de test. “Tout cas positif de coronavirus dans ce département sera considéré comme suspect de variant jusqu’à preuve du contraire: il bénéficiera d’un contact tracing immédiat, d’une mise à l’abri immédiate et d’une durée d’isolement portée à 10 jours. Un test PCR sera réalisé avant la levée de l’isolement et un test PCR sera réalisé dès le 1er jour chez tous les cas contacts éventuels”, a-t-il détaillé.

    La campagne de vaccination sera également renforcée, comme le souhaitaient les élus: “J’ai demandé au préfet de maintenir des centres de vaccination ouverts ce samedi et ce dimanche et 2000 doses supplémentaires du vaccin Moderna pourront être mises à disposition de la population dans les tout prochains jours”, a assuré Olivier Véran.

    Ces annonces n’ont cependant pas entièrement contenté les élus locaux. Au micro de BFMTV , le maire LR de Metz a estimé que “les réponses n’étaient pas du tout à la dimension du problème”, notamment en termes de stratégie vaccinale.

    “Même sur un plan économique, social et moral, il vaut mieux des mesures fortes mais courtes que des mesures qui se prolongent dans le temps mais sont sans effet”, avait déjà plaidé François Grosdidier avant la visite du ministre.

    À voir également sur Le HuffPost: Situation “inquiétante” en Moselle avec 300 cas de variants sud-africains et brésiliens

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      Le variant sud-africain menace en Moselle: peut-il supplanter le variant britannique?

      Grégory Rozières · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 12 February, 2021 - 11:38 · 5 minutes

    Le variant 501Y.V3, dit

    SCIENCE - La Moselle, zone à risque? Jeudi 11 février, Olivier Véran a annoncé qu’il existait dans ce département une circulation importante d’un variant très concernant : 501Y.V2, découvert en Afrique du Sud . Des enquêtes sont en cours et le ministre se rend sur place ce vendredi 12 février.

    Ce qui a entraîné cette alerte: des analyses de tests PCR par “criblage”, qui permettent de distinguer différentes souches du coronavirus : les souches classiques, celles dites du variant anglais (501Y.V1) et celles des variants dits sud-africains et brésiliens (501Y.V2 et V3). Aujourd’hui, V1 représenterait 20 à 25% des cas. V2 et V3 de leurs côtés représentent 4 à 5% des cas. Mais en Moselle, ces variants sud-africains ou brésiliens sont bien plus présents: 300 ont été repérés, sans être tous liés via un phénomène de cluster.

    Et cela est problématique. Car si le variant anglais V1 est plus contaminant, il semble réagir normalement face au vaccin. Pour les versions V2 et V3, en revanche, les choses sont différentes. On sait qu’il semble capable d’échapper à une partie de l’immunité acquise après une infection. Il y a donc un risque que les vaccins fonctionnent moins bien. Si Pfizer/Biontech et Moderna ont montré des résultats préliminaires encourageants, celui développé par AstraZeneca pourrait moins bien s’en sortir.

    Mais quel est le risque de voir les variants sud-africains ou brésiliens dépasser le variant anglais et s’imposer en France? Concernant la problématique de dominance ou de régionalisation des variants, on est dans le flou: “c’est une vraie question, mais nous n’avons pas assez de données pour y répondre”, a précisé Daniel Lévy-Brühl, épidémiologiste à Santé publique France, lors d’une conférence de presse le 12 février.

    De l’autre côté de la Manche

    Jonathan Van-Tam, directeur médical adjoint pour l’Angleterre, a récemment affirmé que le variant sud-africain ne représentait pas une menace immédiate pour le Royaume-Uni. “Les premières données” sur la variante sud-africaine “ne suggèrent pas que la variante sud-africaine ait un avantage distinct en matière de transmissibilité”, a-t-il expliqué selon nos confrères du HuffPost UK . “C’est pourquoi il n’y a aucune raison de penser que la variante sud-africaine rattrapera son retard et dépassera notre virus actuel dans les prochains mois”.

    Le “virus actuel” évoqué par le chercheur britannique fait ici référence au variant découvert en Angleterre , 501Y.V1. Le fait que le variant V2 ne s’impose pas face au V1 serait une bonne nouvelle, mais les choses ne sont pas encore claires et il ne faut pas pécher par excès d’optimisme.

    D’abord, car contrairement à ce qui se passe outre-Manche, le variant anglais n’est pas encore dominant en France, ce qui laisse donc plus de place au variant sud-africain, quoi qu’il arrive.

    Une transmission encore floue

    De plus, la question de la contagiosité de V2 et V3 n’a pas de réponse claire. Il est en effet quasiment certain aujourd’hui que le coronavirus V1 (le variant anglais) est plus contaminant que les versions précédentes. Reste à savoir de combien. Plusieurs études évoquent des chiffres variés, de 35% à 75% de hausse de la transmission. Il est donc logique qu’il s’impose dans un territoire par rapport au Sars-Cov2 “classique”. Ce qui fait peser un risque de nouvelle vague .

    Concernant V2, le variant sud-africain, les choses ne sont pas établies avec certitude. Une étude qui a analysé la courbe de progression de cette version du coronavirus en Afrique du Sud estime qu’il semble environ 50% plus contaminant. Mais les données sont bien plus partielles que pour le variant anglais.

    Si les deux nouvelles versions du Sars-Cov2 sont à peu près aussi contaminantes, pourquoi V1 semble-t-il s’imposer plus vite que V2 en Europe? Cela peut être dû au fait que la version apparue en Angleterre a plus facilement eu accès aux territoires européens, vu les échanges plus importants entre les pays de l’UE et le Royaume-Uni. Et une fois le variant anglais dominant, la version venue d’Afrique du Sud n’aurait donc pas de raison de s’imposer par-dessus.

    Mais, encore une fois, la hausse de transmissibilité exacte de V1 et V2 est encore très floue. Il est possible que le variant sud-africain soit finalement un peu plus contaminant et finisse donc par s’imposer. Il est également possible que ce soit l’inverse... et ce ne serait pas spécialement une bonne nouvelle. Voici pourquoi.

    Un risque à long terme?

    Dans leurs travaux, les chercheurs qui ont tablé sur une hausse de contagiosité de 50% se sont aussi demandé comment 501Y.V2 aurait pu s’imposer en Afrique du Sud sans être plus contaminant. Dans ce cas de figure, il faudrait que ce variant échappe en partie à l’immunité. En clair, qu’il arrive à infecter une partie de la population qui a déjà été contaminée par le coronavirus et a normalement développé des anticorps. Ce ne serait pas illogique, étant donné que l’Afrique du Sud a déjà été fortement touchée par l’épidémie “classique” de Covid-19.

    Résultat du modèle: si V2 n’est pas plus contaminant, alors il faudrait qu’il réussisse à ignorer 21% de l’immunité acquise. Ces calculs vont dans le même sens que des études en laboratoire montrant que ce variant est moins impacté par les anticorps classiques dirigés contre le coronavirus.

    Dans ce scénario, V2 ne s’imposerait pas face à V1... jusqu’à un certain point.  L’immunologiste Kristian Andersen explique sur Twitter que dans ce cas, “un haut niveau d’immunité [dans la population, NDLR] pourrait aider” le variant 501Y.V2 à rapidement s’imposer dans un pays.

    En clair, si le variant sud africain V2 ne s’impose pas rapidement, c’est une bonne nouvelle à court terme. Mais cela pourrait poser problème à plus long terme, une fois qu’une grande partie de la population aura été touchée par la maladie et donc théoriquement immunisée. La bonne nouvelle, c’est que les vaccins protègent tout de même en partie contre ce variant. Pour Pfizer et Moderna, l’efficacité semble toujours assez élevée.

    Et de manière générale, précise Kristan Andersen, malgré le risque posé par le variant sud-africain, il ne faut surtout pas se dire que la vaccination doit ralentir. Même si les vaccins étaient moins efficaces, ils le sont quand même en partie. Il faut donc vacciner le plus massivement possible et se tenir prêt à adapter les vaccins face au risque posé par des variants échappant à l’immunité.

    À voir également sur Le HuffPost : Comprendre les mutations du coronavirus en 2 minutes

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      Covid: les premiers tests salivaires déployés ce jeudi 11 février à Paris

      Le HuffPost · news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 10 February, 2021 - 15:57 · 2 minutes

    CORONAVIRUS - Nouveau déploiement. Interrogé ce mercredi 10 février au Sénat sur la mise en place des tests salivaires , le ministre de la Santé Olivier Véran a donné plusieurs nouveaux éléments de réponse.

    Tout en expliquant qu’il attendait les recommandations de la Haute autorité de santé dans la soirée, le ministre a assuré: “Les laboratoires se préparent, nous travaillons avec eux depuis des semaines. Le public prioritaire ce sont les enfants , dans les écoles afin d’identifier les cas positifs et de préserver les écoles dont nous souhaitons qu’elles puissent rester ouvertes le plus longtemps possible”. Olivier Véran a tout de suite ajouté que les premiers tests salivaires seraient menés dès ce jeudi à Paris au sein des hôpitaux de l’AP-HP.

    Ces tests sont effectivement moins inconfortables que les tests PCR “classiques” puisqu’ils se font avec de la salive. Il n’est plus nécessaire d’insérer un écouvillon dans le nez.

    Selon le ministre, les tests salivaires seront généralisés dès la mi-février avec “200.000 à 300.000 tests par semaine”. Pas question en revanche de recourir aux autotests salivaires, a prévenu Olivier Véran évoquant des résultats trop aléatoires . “La sensibilité de ces tests est de l’ordre de 11 % à 40 % pour les meilleurs d’entre eux, vous avez donc plus de chance de connaître la vérité si vous jetez une pièce en l’air”, a-t-il précisé en rappelant qu’aucun pays européen n’y avait massivement recours.

    Interrogé également sur le rythme de la campagne de vaccination par le sénateur Rachid Témal, Olivier Véran a assuré qu’entre 3,5 et 4 millions de Français auront reçu une première dose de vaccin contre le coronavirus à la fin du mois, réfutant au passage tout manque de dose.

    “Les centres de vaccination ne manquent pas de doses. Ils savent pertinemment combien de doses ils reçoivent et peuvent adapter les rendez-vous”, a-t-il dit dans une rhétorique qui a vivement fait réagir, tout en concédant que les centres n’avaient effectivement pas assez de vaccin pour vacciner toute la population; “C’est pareil partout dans le monde”, a commenté le ministre.

    À voir également sur Le HuffPost: Face au Covid-19, Olivier Véran lance un appel aux infirmiers qui ont quitté l’hôpital

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      Coronavirus: 4 premiers cas de variant brésilien en France

      Maxime Bourdier · news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 5 February, 2021 - 06:36 · 2 minutes

    Olivier Véran delivers lors de la conférence de presse hebdomadaire consacrée au Covid-19 le 4 février 2021.

    COVID-19 - Quatre premiers cas d’infection au variant brésilien du coronavirus ont été détectés en France, en plus des variants anglais et sud-africain, a indiqué jeudi 4 février le ministre de la Santé, Olivier Véran .

    On sait “depuis hier” qu’il y a “quatre cas de variant d’origine brésilienne, notamment dans le Var, dans la région Aura (Auvergne-Rhône-Alpes) ainsi qu’à la Réunion”, a déclaré Olivier Véran lors d’une conférence de presse aux côtés du Premier ministre , Jean Castex.

    L’un de ces cas est “une femme qui revenait de Manaus au Brésil” et a transité par Sao Paulo, Francfort, Paris et Marseille, a précisé le ministre.

    “Nous voulons limiter au maximum la diffusion de ces variants, gagner du temps pour pouvoir vacciner et protéger les plus fragiles d’entre nous”, a aussi assuré Olivier Véran.

    Les variants sud-africain et brésilien “nous inquiètent encore davantage”

    Pour autant, “les variants, parce qu’ils sont plus contagieux, sont amenés à remplacer progressivement le Covid-19 dans la forme que nous connaissons”, a-t-il prévenu.

    “Le variant dit britannique a la particularité d’être plus contagieux, mais a priori pas plus grave”, a rappelé Olivier Véran.

    Les variants sud-africain et brésilien “nous inquiètent encore davantage, d’abord parce qu’il existe moins de données sur les infections qu’ils entraînent, ensuite parce que certaines études tendent à montrer qu’il y a davantage de réinfections, et enfin parce que nous manquons d’éléments pour être pleinement sûrs que les vaccins seraient aussi efficaces sur ces variants”, a-t-il souligné.

    Jean Castex et Olivier Véran ont indiqué que les variants représentaient environ 14% de l’ensemble des tests positifs au Covid-19 selon une enquête menée sur la journée du 27 janvier, contre 3,3% les 7 et 8 février. A ce stade, il s’agit “essentiellement du variant d’origine anglaise”, a précisé Olivier Véran.

    A voir également sur Le HuffPost :  Contre le coronavirus et ses variants, Castex récapitule les nouvelles mesures